Partie 83

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~ Dans la peau de ...... ~

Je me réveille à cause de l'agitation autour de moi , je touche mes joues et je me rend compte que je suis en sueur. Je remets quelques minutes pour me remettre de ce rêve bien plus vrai que nature. L'agitation reprend autour de moi et je me souviens qu'aujourd'hui est un grand jour. Aujourd'hui est le jour de ................................................... donc il faut que je sois présentable. J'espère juste que ce mauvais rêve n'était pas prémonitoire. Je me lève aller il est temps de faire face à son Destin.

Partie 83 :

Je laisse les gens passer devant moi les habitudes obligent. Une fois que tout le monde est sorti je récupère ma valise dans l'emplacement réservé à cet effet. Mes collègues prennent tout leur temps alors que j'ai l'air d'être une fourmi pressé à côté d'elle. Je leurs fait la bise et sort de l'avion par les escaliers prévu pour ça. Un petit vent me frappe le visage faisant virevolter mes cheveux un peu partout. Je galère à me débarrasser de mes cheveux qui se collent sur mes lèvres. Heureusement la torture ne dure pas très longtemps car je rejoins rapidement le hall dans lequel sont rassemblés des hôtesses de l'air et stewards du monde entier. Je reconnais certains visage même si d'autres me sont encore inconnus. J'ai rencontré un grand nombre de personne cette année mais je n'ai pas rencontré la terre entière. Alors il est normal que je ne les connaissent pas tous dans cet immense hall. Il est déjà 17h mais le soleil est encore relativement haut dans le ciel et un grand nombre de personne s'affolant autour de moi me font penser à des fourmis. Je souris à certains visage que je reconnais , et d'autres mêmes se rapprochent de moi pour me saluer. J'en oublierai presque l'importance de la journée qui se profile. Et c'est seulement quand mon téléphone vibre dans la poche arrière de mon téléphone que je reviens à la réalité. Je récupère mon téléphone tandis que je salue une dernière fois ces visages que j'ai côtoyé au long de cette année. L'écran s'illumine quand j'appuie sur le bouton pour le déverrouiller. Je l'ai éteint le temps du vol donc il mets un peu de temps avant de se déverrouiller. Mais rapidement il se rallume pour s'ouvrir sur mes derniers message. Je souris en lisant le message qui m'est destiné et répond tout en marchant. Je pousse une porte et atterri dans le hall commun à tous les utilisateurs de l'aéroport. De nombreuses personnes sont la à guetter les tableaux comptabilisant les vols. D'autre personnes attendent patiemment sur les nombreux siège se trouvant à leurs dispositions. Et d'autres personnes encore , que je peut depuis 1 ans considéré comme mes collègue , traversent le hall de parts et d'autre. Soit pour rentrer dans l'aéroport soit pour le quitter et ou encore pour rejoindre le tarmac pour quitter l'aéroport. Je souris instinctivement aimant réellement le cadre de ma nouvelle vie. Le cadre dans lequel j'ai pu exercer mon métier et m'épanouir, j'ai mûri en un an et ai pu relativiser sur ce que je possédais. J'ai une vie réellement enrichissante je n'ai pas a me plaindre je sais vraiment que beaucoup de personne vivent extrêmement moins bien que moi. Je suis toujours en pleine réflexion quand je sors de l'aéroport un peu ailleurs. Je tourne la tête pour observer ce décor que je n'ai pu revoir que quelques seconde au cours de cette année. J'ai à peine le temps de tourner la tête pour chercher la personne que j'attend que des bras m'enlacent par derrière. Je ne met pas longtemps à reconnaître l'odeur de la personne qui me fait alors tournoyer dans les airs. Je ris alors aux éclats sans même pouvoir me contrôler , il m'a manqué et je n'arrive même pas à le cacher. Il me repose précautionneusement au sol et à peine les pieds de nouveau sur terre que je me retourne pour enfouir ma tête dans ses bras. J'aurais beau grandir , prendre un nombre incalculable d'années j'aurais toujours l'impression d'être qu'une gamine dans ces bras. J'ai 20 ans mais dans ces bras je n'en ai que 10 je redeviens rapidement la princesse que j'ai toujours été à ces yeux. Ses bras se referment sur mes bras et il me sert tellement fort que je pourrais presque me briser dans ses bras. On reste comme ça pendant quelques minutes , pendant lesquels je ressens le regard curieux des passants. Il me relâche et attrape mon visage pour observer si tous les détails de mon visage sont restés les mêmes. Il sourit se rendant sûrement compte qu'a côté de lui je suis nettement plus bronzé. Sans que je ne m'y attende il prend mes joues entre ses 2 mains et les pince en rigolant. Je grogne attrapant ses joues aussi et le pinçant pour lui faire subir ce qu'il me fait. On se regarde tous les deux sérieusement avant d'exploser de rire en se tenant les côtes. On doit avoir l'air de fou tous les deux mais ça me fait chaud au cœur de le retrouver. J'avais peur en pensant qu'il aurait pu changer mais non rien que sa dégaine me rappelle qu'il est resté le même.

Je l'aimais en pensant le connaître et il me connaissait sans m'aimerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant