Bonnie Bennett, une puissante sorcière, s'est fait piégé dans un monde prison. Celui ci ne contient qu'une seule personne qui doit vivre sans cesse le même jour, le 10 mai 1994. Son nom: Kai Parker, un psychopathe terriblement sexy qui a assassiné t...
Mes yeux s'ouvrirent difficilement. Huum... Encore cinq minutes, pensais-je l'esprit encore embrumé. Quelque chose de chaud me protégeais de l'air vif de la chambre. J'avais du laisser la fenêtre ouverte. Il faisait froid dehors, il fallait donc que je reste sous la couverture et avec cette chose si chaude à côté de moi.
Attendez... Quoi ?
Je levais les yeux. Omondieu... En faite il ne s'agissait pas d'une chose chaude, mais d'une personne. Une personne très familière.
J'étais à demie allongé sur Kai. Une jambe en travers d'une des siennes. Mon visage tout près du siens. Son bras était passé autour de ma taille et me tenait fermement serré contre lui.
-Nom de Dieu c'est quoi cette position, jurais-je tout doucement.
Kai poussa un grognement. Malgré moi, je me rendis compte qu'il n'existait pas de son plus sexy. Je rougis violemment à cette pensée.
-Hum, Bon-Bon, recouche toi.
Il avait parlé d'une voix rauque et divinement enroué de sommeil. Je réagis au quart de tours. Je le poussait de toute mes force et il faillit tomber du lit. Il se raccrocha à la dernière minutes.
-Mince, Bonnie t'es folle ?
Je fulminais.
Pour qui il se prenait celui là ?
-Tu veux bien me dire ce que tu fout dans mon lit ? M'entendis-je dire.
-Et bien je dors ça ne se voit donc pas.
-Sérieusement, Kai.
Il fit mine de réfléchir puis sourit en regardant les draps.
-Quoi ? Grondais-je.
Puis je me rappelais soudain de quelque chose.
Omondieu...
Hier soir j'étais tellement exténuée par la journée que j'avais eu, que je ne m'étais pas changé.J'étais donc resté en sous-vêtements.
J'étais en petite tenue devant Kai.
-Rah, mais quel pervers
Il rit doucement.
-T'inquiètes pas, je n'ai rien vu. Je me réserves pour plus tard.
-Bouges de là.
-Avec plaisirs.
Il sorti de mon lit.
-Dépêches toi. On va s'entraîner toute la journée pour être prêt pour ce soir. Va t'habiller.
-D'accord. Je suis prête dans vingts minutes.
Je descendis à mon tour du lit, en prenant garde à ce que Kai soit bien parti.
Je pris ma douche en me dépêchant, et m'habillais.
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Je descendis les escaliers en me frottant les yeux.
-Allez, viens vite.
Il me regarda puis siffla longuement.
Je levais les yeux au ciel.
-Kai, sérieusement, arrête.
Il ricana.
-Comme tu veux, ma belle. Allez, on s'y met.
Nous passâmes donc toute la journée à répéter encore et encore le sort. Au fil de la journée, le comportement de Kai se modifia. De plus en plus souvent, il perdait patiente. Dès que je ratais mon sort, il s'énervait. Une idée germa dans mon esprit. J'avais un plan.
Enfin, en fin d'après midi, Kai m'annonça qu'il ne restait plus qu'une demie-heure avant l'éclipse.
-Il faut que nous rendions dans un endroit bien précis.
-Tu sais ou il est ? Demandais-je intriguée.
-Oui bien sûr. Cela fait bien longtemps que je cherche à sortir d'ici.
-D'accord.
Nous partîmes donc à sa recherche. Après environ un quart d'heure, nous trouvâmes un grotte juste en dessous de nous.
Une échelle peu stable avait été posé là. Kai descendis le premier.
Il me signe que je pouvais y aller.
-Viens, ce n'est pas très profond.
La grotte était magnifique. Des reflets se manifestaient un peu partout, donnant l'impression qu'il y avait de minuscules diamants de partout.
-Waouh, soufflais-je.
Il se tourna vers moi.
-C'est magnifique n'est-ce pas ?
-Oui, c'est sublime.
Je pris le temps d'admirer la grotte, puis Kai m'appela.
-C'est l'heure, dit t'il simplement.
Il était plus que temps de mettre mon plan en application.
Je pris l'ascendant. L'éclipse venait d'apparaître.
-Bien, dit Kai doucement, maintenant tu va faire exactement ce qu'on a fait. D'accord ?
-Ok.
Je pris une profonde inspiration avant de commencer. Je récitais lentement et distinctement le sortilège.
Kai me regardait en jubilant.
Et puis, tout fut finit.
Kai ferma les yeux. Puis les rouvrit. L'éclipse était parti.
-Mais... Mais...
Je le regardais, en souriant. J'avais réussis !
Il me regardait sonné.
-Qu'a tu fait ? Hurla t'il, sa aurait du marché. Tu as fait le sortilège.
Je pris le temps de savourer ma victoire.
-En effet, fis-je calmement. J'ai réussi le sortilège.
-Je ne comprend pas, grogna t'il.
-Tu n'a pas remarqué que j'avais pris un sac. Quelque chose à bien était transféré dans le monde réel.
-Non. NON !
Je souriait.
Il s'approcha, me prit par les épaules et me secoua comme un prunier.
-Qu'a tu FAIT ? Répéta t'il.
-J'ai transféré mes pouvoirs à l'intérieur de la peluches qu'il y avait dans le sac et j'ai fait passé le sac dans le monde réel, expliquais-je lentement.
