•Le début des problème•1

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NDA:
1-Les chapitres comportant des "•" pour titre sont corrigés et modifiés pour améliorer votre expérience de lecture.
2-Je corrige et publie au fur à mesure mes modifications, alors si vous rencontrez des gentils « •• », c'est que la partie avant est conforme à la ré-écriture.
3-À chaque début de chapitre je laisserai une note s'il y a un changement majeur tel que les noms ou un événement important. Normalement, il n'est pas supposé avoir de confusion majeur, mais n'hésitez pas à m'envoyer un petit message(je ne mords pas😂) si vous êtes confus, cela me fera un plaisir de vous éclairer.

Comme les anglais le disent si bien:

Enjoy

PS:Vous pouvez lire cette histoire sans problème, malgré le fait qu'elle est en ré-écriture.
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J'ouvre les yeux et ma chambre d'hôpital est plongée dans l'obscurité. Les rayons de la lune me chatouillent le visage. Je regarde l'heure sur l'horloge , il est environ 1h du matin. Je ferme les yeux pour m'endormir, mais mon ventre en décide autrement et me fait ouvrir l'œil. Je dois vraiment aller manger quelque chose. Je ferme le livre que je lisais un instant avant de m'endormir, les Fleurs du mal.

Je ne suis pas autorisé à sortir de ma chambre la nuit, mais personne n'est réveillé à cette heure de toute façon. Bien sûr, il y a mes parents adoptifs qui viennent de temps à autre afin de garder les apparences et paient ma place à l'hôpital.

Pauvres parents avec une fille mourante.

Je me lève du lit d'hôpital et sors de ma chambre sur la pointe des pieds. Je me dirige vers la machine distributrice et prends une pièce dans ma robe d'hôpital et l'insère à l'intérieur. J'appuie familièrement sur la machine et attends . Je regarde dans la vitre de la machine distributrice et regarde mon reflet. Mes cheveux bruns foncés, mais en majorité des cheveux blancs comme neige. Je soupire et attrape une mèche.

Encore un nouveau

Je l'arrache avec une poignée frustrante, et plusieurs autres cheveux innocents tombent sur le sol froid de l'hôpital. Depuis mes 14 ans, des cheveux blanc apparaissent à travers mes cheveux et depuis ce temps je suis prisonnière de cet édifice de misère. Avec le temps, on finit par s'habituer, aux murmures désagréables des autres et de leurs regards remplis de pitié. J'entends un bruit sourd et je sursaute.

À cette heure-ci, aucun garde ne devrait être en poste.

Je regarde rapidement autour de moi, et il n'y a rien. Après les cheveux blancs, j'hallucine des bruits. Je soupire en attrapant ma collation préférée, des biscuits au chocolat, et me glisse vers ma cellule. Au même moment, un voile noir s'installe devant mes yeux et je sens une aiguille dans mon bras et ensuite plusieurs picotements distincts. J'ouvre la bouche pour crier, même si ma vie est misérable, je ne veux pas mourir aux mains d'un pauvre inconnu et pour une raison inconnu.

-Très mauvaise idée. Une voix raque me soupire à l'oreille.

Mon premier réflexe est de vouloir attaquer mon attaquant. Je dois utiliser l'effet de surprise. Malheureusement pour lui, je ne serai pas une proie facile. Je lui assène un coup dans le ventre, il me relâche. Je cours sur une courte distance avant de foncer dans ce que je suppose un mur.

Et maintenant je fais quoi?

Même si je crie, personne n'arrivera à temps pour venir me secourir. Je change de direction, jetant des regards furtifs vers l'arrière, quand soudainement je fonce dans un objet qui freine ma course.

Oh non

Je sens une chaleur chaude sous mes mains, depuis quand les murs sont chauds? Je lève le regard et croise le regard rouge sang d'un homme. Je suis presque certaine qu'il est de mise avec l'autre fou que j'ai eu la malchance de rencontrer plus tôt. Il réagit plus rapidement que moi et attrape mes deux mains. J'ouvre la bouche pour répliquer, mais je suis soudainement étourdie.

Personne ne viendra à mon secours, n'est-ce pas?

Je m'effondre et ferme les yeux petit à petit avec comme seule envie, me réveiller et réaliser que ceci est un mauvais rêve. Je vais me réveiller et finir mon beau livre et revenir à mon lit douiller et je n'irai plus jamais grignoter dans cette machine distributrice.

Prise au dépourvu(En réécriture!)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant