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.20.

Flashback :

<<Tu as l'air d'avoir le ventre remplie de papillons, il s'approche en souriant malicieusement. Il faut les faire sortir tu ne trouve pas.>>

Il s'approche et je sais que c'est pour le chatouiller, alors je rigole avant même qu'il me touche. Je suis morte de rire et manque plusieurs fois de l'étouffer,alors quand Michael décide enfin de me laisser je fais tout pour retrouver un rythme de respiration normale.
Après quelques minutes je peux enfin parler correctement.

<<Elle est vraiment magnifique c'te cabane>> je regarde tout autour de moi, respirant l'odeur dégagé par les bougies.

Je suis chez Michael en ce moment, il a dit qu'il avait une surprise pour moi, et je ne regrette pas d'être venus, il a une magnifique maison et pour me faire plaisir il a construit cette immense cabane, en 1 week-end seulement !

Elle est très spacieuse, il y a un lit double entourée de bougie, une porte des fenêtre et même des rideaux turquoise, ma couleur préférée.

<<Je savais qu'elle aller te faire plaisir Sweety.>> je rigole face au surnom employer et à la réaction de mon père si il apprenait que j'etais avec un homme plus âge de moi de 5 ans.

Michael entoure ma taille qui commence à être marquer, par ma puberté et me fais des bisous dans le coup. Ce ne sont pas des bisous comme il m'en a déjà fait, ses bisoux la montre qu'il en veut plus, il mord quelques endroit dans mon coup qui confirme ma pensée mais je ne peut pas..je..je suis trop jeune pour cela.

<<Michael.>> je me retourne pour découvrir ses yeux remplis de désir, je le savais, et je sais aussi que je ne peux pas le faire.

<<Je ne peux pas, je-->> il ne me laisse pas finir qu'il se pousse totalement de moi et qu'il vas s'asseoir sur le lit.

<<Je suis bon à quoi,Kelsey ? À t'écouter me raconter tes problèmes de couple avec tes parents ? Le fait que ton père commence à te battre ? Le fait qu'il me déballe cela comme si ce n'était rien fait tomber des larmes sur mes joues. Ne pleure pas. Il s'approche et essuie mes larmes à l'aide de ses pouces. Je suis amoureux de toi et toi de moi. Je fronce les sourcils, je ne crois pas être amoureuse. Kelsey tu ressens les papillons dans ton ventre et tu es tout le temps heureuse avec moi c'est vraie ? J'hoche la tête de haut en bas pour exprimer mon accord, on s'est jamais disputer. C'est sa l'amour, aucune dispute, les papillons,le rire, la joie, le sourire. Je renifle en fermant fort les yeux pour éviter que des larmes tombent. Alors comme tout les amoureux on doit le faire, c'est pour sceller notre union, se faire confiance à vie, tu comprends ?>>

<<Je--je ne suis p-pas sur>> je bégaie, je ne suis vraiment pas en confiance.

<<Sa ne te fera que du bien, fait moi confiance, je t'ai déjà trahie ? J'hoche négativement la tête. Menti ? Je refait le même geste. Alors n'ai pas peur,j'irais doucement et tu verras sa vas te plaire.>>

<<Tu-T'es-enfin... T'es sur ?>>

<<Kelsey ? À quoi est-ce que tu joue ? Je fronce les sourcils face au ton qu'il a employé. Tu me fais confiance pour tes secrets et pas pour sa, sa ! C'est le truc le plus important dans notre relation et toi--- sort d'ici Kelsey.>>

Il a l'air vraiment blesser, je suis vraiment une idiote je le derange à toute heure du jour et du soir, et il répond toujours présent même si il est 2h30 du matin et quand lui me demande quelques chose, je ne lui obéis pas. C'est la moindre des choses. On est amoureux en tout cas lui l'est pleinement de moi et moi on vas dire à 50%. Alors je dois le faire, lui obeir car il m'a toujours écouté je lui rends l'appareil comme on dit. Je le connais depuis 2 ans et il m'a toujours soutenue c'est à mon tour maintenant.

<<Michael, c'est bon. Je suis désolée. Il ne me regarde toujours pas. Tu t'y connais mieux, que moi alors pour les papillons et tout je te crois toujours aucun regard donc..euh.. je suis prête, prête à sceller notre relation. Il relève enfin la tête et me sourit.>>

Je ne savais pas que derrière ce sourire protecteur,rassurant était cacher un homme manipulateur et remplie de vice.

Mais ce que je ne savais surtout pas c'est que sa allait se reproduire, encore et encore, en faite à chaque fois que je le voyais, il me répétait les mêmes mots,encore et toujours,et je tombais dans le piège manipuler à la perfection.

Jusqu'au jour ou j'avais 14 ans et 3 mois, jusque là j'avais vue Michael beaucoup même trop de fois et on l'avais beaucoup même trop fois parfois même sans se protéger, et c'est comme sa que le 22 Décembre est né Siwan Kyle Cooper,mon fils.

Les poursuites judiciaires ont durer 8 mois j'ai passer toute ma grossesse, sous pression, entouré de juge et d'avocat.

Mon père nous as abandonner moi et ma mère, quand j'ai dit que j'étais enceinte alors que j'avais à peine 14 ans. Il m'as toiser du regard, giflé puis et monter préparer ses bagages et à dit avant de sortir je cite :

<<Tu me déçois de plus en plus,je ne suis plus ton père Kelsey Isabella Mariam Cooper.>>

J'ai pleurer et ma mère et rester a mes côté cherchant a comprendre elle m'a aidé à ouvrir les yeux et à entamer des poursuites contre Michael.

Il m'appelait tout le temps, me suppliant, disant qu'il m'aimait et que je l'aimais aussi, mais grâce à ma mère je suis rester forte et ne suis pas re-tomber dans son piège.

J'ai garder Siwan, ma mère a compris que je ne pouvais avorter et tuer un être humain et que je ne pouvais pas le placer dans une autre famille.

Vous connaissez mon histoire, une fois toutes les poursuites terminer tout les papiers en lien avec l'affaire Michael régler, il restait ceux de la garde, j'avais 14 ans,malgré un accouchement douloureux mais réussi ,je ne pouvais pas le  garder,aux yeux de la loi pour garder Siwan, je devais être majeur, alors ma mère a accepter la garde, depuis j'élève Siwan comme mon fils mais judiciairement parlant je ne suis que sa Grande-soeur tout sa jusqu'à mes 18 ans, soit dans 8 jours. Le 2 Février.

Cela a pris deux ans, j'ai ensuite quitter l'Amérique et le beau soleil de Floride pour venir à Londres, ou malgré tout mes efforts pour garder mes problèmes de l'autre côté de l'océan, Michael m'a comme même suivit et ne m'attire que des ennuis.