Chapitre 7

176 8 0
                                    

Julian Perretta et Feder-Private Dancer


Précédemment:

-Bon, écoute, j'ai quelque chose à te proposer.

Je haussais les sourcils, intriguée.

-Oui ?

-Laisse moi te convaincre de retravailler avec moi.

-Hors de question.

-Juste une journée ?

-Non, une heure.

-Une demie-journée ?

-Non, une heure.

-Le temps d'un repas ?

-D'accord, soupirais-je.

-Tu va passer le meilleur repas de ta vie, ma chère.

***

Il était aux alentours de midi, puisque nous avions attendu toute la journée que je me rétablisse "à peu près" avait t'il précisé. Kai était déjà aux fourneaux et je doit bien admettre que ça sentait vraiment très bon.

Pour ma part, j'étais dans ma chambre, enfin la chambre que Kai m'avait attribué, car je ne connaissais pas sa maison, bien évidemment. Étant donnée que le portable n'existait pas vraiment en 1994 (enfin vous voyez quoi ) je n'avais donc rien pour écouter de la musique. C'était assez problématique puisque la musique s'était assez bien pour empêchez de crouler sous les pensées indésirable. Et je peux vous jurez que j'en avait à revendre des pensées indésirable. Tout d'abord, jen'avais aucune confiance en Kai. Il m'avait berné, c'était fait passé pour un mec cool et gentil alors qu'en fait il s'agissait d'un dangereux psychopathe (sociopathe pour reprendre ses propre mots) qui avait assassinée de sang froid (qui assassine chaleureusement ?) presque toute sa famille. Je ne pouvais absolument pas me fier àlui. Comme quoi les apparences sont trompeuses. Kai Parker, qui es tu ?

-Bonnie ? C'est prêt.

Kai.

Bien, pour affronter ce repas il allait me falloir une bonne dose de courage. Je respirais à fond, puis descendis.

-J'arrive, grommelais-je.

-Mais quelle enthousiaste.

Kai avait pris son petit air ironique qui me déplaisait par dessus tout. Il avait une idée derrière la tête, sa c'était absolument sûr.

-Me voilà, finissons en au plus vite.

-Oui ,oui, dit il distrait.

Je me dirigeais en traînant des pieds vers la salle à manger tout a fait extraordinaire.

-Un sourire n'a jamais tué personne,tu sais.

-Très drôle Kai. T'a avalé un clown ce matin ou quoi ?

Il éclata de rire.

-Les blagues sont de plus en plus drôle à ton époque.

Je fronçais les sourcils, mais ne relevais pas.

La table était joliment dressé. Un service d'assiettes en porcelaine merveilleusement ciselé. Des couverts en argents, véritable je supposait. Des bougies éclairaient faiblement la pièce, et donnait un petit côté intimes. J'aurais préférée qu'il s'abstienne.

1994Où les histoires vivent. Découvrez maintenant