Chapitre 14

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Il me souleva légèrement de lui. J'en profita, pour placer correctement son sexe, à l'entrée du mien. On se regarda droit dans les yeux, tandis qu'il me faisait doucement m'empaller sur lui. Mes mains, se crispèrent sur ses épaules, alors que son engin, entrait avec une lenteur exagérée en moi. J'avais l'impression, qu'il m'écartelait de l'intérieur petit à petit. Je savais que j'étais assez serrée mais, là, c'était vraiment abusé. Le plaisir, que me procurait le simple fait d'être pénétrée par lui, allait me rendre complètement folle, alors que l'on avait à peine commencé.

J'avais mis un temps indéfini, afin de me sevrer. Il n'avait même pas fallut une dizaine de minutes, pour que je redevienne comme avant. Mais, cette fois, je n'allais pas aller à droite à gauche. Leo avait accepté, de devenir mon pilier. Il n'y aura donc que lui et, uniquement lui. Aucunes attaches, aucuns sentiments. C'était tout ce que je voulais. Quelqu'un qui serait là, uniquement pour combler le vide que j'avais en moi. Il était parfait pour ça et, allait peut-être se servir de moi de la même façon, afin de combler le vide qu'il y avait en lui. On se ressemblait lui et moi, bien plus, qu'on osait se l'avouer. Ou, se l'imaginer.

Je colla ma bouche à son cou, afin d'étouffer mon cri de jouissance, lorsqu'un orgasme non prévu, nous secoua tous les deux, le faisant se libérer en moi. Il me serra contre lui, jusqu'à ce qu'il ait finit. C'était juste incroyable, la quantitée qu'il pouvait lâcher, en une seule fois. Il m'avait complètement inondée de l'intérieur, en une seule fois. Je souris contre sa peau, avant de me mettre à bouger. Ses mains, agrippèrent avec plus de force mes fesses, alors que des grognements de plaisir bestiaux, sortaient de son grand et imposant corps musclé.

Je me mise à gémir son nom, tout en bougeant frénétiquement des hanches. Jamais, lier mon corps à celui de quelqu'un d'autre, ne m'avait procuré autant de plaisir. La sensation de son corps contre le mien, était une chose étrange mais, qui ne me dérangeait pas plus que ça. Au-contraire même. On pouvait dire qu'elle m'exitait, plus qu'autres choses. Il me fit bouger encore plus vite sur lui. Je ne pouvais déjà plus retenir mes gémissements de plaisir, qui ressemblaient d'ailleurs plus à des cris. Je me sentais si bien, que je ne voulais pas que ça s'arrête.

- Al ! gronda-t-il alors que les mouvements qu'il imposait à mon corps, devenaient de plus en plus rapides et sacadés.

Je l'embrassa, tout en l'emmenant au plus profond de mon anatomie. Je le sentais forcer l'entrée du col de mon utérus, à chaques coups de butoir. Il m'attira le plus proche de lui possible, avant de se déverser en moi, déclanchant mon orgasme, par la même occasion. La quantité qu'il pouvait lâcher, était bien trop importante, pour mon pauvre petit sexe, qui débordait déjà complètement. Sa semence, coulait déjà hors de mon corps. J'avais l'impression de vivre un de ces hentai, qui sont bien trop exagérés, pour être réels.

- Encore, soufflais-je en le poussant de manière à ce qu'il soit allongé sur mon lit.

Il ne dit rien. De toutes façons, il était encore dur alors, j'imagine, que ça l'arrangeait. Je me redressa entièrement, avant de me servir de son ventre, pour me soulever sur lui. Il allait encore plus profondément en moi, forçant un peu plus l'entrée de mon utérus. Je me soulevais de lui, de manière à le faire sortir presque entièrement de moi, avant de m'empaller à nouveau sur lui jusqu'à la garde, en un mouvement rapide. Son sexe dans le mien, en plus de sa semence, faisait des bruits lubriques sonores, qui m'exitaient de plus en plus.

Ses mains, aidaient mon corps à se lever et, à se baisser avec force, de plus en plus vite, avant de ralentir d'un coup. Il s'était habitué à la situation bien plus vite, que n'importe quel humain avec lequel j'avais dejà passé de tels moments. Je ne retenais plus mes cris, tout comme il ne retenait plus ses grognements de plaisir. Peu importe, si sa famille et ses amis nous entendaient. De toutes façons, on mettait bien trop de temps pour revenir alors, ils devaient bien se douter de quelque chose. Et puis, lui et moi, c'était prévisible. C'était quelque chose d'écrit, depuis notre rencontre explosive.

Un médecin d'exception [Tmnt fanfic]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant