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Awena.

22h.

12 aout.


Dans 3 jours la croisière prenait fin, on allait accoster à Bordeaux. J'étais plutôt triste, je vais faire quoi de mes vavances sans Paul, Théo.. et Antoine ?

Ana elle part chez ses grands parents dans le nord est de la France, alors que moi je vais pourrir enfermé chez moi. Super la fin des vacances. Bon toute façon je reprend mes études fin aout, j'aurai que 2 semaines à passer seule.

J'étais allongé sur les transat, de la terrasse du bateau, toute seule. Je trainais sur mon téléphone, et parlait par messages avec mes parents. J'ai essayé de garder une bonne relation avec eux après cet appel.

-Tu me dois quelque chose toi, non ?

Je reconnus assez vite la voix d'Antoine. Je me retourna, et lui fit signe de mon incompréhension.

-Un massage, dit il en frappant mon crâne.

Je souffla.

-Bon suit moi on va dans a chambre.

Je rigola à sa phrase.

-Sans idées bizarre ma petite, ria t'il.

Une fois arrivé dans sa chambre, il se jeta sur son lit en s'allongeant sur le ventre. Il souleva son tee shirt jusqu'au haut de son cou. C'est bon il va pas se mettre torse nu non plus.

Au début, j'étais installé à coté de lui et non sur lui car je trouvais ça beaucoup trop gênant.

-Bon vient là, dit il en tapotant le bas de sa colonne vertébrale, fait pas la timide.

Je m'installa à l'extrémité de ses fesses, hm oui plutôt gênant comme position, je vous l'accorde. Mais il l'a voulu.. Et je commenca son massage, il faisait exprès de pousser des petits gémissements pour me déstabiliser.

-Arrête ça, dit je en lui frappant le haut de la tête.

-Tu masses très bien.

Un blanc reposant s'installa. Je voulais lui demander, même si j'en avais peur, est ce que l'on gardera contact ?

-On gardera contact Antoine ?

-On essayera, je sais que c'est compliqué, mais on pourra toujours essayé.

Je savais que ça allait être compliqué, que j'avais 1 chance sur 2, soit il m'oublie, soit il continue avec moi. Je me suis trop attaché à lui, et ça m'énerve de ne pas savoir ce que lui ressent. J'en avais marre de me posé trop de questions. Je me laissa tombé sur lui, j'étais sur son dos, et je pense bien qu'on a rarement était aussi proche.

Il souriait comme un débile ce qui me fit rire.

-T'es tranquille toi, ria t'il.

-J'en profite.

Je roula, pour me mettre à côté de lui. Il ouvrit son bras, et me fit une place sur son épaule où j'y déposa pas la tête. C'était agréable et reposant. Mais je vais évité d'en prendre l'habitude, car  c'est une des dernières soirées que je pourrais partagé avec lui.

Croisière - Antoine GriezmannOù les histoires vivent. Découvrez maintenant