Chapitre 11

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Sofia Carson - Back to Beautiful

New-York. Je suis à New-York. La ville de mes rêves. La ville ou TOUT peux arriver. La ville ou j'ai toujours voulu réaliser les moindres de mes désirs. Et c'est Kai qui m'y a emmené. Kai Parker, mon meilleur ennemi. Le psychopathe qui m'a planté deux fois un couteau dans le ventre. Kai Parker, cet homme magnifiquement dangereux.

-New-York, hein ? Dis-je au bout d'un petit moment.

Il sourit, tout fier de lui.

-Et oui, j'ai appris que tu adorais cette ville et que tu ne l'avais jamais visité. J'ai donc voulu remédier à cela.

-C'est très... Gentil.

Si on m'avait dit il y a trois jours, que Kai et l'adjectif gentil aurait été réuni dans une même phrase, j'aurais probablement éclaté de rire.

Mais il est vrai que je dois reconnaitre que Kai a été particulièrement attentionné pour un sociopathe. Cela ne lui ressemble absolument pas.

-Tu as l'air troublée.

-Je le suis en effet.

-Pourquoi cela ? Dit t'il dans un sourire.

-Parce que tu n'est pas gentil.

Son sourire s'élargit.

-Et bien, ça dépens des jours.

Je laissais tomber.

Par la suite, je l'aidais à ranger les courses qu'il avait fait tomber tout à l'heure. Nous n'avons pas parlé, nous concentrant seulement sur notre tâche.

Une fois finit, il était environ onze heure du matin, nous nous assîmes sur le canapé. Je décidais de mettre le plus de distances possible entre lui et moi.

-Je ne mords pas, tu sais.

-On ne sait jamais.

Il fronça les sourcils.

-Tu sais, il est moins dangereux de m'avoir à tes côté, que d'avoir un vampire.

-Je n'en suis pas si sûr.

Il haussa un sourcil, puis reprit:

-Écoute, je pense que au profond de toi, tu aime ma compagnie. Enfin, tu aime ne pas être seule. Tu sais, c'est pareil pour moi. Je veux dire, je t'ai amenée à New-York pour que nous puissions partager des choses. Nous ne pouvons plus rentrer, donc j'ai pensé que tu préférerais rester avec moi que parcourir le monde sans but et absolument seule.

Il me regarda intensément. Son monologue m'avait coupé le souffle. Je soupirais.

-C'est vrai. Tu as raison. Il y a des millions de personnes avec qui je préférerais être en ce moment, mais je n'ai pas le choix. Je ne tient pas à rester seule.

-Bien, maintenant que nous avons éclaircie cela, allons nous promener.

Je sourit à mon tour, oubliant un instant à qui je parlais.

-Oui, avec plaisirs.

Nous sortîmes de l'appartement, il me tint la porte.

-Merci, dis-je dans un murmure.

-La galanterie se perd, de nos jours, dit t'il.

-Tu parles comme un mec de quarante  piges, le narguais-je.

Il ricana. Nous sortîmes dans la rue.

C'était étrange. Très étrange. La ville ressemblais à New-York. Mais un New-York vide. Très vide.

-Ah, c'est bizarre, lâchais-je.

Les panneaux publicitaire étincelaient de toutes part. Des voitures étaient garé sa et là, un pzu partout. Des taxis jaunes aussi.

Kai sourit.

-La ville est à nous.

Nous déambulâmes dans les rue. Kai, qui connaissait déjà me montra toutes les choses importantes. Central Park, Broadway,Wall Street, le One World Trade Center, etc...

Nous prenons à manger dans un snack, puis nous nous assîmes avec notre butin, à Times Square.

Le soleil brillait fort dans le ciel. Évidemment, nous étions le 10 mai 1994.

Nous discutâmes de tout et de rien pendant des heures. Lorsque l'éclipse surgit Kai décréta qu'il était temps de rentrer.

En effet, j'avais affreusement mal aux pieds. Kai le remarqua.

-Attends d'être à l'appartement, pour enlever tes chaussures, je te soignerais.

Je le remerciais et il m'aida à monter les marches.

Il ouvrit la porte et me conduis directement  la salle de bain. Je m'assit sur le bord de la baignoire.

-Je vais retirer ta chaussure, d'accord ?

-Oui.

Tout doucement, il entrepris d'enlever mon escarpin. Je grimaçais. Une énorme ampoule recouvrait désormais mon pied.

Il prit un coton et nettoya le pus qui avait couler.

-En même temps qu'elle idée d'aller marcher avec ses horreurs ?

Je lui tapais le bras.

-Et, critique pas mes chaussures.

-C'est de la torture pour les pieds.

Je souris. Il massa mon pied, puis remonta doucement sur mon mollet. Je sursautais. Je ne l'avais pas vu venir.

Il se releva et se mis à ma hauteur. Il fixa mes lèvres, et je faisait pareil de mon côté. Nos souffles s'enlaçait et s'entrelaçait. Je m'humectais les lèvres.

Ses yeux faisaient des aller-retour entre les miens et mes lèvres. Soudain, je me penchais vers lui et effleurait ses lèvres de miennes.

Et il m'embrassa.













Hello^^

Chapitre très court, je le sais, excusez moi. Mais bon, on fera mieux la prochaine fois^^ Que va t'il se passait désormais pour Bonnie ?

Bisous

#Miss Stilinski


1994Où les histoires vivent. Découvrez maintenant