Prologue

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Petit mot de l'auteur : et voilà pour mes petits oursons à la guimauve, une nouvelle histoire toute fraîche ^^ Je suis vraiment désolée, pour ceux qui espéraient que je publie la suite de l'une de mes autres histoires mais, l'inspiration est vraiment nulpart en se moment et, c'en devient réellement frustrant. En tous cas, bonne matinée/aprèm/soirée/nuit et, bonne lecture mes chatons ^^

Je m'appelle Alicia. Sur les papiers, mon nom serait Carter mais, j'y ai renoncé. J'y ai renoncé, après que j'ai appri que j'avais été abandonnée, alors que je n'étais qu'un bébé. Mes parents biologiques, n'ont laissés aucuns mots, aucuns noms. Ils ne voulaient même pas, que je me lance à leurs recherche, lorsque j'aurais sû la vérité. Ils ne voulaient simplement pas de moi. Mais, pourquoi ne pas avoir avorté dans ce cas ? Je me pose la même question. Sans-doutes ma mère était-elle mineure et, ses parents - tout comme mon père - voulaient absolument éviter un scandale. Mais bon. Je n'en ai plus rien à faire maintenant. J'ai tourné la page depuis longtemps.

J'ai suivi de nombreuses formations dans ma jeunesse. Je ne savais pas véritablement quoi faire de ma vie - c'est toujours le cas d'ailleurs. Mais pour se découvrir, les cours par correspondance, il n'y avait rien de mieux - ni de plus facile. De plus, je ne suis pas allée au lycée grâce à eux. Mais, je me suis découverte une passion pour les autres. C'était assez surprenant mais, j'aimais beaucoup, prendre soin des autres, des animaux errants, mal-nourris, blessés. Des humains aussi.

Un jour, j'ai recueillis un garçon de mon âge. Mes parents n'étaient pas très contents mais, ils avaient finis par l'accepter. Il est mort du jour au lendemain, sans que personne ne comprenne de quoi il était mort exactement. J'avais été dévastée et, je m'étais jurée que, plus personne ne mourait sous mes soins. C'était juste avant, que je ne décide de me lancer dans un diplôme de médecine. Je suivais un cursus spécial avec des disciplines relevant du domaine des humains mais aussi, des animaux.

Deux cursus différents, pour deux diplômes bien différents. Diplômes, que je n'ai d'ailleurs pas eu. Tout ça, parce que j'avais osé remettre en cause, le diagnostic de l'un des médecins en chef. J'avais insisté, sur le fait qu'il se trompait et, il m'avait répondu que, si je ne pouvais pas faire la différence entre une hémorragie externe et une interne, je n'avais pas ma place en médecine. J'avais continué de lui tenir tête, lui disant que son diplôme venait d'une pochette surprise. Ce qui, n'était pas franchement une bonne idée.

Je me suis retrouvée, avec la sécurité me traînant hors des bâtiments et, me jetant sur la chaussée, comme onmet dehors un pauvre petit chat errant. Ainsi que, l'interdiction de m'approcher - ne serait-ce que - de la clôture du campus. Mes parents m'avaient foutue dehors peu de temps après, en me révélant que j'avais été adoptée. Je venais tout juste d'avoir ma majorité. Un gosse de riche me prit sous son aile, me donnant un salaire plus que conséquent, pour quelques.... services rendus. Cette situation, dura plus de six mois. Je suis partie comme une voleuse du jour au landemain, en lui faisant les poches.

J'ai profité de son argent, pour m'acheter un vieux bâtiment, perdu dans la grande ville de New York. Je l'ai rénové du sol au plafond. Mais, voyant l'état de la ville à cause du clan des foot, je l'ai changé en hôpital de fortune. Pour ceux qui ce posent la question, il est illégal, bien entendu. Je n'ai pas de diplômes, je le rappel. J'y soigne avec brio aussi bien humains qu'animaux et, avec des taux de survie de 100% à chaques fois. Ce n'était bien compliqué, sachant que j'étais la meilleure de ma promotion, avant de me faire renvoyer.

Dans la rue, on m'appelle Black Jack. Je ne sais même pas pourquoi. Certainement, parce que j'ai recousu le membre d'un enfant dingue de manga. Il m'avait dit, que j'étais aussi douée que Black Jack, un médecin sans diplôme super doué dans ce qu'il fait, qui soigne les gens pour des pacotilles. Ça m'avait fait plaisir, d'entendre ça. Même si, à cause de mon surnom, on me prenait souvent pour un homme, noir de surcroît. Ça m'avait bien fait rire, une fois que j'avais compris. Ça envoyait aussi les flics, sur une autre piste. Mais ça, c'est autre chose.

Un médecin d'exception [Tmnt fanfic]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant