Chapitre 32

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Moody Blues - Nights in White Satin Lyrics



Je comptais les jours, depuis mon arrivée. Et plus les jours passaient, plus je perdais espoir. Nous avions voyagé, amassés toutes sortes d'objets, mais je sentais mon espoir s'envoler.

Si seulement nous pouvions y arriver...

Je voyageais avec Raphaël. Kai était parti de son côté, nous laissant seuls. Nous nous donnions des points de rencontre pour échanger nos objets trouver.

Je savais que Raphaël se méfiait de son frère. A chaque fois que nous nous voyions, je sentais son regard épier le moindre de ses faits et geste.

Cette situation n'était pas durable.

Il nous restait un objet à aller chercher. Il s'agissait en fait, d'un grimoire. Nous nous rendions en Chine pour le trouver.

Les voyages étaient long et fatiguant. Mais c'était bientôt terminé.

-Bonnie ? M'interrompis un voix.

Raphaël me jetait des coup d'œil tout en restant fixé sur la route.

Je sursautais.

-Excuse moi, j'étais perdu dans mes pensé.

Comme d'habitude, la voix qui me rapprochait de Raphaël m'incitais à me coller contre lui. Je m'orientais donc vers lui. Remarquant mon geste, il sourit.

-T'inquiète pas, on arrive bientôt.

En effet, je reconnaissais les écritures chinoises sur les panneaux.

Après une longue heure a parcourir les petites routes sinueuse, nous arrivâmes devant une petite maison. Vide, bien sûr.

-Très accueillant, ironisais-je.

Raphaël sourit.

-Je doute que quelqu'un entretienne cette charmante maison.

Je souris à mon tour.

Nous entrâmes, la porte n'étais pas verrouillé.

A l'intérieur, c'était un vrai bazar. La maison était toute petite et remplis e babioles de toutes origines entreposés sur des étagères poussiéreuse.

Je passais le doigt sur l'une d'entre elle. Je grimaçais à la vue de toute cette poussière sur mon doigt.

-Bon, je pense qu'on va devoir fouiller.

Nous nous attaquâmes alors aux étagères. Lorsque je trouvais un livre  qui ressemblait à un grimoire, comme ceux de ma grand mère.

Mais à chaque fois, Raphaël secouait la tête.

Je soupirais.

-On le trouvera jamais...

A peine avais-je dit ça, que Raphaël brandit un gros bouquin, victorieux.

-Et bien si, le voilà !

Nous le parcourûmes. Les pages étaient jaunis et fripé par le temps.

-Parfait, c'est le bon.

-Bien, nous pouvons rentrer dans ce cas.

Raphaël se tourna vers moi, après avoir posé le livre sur une étagère.

Il avait une lueur affamé dans le regard.

Je fronçais les sourcils.

-J'ai envie de faire quelque chose que j'ai envie de faire depuis le début de nos voyages.

-C'est à dire.

Il avança vers moi.

Je reculais.

Il me prit par la taille.

-Tu ne vois pas de quoi je veux parler ?

Oh si, je voyais très bien.

-...

Je n'eus même pas le temps de prononcé un mot, il m'embrassa.







Bonjour^^

Excusez moi pour le retard, j'étais débordé cette semaine !

J'espère que ce chapitre vous plaira !

Bises

#Miss Stilinski

1994Où les histoires vivent. Découvrez maintenant