¡25!

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Il me plaqua doucement contre le mur. Et il déposa ses lèvres sur les miennes, nos langues se rejoignirent rapidement, dans un baiser langoureux.

Il me poussa, et m'allongea sur mon lit. Il s'attaqua d'abord à mon cou, il suçotait chaque parcelle de ma peau sans exceptions. Il embrassa la naissance de ma poitrine, avant de retiré complètement mon haut. Je lui retira à mon tour son haut, et son pantalon.

Il retira mon soutien gorge, il descendit sur le haut de mon ventre qu'il recouvrit de baisers, puis il descendit jusqu'à ma cuisse gauche qu'il mordilla légèrement. Il effleura avec sa main mon dernier tissus qui recouvrait mon intimité, ce qui me fit lâcher un soupire.

On retira chacun nos 2 derniers bouts de tissus qui nous restait, et ils rejoignirent le reste de nos vetements éparpillés dans la chambre.

Il appliqua un préservatif, et rentra doucement en moi.

-Putain Awena, dit il une voix saccadé.

-Anto, arrivais-je à dire entre quelques gémissements.

Ses vas et viens étaient de plus en plus rapide. Nos corps se trouvaient à présent en parfait harmonie.

Nous vînmes dans un gémissement bruyant, caché par nos lèvres collés.

Il se positionna à côté de moi, et me fit une place contre son torse. On s'endormit l'un contre l'autre.


14 novembre.

6h30.


-Anto bouge toi, je dois allé en cours, dis je en le secouant.

Il grogna avant de faire apparaitre sa grosse tête. Il était mignon les cheveux en bataille, des cernes jusqu'aux pieds, oui il restait mignon, c'est pas donné à tout le monde.

-Tu rentres comment ? 

-J'ai un billet d'avion pour Madrid à 11 heures je crois.

-Bon désolé je vais devoir te viré de chez moi.

-T'es chiante.

-Je sais, t'as du me le dire approximativement 350 fois, depuis qu'on se connait. 


7h45


Il était tant pour moi de partir, Antoine lui aussi partait en même temps que moi. 

-Antoine, j'y vais tu viens ? criai-je à travers l'appartement.

-J'arrive.

Voilà, le moment des au revoir toujours compliqués. 

Il passa ses deux bras autour de ma nuque, avant de ma plaqué contre le mur et de déposé ses lèvres contre les miennes. On s'embrassa une dernière fois, avant de se quitter pour longtemps. À vrai dire je ne sais pas ce que représente cette nuit, et tout ces baisers, mais je m'en contre fous. À cette heure ci, la seule chose que je veux c'est lui.

Croisière - Antoine GriezmannOù les histoires vivent. Découvrez maintenant