Ma Petite Cruche (Kilari et Hiroto)

Chapitre 4 : Déception amoureuse

PDV Hiroto
Je regarda Kilari partir en courant, sans bouger. Noélie, Cobenie, Hikaru et Aori la suivirent aussitôt. Le reste des invitées tournèrent leur tête vers moi. Seiji s'approcha de la fenêtre du balcon, sortit et vins se mettre face à moi. A l'endroit exact où Kilari se trouvait deux secondes auparavant.

Seiji : Qu'est-ce qui c'est passée ?

Je réfléchis un moment à la question. Il se rendis soudain compte de se qu'il venait de faire et il n'en revenait pas. Comment avait-t'il peut dire une chose pareil ? "Je ne t'aime pas". Ces mots raisonnait dans sa tête. Ces mots qui était totalement faux. Il aimait Kilari. Il l'aimait plus que tout au monde. Il le sais jamais il n'aimerait une autre fille qu'elle. Aucune ne lui arrivait à la cheville. Il l'aimerait toute sa vie. Mais il pris du recule sur les événements ressent. Il se demandais alors pourquoi avait-t'il dit cela si il prétendais l'aimer ?

D'abords il se sentis lâche et honteux. Il ne comprenais pas pourquoi la en ce moment même, il n'était pas en train de la rattraper. De lui courir après pour lui dire qu'il l'aimait.

Mais elle l'avais toucher au plus profond de lui-même. Il s'était s'entis désarmée, impuissant. Il avait pris peur. Quand elle avait annoncée sur scène "merci à toi Hiroto, toi dont je suis amoureuse". Il s'était sentit mise à nue. Ce sentiment qu'il avait envers elle. La magie qu'ils y avaient entre eux, c'était brisée à cette instant. Les moments qu'ils avaient partagées ensembles, quand ils étaient  que tout les deux, était quelque choses de tellement personnel pour lui. L'alchimie qu'il y avait entre eux tellement intime. Et visiblement il n'était pas encore prêt à se dévoiler. Il trouvait que cette histoire était de l'ordre privée, que personne n'avait à s'emmêler. C'est pour sa qu'il en voulait énormément à Kilari. La relation qu'ils entretenaient était leur secret. Et elle avait choisis de le dévoilée. Cette relation était si importante à ces yeux. Car il savais très bien qu'il ne traitait personne de la manière dont il traitait Kilari. Des qu'il était prêt d'elle. Il se sentais heureux et il devenait doux et protecteur. Mais au fond de lui, à ce moment précis, il se sentit blessée, trahis. Il pensait à leur amitié si précieuse pour lui. Il ne voulait pas la gâchée au prix d'une relation qui n'était pas sur de fonctionner.

Hiroto : Elle est venue me voir pour que je réponde à ses sentiments. Et je lui est dit que ne l'aimais pas.

Seiji me regarda les yeux grand ouverts, choquée de ma raiponce. Je
remarqua que pendant un bref instant, il eut l'air rassurée. Mais l'incompréhension apparu rapidement sur son visage.

Seiji : Mais je ne comprend pas.... Sa ve dire que tu viens de lui briser le cœur.... mais...mais Hiroto, je pensais que tu l'aimais.

Mais oui c'est vrai ça, il venait de briser leur coeur de Kilari. Il eut un pincement au cœur. Il lui avait fait du mal alors qu'il c'était jurer de toujours la protéger. Que devait-t'il faire maintenant ? Aaaaahhh !!! Non tous cela allait trop vite. Il devait réfléchir. Pour moment le plus simple était donc de mentir.

Hiroto : Non Seiji. Je ne l'aime pas. Pas le moins du monde. Je la considère juste comme une amie.

Il essayait d'être le plus convainquant possible. Mais c'est mots étaient dur à prononcer. Et pourtant il les lui venait comme sa, comme si c'était la simple et pure vérité.

PDV Kilari
Elle courrait, aussi vite que ses jambes le lui permettais. Elle ne voulait pas s'arrêtait. Hiroto ne l'aimais pas. Elle était brisée. Il avait toujours été la pour elle. Toujours le premier à s'inquiété dés que quelque chose n'allait pas. Elle n'aurait jamais pensée qu'il puisse lui faire du mal, qui puisse l'atteindre à se point. Elle ne pensait pas que se serrait lui qui lui ferai le plus mal. En même temps elle s'était déclarer, alors qu'elle n'était pas sur des sentiments d'Hiroto. Elle avait donc pris le risque qu'il ne l'aime pas. Elle se sentait ridicule. Il s'était moquée d'elle. Il lui avait fait croire des choses totalement fausse. Ou alors c'était elle qui avait mal interprété ses signaux.