Dans Le Monde Surnaturel Tome 2

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Je n'ai même pas le temps d'arriver à la porte que Logan m'attrape et me plaque contre le sol, il se met au dessus de moi et plonge son regard dans le mien. Une seule pensée tourne dans ma tête à cet instant et elle est vraiment pas catholique. Il plaque sa bouche contre la mienne avec un désir non dissimuler. Je commence à jouer avec sa langue et il lâche un râle de plaisir dans ma bouche. Il se presse contre moi nu comme un verre. Je passe mes jambes autour de sa taille et je commence à rouler mon bassin contre le sien. Je gémi son prénom en l'approchant de moi, je prends possession de sa bouche une nouvelle fois. Je suis toujours habiller pourtant j'ai l'impression que son érection touche directement mon sexe. Je décolle mes lèvres des siennes et parle dans un chuchotement. 

-J'ai trop de vêtements. Il grogne son approbation avant de tout retirer aussi rapide qu'un clignement d'œil. Je passe une main entre nous pour attraper son sexe et je fais des mouvements de haut en bas, il ne me laisse même pas le temps de faire trois mouvements. Il attrape ma main la retire et me pénètre d'un seul et unique coup. Je ne me suis jamais senti aussi plaine et heureuse de toute ma vie. Il s'arrête des qu'il est au bout et il plonge son regard d'ambre dans le mien. Ses yeux se que je les aime.  

-Désoler mais j'en avais râle cul des préliminaires. J'enfonce mes talons dans son dos pour qu'il s'approche plus encore de moi. 

-T'en mieux. Il commença les mouvements, lent et profond. Je grogne pour lui montrer que je veux pas de la délicatesse. Je plaque bon bassin contre le sien et j'essaie de faire des mouvements plus violent. Il rit, un sons roque qui se répercute dans tout mon corps. Me donnant une série de frissons.

-Je veux prendre mon temps ma belle. Je grogne quand il sort de moi et dans un mouvement violent il rentre en me fessant lâcher un gémissement pathétique. Il sourit et m'embrasse avec force et prend ma bouche comme j'aimerai qu'il prenne mon corps. Il m'embrasse violemment alors qu'il rentre et sort de moi lentement. Putain s'il continu je vais devenir folle, j'arrive même pas à sortir un seul mot. Mon désir est tel que j'ai besoin de violence pour le calmer. J'enroule mes bras autour de son cou et je parle à son oreille en soufflent prêt de sa joue. 

-Soit tu vas plus vite soit je vais penser que tu n'as aucune expérience avec une femme qui respire. Tu préfères tes mains ou une poupée gonflable ? Je sais c'est un coup bas mais merde j'ai vraiment trop besoin de lui là, on a beau l'avoir fait il y a 5 minutes j'en ai encore besoin, encore plus depuis que j'y ai goûter. Pour ma défense je me dis que si je remets sa virilité en jeu, il va me donner se que je veux.

Il grogne et donne un coup violent qui plaque son corps contre le mien. Ses yeux ambres me foudroient, bon j'ai compris il vient de me prouver qu'il est tout se qu'il y a de viril en me fessant crier son nom avec un seul coup de rein. Pourtant il commence à donner des coups de plus en plus rapide et fort exactement se que j'avais besoin. Il me pilote sans aucun problème et la sensation et tellement agréable que je me laisse complètement faire. Il capture mes lèvres de sa bouche et ses coups sont plus rapide encore. Je lui hurle d'aller plus vite, plus fort, de ne pas s'arrêter, jamais...

Il me comble complètement comme si mon monde tourner autour de nous comme si nous ne fessions qu'un. Il grogne en roulant les hanches plus fortement contre moi, je le serre à l'aide de mes bras et de mes jambes. Il donne trois coups et je sens un orgasme particulièrement fort m'emporter. Je hurle son nom et il plonge son visage dans mon cou pour cacher le sien. Je suis prise de tremblement jusqu'à se que Logan sorte de moi, je fais une drôle de grimasse, je ressens un manque. Quand il l'a voit il sourit et me pause un baiser sur les lèvres. Il se relève et me porte pour me mettre sur le lit. Il s'allonge prêt de moi et m'attire vers lui mon dos contre son torse. Il entour ma taille avec ses bras et pause sa tête contre la mienne. Plus rapidement que jamais le noir m'emporte dans mon enfer personnel.