Chapitre 20

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PDV DE ZIA

Il sort en rapidement. Je tente de reprendre mon souffle, j'ai peur de la suite...

Je m'empresse de sortir, je me sens oppressé entre ces quatre murs. Je sors, essoufflée, en réalité se sont des halètements de peur. Personne ne s'en rendra compte. A, si! Ayden me regarde bizarrement. Il me lance un regard à la dérobé qui semble vouloir dire "on aura une discussion toi et moi tout à l'heure!". Je ne sais pas vraiment pourquoi, en ayant ressenti ma peur il m'aurait plutôt lancé un regard rassurant. Mon cousin m'observe avec un sourire malicieux sur le visage. Et mince! J'ai son odeur qui flotte autour de mon corps te comme Ayden est un loup c'est pour ça qu'il l'a sentit. Quelle abrutie je fais! Ils se dirigent vers la porte, Ayden est en train de leur adresser des remerciements. Un grand sourire est plaqué sur son visage. Il est aussi faux que mon cousin. Ils se font une poignée de main "viril", ils ressemblent plus à des fillettes devant leur pire "ennemie". Je tente de retenir mon rire, malheureusement pour moi, je n'y arrive pas. Trois visages avec chacun une expression différente se tourne vers moi. L'alpha de l'autre meute a un visage moqueur, destiné aux deux petites filles qui se sert la main.sin une expression perverse, ne changeons pas les mauvaises habitudes. Et le meilleur pour la fin, Ayden a une expression de colère sur le visage. Ça sent mauvais pour moi, très mauvais. Une fois la porte fermée derrière eux, Il se retourne d'un coup  et s'avance dangereusement  vers moi. Je ne bouge pas, je ne veux pas lui montré que je suis faible. Quand il est à deux centimètres de moi, c'est plus fort que moi, je tente de m'enfuir le plus possible de lui. Deux bras musclé m'interceptent juste avant que je n'ai le temps de partir. Il m'attrappe le poignet un clique se fait entendre. Il a pas osé! Et bien si! Monsieur vient de m'attacher à lui, avec une paire de menottes.Crotte, maintenant je suis obligé de l'affronter. Ses yeux, ténébreux, me scrutent avec férocité!

-Que faisais tu avec lui dans les toilettes?

Il parle calmement mais son ton montre clairement que je suis en danger et aucune échappatoire!

-Je ne me répèterais pas Zia! Et ne me mens pas, j'ai senti son odeur sur toi!

-Ri..rien, il ne c'est rien passé dans les toilettes...

-Tu te fiches de moi! Son odeur était partout autour de toi! Tu as couché avec lui c'est ça hein! Je savais que tu n'étais pas net, mais pas à ce point là! Tu as gagné, je vais te laisser tranquille, je ne fais pas avec les fille dans ton genre!

Chacune de ses parole ont été comme un coup dans mon cœur. Il détache mon poignet et se retourne. Il ouvre la porte puis repart pour se rendre dans sa chambre. Il fait une pause.

-Quand je serais redescendus, j'espère que tu seras partit.

C'est le coup qui finit de m'achever. Quand je suis certaine que je ne le vois plus, je m'empare d'un stylo et d'une feuille et lui rédige un mot. Il a raison , je n'ai plus rien à faire ici. Mes larmes coulent sur mes joues et s'écrasent sur la feuille. Je me précipite à l'extérieur et court dans la forêt. Je finis par m'arrêter et m'adosser contre le tronc d'un arbre. C'est un monstre, il m'a forcé à m'attacher à lui pour ensuite me rejeter. C'est l'une des raisons pour lesquelles je ne me suis plus approché des hommes, pour cette raison et par rapport à ma phobie des hommes. Je commence tout juste à me calmer quand une se pose sur ma bouche et une seringue s'enfonce dans mon bras....

PDV D'AYDEN

Je sais que je n'aurais pas du m'emporter, mais comprenez moi, quand votre âme sœur disparait plus de vingt minutes dans les toilettes avec un homme à ses trousses, qu'auriez vous pensés. Un sentiment d'angoisse s'empare de moi, et si elle était réellement partie? Je m'empresse de descendre les marches. Elle n'est plus là. Une bile me monte à la gorge, cette fois ci c'est de la déception. J'aperçois un bout blanc dépassé de dessous la table. C'est une lettre qui m'est destinée. Zia...

" Mon cher Ayden,

Je ne peux pas t'en vouloir pour ta décision, même si je le souhaite au plus profond de mon corps. Chacune de tes paroles m'ont atteintes en plein cœur et ont brisées chaque morceau de celui ci. Toi qui avait finalement réussi à le recoller.Je commençais tout juste à te pardonner . Dans les toilettes, je parlais avec mon cousin... Et oui, l'associé de ton nouveau colocataire  est mon cousin. Il voulait me faire peur, que je revienne avec lui. Il a toujours été très possessif envers moi, trop possessif. Si il était  si possessif c'est parce qu'il me considérait comme sienne, comme sa chose. Dans les toilettes, il m'a menacé, il voulait que je revienne avec lui. Il en était hors de question pour moi, j'ai essayer de lui montrer que je ne le craignais plus, mais il n'a pas été dupe. Je sais qu'il reviendra me chercher, j'ai toujours été son souffre douleur. Avec mon oncle,il s'amusait avec moi, comme si j'étais leur poupée . J'ai été leur objet si longtemps qu'en plus de ma peur des hommes, j'ai développé une  sorte de peur de rejet. C'est également la raison pour laquelle je n'ai fais confiance à pratiquement aucun homme. Tu es le seul  en qui j'avais réussi à avoir confiance.  Tu as tout brisé en considérant comme une moins que rein. Comme une fille qui ne se respecte pas. Comme si j'étais capable d'une telle chose!Tout ça pour t'expliquer ce qui c'est réellement passé. Libre à toi d'y croire ou pas. Je t'aime beaucoup. Je te dis à jamais.

xxx Zia"

Comment ai je pus croire une seule fois quelle avait fait une chose pareille. Elle qui est si pure, si innocente.Et cet homme qui me semblait louche. Elle vient de me le confirmer sans le vouloir. Si jamais je le retrouve...HMPHH je ne dirais rien. Ma première préoccupation est cette charmante demoiselle qui s'est fait la malle. Je me transforme ne loup pour aller la chercher et la ramenée rapidement, avant qu'il fasse nuit. Elle doit être effrayée... Je m'empresse de suivre son odeur. Son odeur est un peu partout est se poursuit dans la forêt. Je cours, pressé de la retrouver, sans elle je m'affaiblis, C'est comme une maladie. Vous pouvez en mourir, ça confirme le dicton "mourir d'amour pour lui/elle. Quand j'atteins enfin l'endroit où s'arrête l'odeur, je me sens libéré. Mais rien, pas un signe de vie, personne. Seul une de ses chaussures traine par terre. Elle ne s'est pas enfuie, elle à été enlevé!

PDV D'INCONNU

Je l'ai enfin récupérer, bientôt elle m'appartiendra entièrement, elle sera enfin mienne, comme elle aurait déjà du l'être. Tu es de retour à la maison mon petit ange...

unis en un seul regardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant