Chapitre 5

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Ansel Elgort- All I think about is you



Précédemment:

Nous arrivâmes devant le perron de la maison Salvatore. J'aperçus le journal devant la porte. Je l'avais déjà parcouru vite fais et déjà fait les mots croisé. Mais je n'avais jamais lu les articles à l'intérieur.

Je pris le journal et l'ouvrit.

-Non, hurla Kai.

Je lu:

Un psychopathe se balade dans les rue de Portland. Un jeune homme de 22 ans à tuée toute sa famille a l'exception de sa sœur,laquelle à du subir une opération d'urgence à cause de cet homme,lui ayant arraché la rate. Malachai Parker est dangereux !Attention. Si vous voyez cet homme veuillez immédiatement prévenir les services de police.

Omondieu...

***

Kai me regardait, attendant ma réaction. Je levais les yeux,sonnée.

-Kai, c'est le diminutif de quoi ?

J'avais parlé d'une voix très calme, posée, mais je sentais que si il tardait à répondre, j'allais exploser.

-Bonnie...

-Réponds-moi, hurlais-je.

Il soupira.

-Kai c'est le diminutif de Malachai.

Je dardait mes yeux dans les siens. J'avais sus qu'il disait vrai à la minute ou les mots étaient sortis de sa bouche.

-Tu es un psychopathe.

Soudain, un changement se produit en lui. Il sourit, mais pas d'un sourire amical et malicieux, c'était un sourire froid et calculateur. Ses yeux aussi avaient changer. Ils étaient beaucoup plus sombre, plus glacial. Je reculais d'un pas.

-Je dirais plutôt un sociopathe, ma chère Bonnie.

En même temps que je reculais, Kai avançais.

-N'approches pas, fis-je sur mes gardes.

Il haussa un sourcil. Il reprit d'une voix tranquille, comme si nous parlions de la pluie et du beau temps.

-Tu sais, je ne regrette absolument pas.

-De quoi tu parles ?

Je baissai les yeux, refusant tout contact avec les siens. Il prit mon menton sous ses doigts afin de me forcer à le regarder.

Il parla lentement, en détachant tout ses mots :

-Je ne regrettes pas une seule seconde d'avoir tué toute ma famille. A part ma sœur chérie, mais dès que je sortirais de ce troue, je lui réglerais son compte.

Je reculais encore, horrifiée. Il sourit encore.

-Tu... es fou.

-Moui, si tu veux.

Je secouais la tête, me libérant de mon emprise.

-Je me débrouillerais seule pour sortir de ce monde prison. Je rompt notre accord, Kai. Laisses-moi partir.

Il soupira. Il me prit le bras.

-Je sentais bien que tu allais me dire un truc du genre. Je m'y étais préparé.

Oh, non.

Je voulu me dégager de sa main, mais il me tenait fermement.Soudain, il sorti un couteau de sa poche et me l'enfonça dans le ventre.

Pendant tout ce temps, il m'avait regardé dans les yeux, et je n'y voyais aucune trace de regret. La douleur fut atroce. Des points noir et rouge dansaient devant mes yeux. La brûlure était tel, que je crus un instant que un incendie s'était propagé dans tout mon corps. Je chavirais, mes yeux se brouillaient. Je sentis, loin, très loin, qu'une main me retins. Des bras s'enroulaient autour de moi et me portais. Je me sentais ballottée. Avant de se fermer, mes yeux se posèrent derechef sur Kai. Son visage fut la dernière chose que je vis avant de sombrer.

Je me réveillais, quelques heure plus tard. J'étais allongée sur un canapé, un couverture posé sur moi. Du sang la tachait.

Omondieu...

Je me souvint soudain. Kai, Malachai, le couteau. Il m'avait...Arg, il m'avait assassinée. Je me pinçais. Non, je n'étais pas morte. Enfin...

Ou étais-je ?

-Enfin réveillé, fis une voix on ne peut plus familière derrière moi.

Je serrais les dents. Je n'étais effectivement pas morte.

-J'aurais préféré ne jamais me réveiller, fis-je d'une voix rauque.

-Ben, merci, je le prend comme un compliment, dit il ironique.

J'essayais de me lever, mais je me rendis soudain compte que je ne portais qu'un tee-shirt, et une petite culotte. Rhaa, j'allais le tuer.

-Kai ?

-Hum ?

-C'est toi qui m'a déshabiller ?

-Évidemment, tu vois quelqu'un d'autre, ici à part toi et moi ?

Son sarcasme ne me plus pas.

-Sérieusement Kai.

-Oui, oui, c'est moi.

Il s'approcha de moi, part derrière afin de me susurrer à l'oreille :

-Tu as un corps magnifique, princesse.

-Merci, grommelais-je.

Je regardais le tee-shirt, avant de dire :

-Il est à qui ce tee-shirt ?

-A moi, bien sûr, fit t'il, tout fier.

-Tu as des goûts douteux en matière de mode.

Il ricana.

-Kai ?

-Ouais ?

-Ou suis-je ?

-Tu es chez moi, à Portland.


















Hello^^

Je suis revenue de mes vacances, du coup, j'ai pu écrire ce petitchapitre, comme sa !

J'espère qu'il vous a plus^^

Bisous

#Miss Stilinski




1994Où les histoires vivent. Découvrez maintenant