Verbotene Liebe

🇫🇷Chapitre 5🇩🇪

                                                                              28 novembre 1942 

Ma mère c'est enfin décidé à parler à Hans . Bien sûr elle ne veut pas l'appeler par son prénom , et moi je dois l'appeler lieutenant tant qu'elle est là . 

Hans m'a déjà dit que son régiment pouvait partir à tout moment . Cela me fait un peu de la peine car je vais perdre un bon ami , mais d'un autre côté tant mieux car c'est un allemand , et que c'est notre ennemi . 

Il cherche encore des nouvelles de mon père , mais sans succès . On dirait que mon père n'est pas au front ,pourtant dans ses lettres il m'a dit que c'était dur d'y être , que c'était dur en hiver lorsque les gelées commençaient , que l'été approchait et que le soleil tapait fort jusqu'à les faire transpirer dans leurs uniformes , et nous on a le chauffage pour se réchauffer lors des grandes gelées , des habits appropriés lors de grande chaleur . 

Les grandes gelées vont commencer et je ne sais pas ou est mon papa . 

- Hans , as-tu des nouvelles de mon papa ? c'est tu ou il est ? 

- Non , je suis désolé mais il est introuvable , je vais encore refaire des recherches . 

- D'accord , merci encore Hans 

- De rien . 

Hans mit sa veste et parstit . 

- Il est partit ? 

- Oui maman 

Maman prit la radio , et mis de Gaulle . 

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Pendant le souper , Hans est rentré et partit se coucher . 

-Tu devrais lui apporter une assiette 

- Tu penses ? si il avait faim il serait venu manger ici 

-Oui il mangeait là quand j'étais pas là 

- Pas faux , bon ok je vais lui faire une assiette . 

Je pris une assiette et monta celle-ci à Hans . 

- Merci , c'était ton idée ou pas ? 

- Non celle de ma mère 

- Tu lui dira merci de ma part alors . 

Je descendis , et manga mon assiette . 

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Après le souper , je partis me laver et me coucher . Cette journée était plutôt positive . Maman a demandé  de monter une assiette à Hans et n'est plus fâchée si je lui parle . 

                                                                              29 novembre 1942 

Le mois de décembre approche doucement , et les grands froids vont commencer à arriver , et je pense à mon papa qui est encore dehors , enfin je crois comme Hans n' a pas trouver de nouvelle de lui , je ne sais pas si il est encore dehors , si il est dans un camps , ou même si il est mort . Bref je vais pas penser à cela , ça me fait mal de penser que mon père pourrait être mort . 

- Tu penses beaucoup trop mademoiselle Richard 

- Je pense pas Lieutenant Schmidt . 

- Mais bien sûr  

- Je pense à mon papa . 

- T'inquiète pas je vais trouver des nouvelle de ton papa . 

- Merci encore 

Il mit sa veste de son uniforme et partis , quant à moi et ma mère nous partons à la messe . Nous passons bien évidemment par la place et tous les soldats allemands y sont . De loin on peut voir qui sont les soldats , les lieutenants et le supérieur . 

Le père Benoît nous ouvre les portes . Comme d'habitude maman et moi nous nous installons dans les premier rang . 

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Il nous reste encore encore une petite épicerie sur la place . En sortant je parle un peu avec l'épicier et sa femme , qui me dise que tout va s'arranger et que tout sera pareil 

- On l'espère tous lui dis-je 

-  Faudrait que les allemands partent d'ici pour avoir la même vie qu'avant 

- Le régiment peut partir à tout moment . 

- Si ils peuvent partir d'ici demain cela serai bien . 

Je lui souris et prend mes sacs . Pour retourner chez moi je passe par la place . 

- Vous voulez un coup de main ? me dit un allemand 

- Non merci je n'ai pas besoin d'aide d'un soldat allemand , oh au faite il est 13h et non 12h00 , faut peut être vous remettre à l'ordre . 

Je rentre chez moi et ne vois pas ma mère , par contre un mots m'attend . 

Je le pris et le lis . 

" Marthe , 

je suis partie chez ma soeur car elle a un problème . Sa fille est tombée malade je dois l'accompagné à Paris , je ne reviendrais pas avant la semaine prochaine . 

Prend soin de toi , 

                                                                                                                    maman . " 

- Mon supérieur n'a pas trop aimer  la façon que tu as répondu à un de nos soldats 

-C'était soit ça ou je lui répondais pas  et tu m'as bien dit qu'il fallait répondre ? 

- J'ai dit gentiment pas comme tu as fait , tu l'as limite agresser . 

- Non , je l'ai pas agresser , je lui est juste répondu sur le faite qu' à cause de vous je ne sais même plus quelle jour on est 

- A cause de nous ?

 - Qui a changer à l'heure ? Qu l'a reculé de 1 heure ? certainement pas moi . 

- On est obliger , t'inquiète pas que moi je l'aurai pas fait si je n'était pas obliger de le faire . 

- Mais tu es obligé ! et c'est ça le problème ! tes toujours obligé , qu' à cause de ça je ne sais plus l'heure qu'il est , ni quelle jour on est ! 

- Nous sommes dimanche et il est 14h00 

- Ah bah merci lieutenant ! 

Je monte en colère dans ma chambre , je veux que la guerre soit fini , je veux que les allemands partent , je veux tout arrêter ! tout! 

J'espère qu'ils  ne vont plus rester ici longtemps , je pensais que Hans était un ami mais je me suis tromper , il est comme tous les autres .....