🇫🇷Chapitre 13🇩🇪

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                                                                               9 février 1943

Dans quelques semaines Hans va pouvoir repartir auprès de son capitaine et de son régiment . L'impact que la balle a laissé sur le torse de Hans disparaît de jour en jour . Quant à moi je me fatigue plus vite que d'habitude . Faut dire que je ne suis plus toute seule . J'étais entrain de penser lorsqu'une main toucha la mienne .

- Est-ce que çva Marthe ? Es-tu fatigué  ?

- Un peu oui . Je ne suis plus toute seule .

- Je sais et justement tu devrais te ménager , quand je repartirai je veux que tu aille te reposer .

- Mais .

- Il n'y a pas de mais . Je vais essayer de te trouver une maison pour toi

- Non Hans je suis bien chez mes parents .

- Oui d'accord mais bientôt tu vas avoir ta propre famille .

- Tu sais ce qui est énervant chez toi ?

- Non

- C'est que tu as tout le temps le dernier mot .

Hans se mit à rire . Son rire est la plus belle chose au monde que l’on puisse entendre .

- Bon aller je vais te laisser te reposer .

- D'accord à tantôt

Je repris le matériel et parti le ranger .

Certains patients sont malheureusement décédés pendant la nuit .

Les médecins mettent un drap blanc dessus et puis les transportent dehors .

Une de nos infirmières  est malheureusement décédée en essayant de sauver une pauvre personne qui avait le typhus .

Après cela nous avons du laver tout les draps pour éviter la propagation de la maladie .

Lorsqu'Hans à appris ça,  il n'était pas trop d'accord que je reste sur le site , mais je n'aurais pas eu le courage de partir ....

............................

Le capitaine Boehmitz est la , occupé à parler à Hans . Sûrement pour parler de ce qu'il va se produire dans les prochains jours .

Je suppose qu'il il lui donne son emplacement lorsqu'il sera sorti .

- Marthe , arrête de rêvasser .

- Désolé . Mais j'aimerai tellement savoir ce qu'ils se disent .

- Tu peux toujours essayer mais le garde est devant .

- C'est ça le plus énervant .

Rose et moi rigolons . Malgrés la guerre qui est encore la nous savons rire .

                                                                           26 février 1943

Hans est reparti dans son bunker . Il m'a dit qu'il essayerai de me trouver une maison .

« Cher Marthe ,

Je suis bien arrivé au bunker . Je ne pourrai pas te répondre aussi vite qu'avant . Le führer nous donne plus de travail .

Je viendrai te chercher dès que j'aurai une maison .

Je t'embrasse fort , prend soin de toi .

Je t'aime .

                                                                                                                                                                                                                     Hans »

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