Chapitre 22 : Tu est à moi !

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PDV Kilari

Après plus de quatre heures de détente dans cette magnifique piscine, il ne restait plus personne dedans hormis moi, Hiroto et Mao. J'étais tranquillement posée sur un ballon crocodile gonflable, je bronzais, quand je sentis le ballon basculer et moi avec. Je me retrouvais alors complètement dans l'eau. Je remontai à la surface et je vis Hiroto et Mao se taper leurs meilleures barres. Il n'était vraiment pas possible.

Moi : J'étais bien, moi !

Je fis une moue boudeuse et me dirigea vers le bord de la piscine. Hiroto me rattrapa et posa ses mains sur mes hanches. Il commença à déposer de doux baiser sur mes joues. Je m'écartai, instinctivement. Il ne fallait pas qu'on nous voie.

Hiroto : Il n'y a personne, Kilari. Ils sont tous dans leur chambre. Et Mao est au courant, de toute façon. Allez, laisse-moi t'embrasser. Je me suis retenue toute la journée.

Je souris, gênée de sa remarque. Je n'avais vraiment pas l'habitude de tout ça. Mais j'adorais les sensations qu'Hiroto me procurait quand il me disait ce genre de choses. Je passai mes bras autour de son coup et rapprocha nos têtes l'une de l'autre. Il me regarda quelques secondes, avant de poser une main sur ma joue et de la caresser.

Hiroto : T'es vraiment super belle !

Lentement, il rapprocha son visage du mien et nos lèvres s'unirent enfin. Je sentis mon cœur battre la chamade et une sensation agréable se répandit dans mon ventre et dans tout mon corps. J'ouvris, doucement, ma bouche afin qu'il puisse y passer sa langue. Le baiser devint, soudainement, plus fougueux. Je crois que je ne pourrais jamais me passer de ça. C'était si bon.

On continua à s'embrasser passionnément pendant de longues minutes. Nous sentions tous les deux la passion profonde de l'autre. Je lui donnais tout mon amour à travers de baiser, tout ce que je ressentais pour lui depuis des mois. Et c'était si agréable de pouvoir profiter et de ne pas souffrir de cet amour.

Nous détachâmes nos lèvres à bout de souffle. Il me sourit tendrement et descendit son visage dans mon coup. Il commença par l'effleurer doucement de ses lèvres et avant d'y déposer de tendre baiser en descendant jusqu'à mon épaule. Je passai ma main dans ses cheveux, aux anges.

Moi : Je t'aime, Hiroto.

Il releva la tête et me sourit. Il prit mon visage entre ces deux mains.

Hiroto : Moi aussi, je t'aime, mon amour. Je suis tellement désolé de t'avoir fait souffrir. Je regrette tellement.

Il m'embrassa, seulement quelques secondes, mais ce fut très doux.

Moi : Ne t'inquiète pas Hiroto. C'est oublié. Ne parlons plus de ça d'accord. Nous nous aimons maintenant, c'est la seule chose qui compte.

Hiroto : Oui tu as raison.

Il reposa ses lèvres sur les miennes et nous étions repartis dans un baiser passionné.

Mao : Les gars, je veux pas vous interrompre, mais Arashi arrive.

Nous nous détachâmes, instinctivement. Personne ne devait nous voir.

Moi : Merci Mao !

Elle nous fit un clin d'œil.

Mao : De rien, les gars.

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PDV Hiroto

Après avoir mangé un magnifique repas qui nous avait tous rassasiés, nous étions tous partis nous coucher. Je me trouvais avec Kilari allongé dans le lit de l'une des quatre chambres à notre disposition. Après un long débat, ou Fubuki avait piqué sa petite crise, nous avions réussi à obtenir que moi et Kilari soyons dans la même chambre. Elle la partagerait avec Akane. Mio et Mao seraient ensemble et Arashi et Kiriya aussi. Comme ça tout le monde était content ou presque.

Ma Petite Cruche (Kilari et Hiroto) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant