Un médecin d'exception [Tmnt fanfic]

Chapitre 27

Petits mots de l'auteur : je tenais officiellement à remercier mes quelques lecteurs, qui me soutiennent grandement, de par leurs présences à chaques chapitre, tous leurs votes, et tous leurs commentaires.

Je tenais surtout, à vous souhaiter mes meilleurs voeux, pour cette toute nouvelle année ^^

Je vous fais à tous de gros bisous et, bonne lecture ^^

Une de mes mains, malmenait sa poitrine parfaite en-dessous de son t-shirt, alors que l'autre, entourait ses hanches et, la serrait contre moi. Elle gémissait doucement, me faisant à nouveau avoir envie d'elle. Elle se mit à bouger des hanches, tout en gémissant de plus en plus fort. Elle me rendait complètement fou. Ma main de libre, agrippa avec force, le haut de son pantalon. J'avais envie de le lui arracher. Elle gémit mon prénom, me faisant complètement perdre pieds. Je me mise à l'embrasser le plus sauvagement possible.

- Oups ! nous interrompit immédiatement une voix, que nous connaissions que trop bien. Je vous laisse !

- C'est bon, grogna ma chère et fragile déesse en même temps que moi.

Elle se leva de moi, avant de se rasseoir sur sa chaise, en soupirant lourdement, montrant ainsi, son mécontentement. Elle passa une main dans ses cheveux, tout en soupirant une nouvelle fois. Je ne pus m'empêcher de sourire. Elle était déçue, que l'on ai été interrompus. Je pouvais parfaitement la comprendre mais, ça me réchauffait tout de même de l'intérieur. Je soupira, en portant mon attention, sur celui qui nous avait dérangés. Heureusement pour nous, il s'agissait de Raph. Je doute, que les autres auraient réagis de la sorte.

- Ça, c'était vraiment gênant, fit-il en nous rejoignant les joues rouges.

- Il fallait sonner, répondit Alicia en croisant les bras sous sa magnifique poitrine. On entre pas chez les gens, sans s'annoncer d'abord. Ça ce fait pas.

- Je crois, qu'il a comprit cette fois, rigolais-je doucement en posant une main sur sa cuisse.

- C'est clair, répondit le concerné en hochant la tête. Cette image hantera mon esprit, ajouta-t-il en soupirant, jusqu'à la fin de mes jours.

- Être un pervers, c'est de famille ? me demanda Alicia, avec un sérieux mordant.

- Quoi ? Non ! Je suis pas...! Rah ! s'énerva Raph, déclanchant notre rire. Vous moquez pas de moi ! se plaignit-il, en se tassant sur sa chaise.

On rigola un peu plus, avant de nous calmer doucement. On se mit à discuter joyeusement, peu de temps après. Puis, une chose en ammenant une autre, on finit par parler du cas de Marcus. Non-seulement, elle avait refusé sa proposition mais, si il avait comprit qu'elle était avec moi, elle allait être bien plus en danger, que l'on ne le croit. Il parut surprit, de nous entendre parler de son ami humain ainsi. Mais, Al le connaissait bien mieux que lui et, si elle avait peur, ce n'était pas sans fondement. Il accepta de bon coeur, de m'aider à la protéger.

- Je peux en avoir un verre aussi ? finit-il par demander en désignant le lait.

- Oui, répondit ma chère déesse en lui faisant un grand sourire et se levant à moitié. Tu peux même, prendre des céréales.

- Al, je m'en occupe, déclarais-je rapidement tout en me levant après avoir vu ses fesses.

- Je peux m'en occuper, assura-t-elle en ne bougeant plus d'un pouce.

Je soupira, tout en rougissant de gêne. Elle me regarda avec curiosité, avant de se mettre à rougir d'un coup et, de se rasseoir. Elle avait visiblement compris, où je voulais en venir. À cause de l'arrivée de l'homme, elle n'avait pas eut le temps de se nettoyer et, lorsque son corps avait laissé échappé ce qu'il retenait prisonnier, ça avait tâché son pantalon, qui plus est, était gris. La tâche, était bien plus, que simplement visible. Je passa une main gênée dans ma nuque. Raph, lui, nous regardait avec curiosité, pour essayer de comprendre, ce qu'il nous arrivait.