Verbotene Liebe

🇫🇷Chapitre 7🇩🇪

                                                                               10 décembre 1942

En ce mois de décembre , je m'installe sur une petite table qu'on a installés dehors avec un stylo et une feuille de papier .

J'ai décidé d'écrire une lettre à mon père , je dois lui avouer un truc qui est dur à dire .

" Cher papa ,

J'espère que tout vas bien , pour moi les choses sont compliqué . Est-ce que tu te demandes parfois si les choses serait moins compliqué si tout le monde était pareil ?

J'aurais voulu en parler à maman mais au vu des conditions de mes paroles je préfère t'en parler à toi .

Depuis quelques jours je me suis beaucoup rapprochée de Hans , et j'ai peur que l'on fasse une bêtise .

J'espère que cette lettre te parviendra ,

Je t'aime

                                                     Marthe"

Je lis et relis encore une fois ma lettre en me disant si cela n'est pas une bêtise de le dire à une personne ,ou si il faudrait mieux que je le garde pour moi .

Je décide de déchirer ma lettre , tant pis j'essayerais de ne pas faire cette connerie a laquelle je pense .

Je reste pensive dehors par un vent glacial qui pourrait vous coupez les doigts en trois seconde .

- Pas trop froid ?

- Non ça va merci , et toi ?

- Non , mais le vent est glacial .

-Oui je le sens ça

- Cela fait longtemps que tu es la

- Environ 30 minutes .

Hans et moi restons dans le silence pendant un petit moment quand je décide de briser le silence .

- Est-ce que ton régiment peut partir à tout moment ?

- Oui je pourrais partir maintenant comme je pourrais partir demain .

Je le regarde dans les yeux . Je n'avais jamais remarquer que ces yeux était bleu .

- Si tu pars tu feras attention

- Est-ce que ma vie est-elle précieuse pour toi ?

- Oui elle est

Hans me sourit et rentre sûrement à cause du froid . Moi je préfère rester encore un peu dehors à penser .

Le bruit assourdissent des tasses se posant sur la table me font sortir de mes pensées .

-Est-ce que tout va bien Marthe ?

-Oui tout va bien ...

- Qu'y-a t-il ? Je le vois que tu es mal

- Est-ce que tu t'es déjà demander comment cela serait si tout le monde était pareil ?

- Non pas vraiment , je suppose que cela serait vite ennuyant de faire et aimer les mêmes choses que tout le monde

-Ta raison . Hans est-ce que par moment tu aurais envie de désobéir aux forces allemandes ?

- Oui enfin pour une seule chose .

- Laquelle ?

Le temps de penser me fut cours , que les lèvres de Hans ont rencontrer les miennes . Le vent froid se mélange à nos souffles chauds .