Dans Le Monde Surnaturel Tome 2

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Je suis sur la route depuis un bon moment déjà, je suis mon instinct. Je sais pas où je vais mais mon cerveau dirige la voiture sans que je sache comment il fait. 

J'arrive dans une ville, le panneau annonce "Lick hills", je roule dans la ville et tourne au croisement à gauche puis à droite et une autre fois à droite, la ville est très animé. Il y a des gens partout, la journée est magnifique avec un grand soleil et un cile sans nuage. Se temps n'est pas du tout raccord avec mon état d'esprit. Je tourne dans une rue avec des maisons et vais jusqu'au bout où l'entrée d'une propriété se trouve. Je me gare sur le côté gauche de la rue. Je sors de la voiture et regarde l'environnement qui m'entoure. Plus haut dans la rue se trouver des maisons coller et simple mais là, la propriété devant moi à l'air immense et il n'y a pas de maison trop proche. Je m'avance vers le portail qui doit faire bien trois mettre de haut, en acier pure et forger avec des inscriptions grec au dessus. Je m'approche doucement la peur au ventre. Qu'est ce que je vais trouver derrière se portail ? Mon passé ? Mon avenir ? Ma mort ? Je sais pas mais je dois continuer. Je respire un grand coup avant de sonner à l'inter-phone. 

-Oui ? La voix est grave et provient certainement d'un homme. 

-Bonjours je suis là pour voir J.P. Je dis un peu hésitante. 

-Vous avez un rendez-vous ? Monsieur n'accepte pas comme cela de voir les gens, il est très occuper. Je lâche un ricanement, l'image de mon frère dans le rêve que j'ai fait été celle d'un home simple et attachant mais j'avais oublié que c'est un prince. 

-Non mais je pense qu'il va trouver du temps pour sa jumelle, vous ne croyez pas ? 

-Madame Jessica ! Cri l'homme à l'autre bout de l'inter-phone et le portail s'ouvre rapidement. Je rentre avec plus de confiance je ne sais pas pourquoi mais me rappeler que je suis une princesse. Je relève la tête et j'avance un pas après l'autre. Je suis sur le petit chemin pour arriver devant la maison mais en fait, c'est pas une maison loin de là. C'est un putain de CHÂTEAU. Je suis con moi aussi ma famille est la famille royale, ils vont pas vivre dans une maison normal. Le château est immense, je reste un moment bouche bais devant tant de beauté. Pour une fille qui a toujours vécu avec des problèmes d'argent voir une telle richesse c'est incroyable. Pourtant je le sais tout se luxe se n'est pas moi, je n'aime pas les choses chaire j'aime les choses simple de la vie comme regarder un ciel étoilé, voir des mustangs courir librement ou même la mer. Je n'ai jamais eu de grand rêve de richesse mais j'ai toujours voulu voir des choses merveilleuses et maintenant que je suis là je me dis que ma vie ne ressemblera jamais à ça. Je suis libre comme l'air je n'obéi à aucune loi et je ne vais pas devenir princesse quoi qu'en pense mes parents que je ne connais pas. J'arrive devant la porte d'entrée et toque un coup. Elle s'ouvre à la voler et je n'ai pas le temps de dire ouf qu'on me soulève du sol et qu'on me fait tourner dans les airs. 

-Enfin ! Je baisse les yeux pour voir un J.P en larme qui sourit de toute ses dents. Il me repose à terre sans me lâcher et m'embrasse tendrement le sommet de mon crâne. Il me compresse contre lui en lâchant un grand soupire de soulagement. Il s'écarte un peu et me regarde les mains posées sur mes épaules. 

-Salut J.P ! Je le salue timidement, il sourit et ravale ses larmes.

-Coucou petite soeur ! ON se regarde avec des sourires énormes avant que j'entendes des bruits de pas puis une voix de femme. 

-J.P ? Que se passe t-il ? Mon frère se décale pour que la personne puisse me voir, je vois une femme qui me ressemble trait pour trait avec 30ans de plus. Elle me regarde de haut en bas. C'est impossible. Murmure t-elle au bord des larmes. 

-Salut maman. Je sais pas comment je le sens cette femme est la mère que je n'ai jamais connue qui était dans mon coeur depuis toujours. Elle pleure en se jetant sur mon pour me prendre dans ses bras, elle rit et pleure en même temps c'est très drôle. Je sens que je commence aussi à pleurer. Elle se retire et parle. Rentre mon bébé. Je les suis dans la "maison" et ma mère me prend la main pour m'amener dans une des salles, J.P reste derrière moi me fessant un câlin par derrière en serrant mes épaules avec ses bras. On avance tout les trois et je me sens chez moi avec eux autour de moi. Je retiens mes larmes de coulées plus qu'elles n'ont déjà fait. On entre dans un salon et je vois un homme assez vieux de dos. Il est devant une cheminée la tête baisé vers le feu. Il entend des pas mais ne se retourne pas, il me semble voir ses épaules tremblé.