Ma Petite Cruche (Kilari et Hiroto)

Chapitre 8 : Le depart

PDV Kilari
J'avais mal dormis cette nuit là, très mal dormis. J'avais passer la nuit à penser à se qui c'était passer à la soirée le weekend dernier. J'étais mal de ne pas leur avoir raconter la vérité. Elles méritaient de savoir. Mais j'avais tellement peur de les perdre pour cela.
2h03
Dans 3 heures, je prendrais l'avion en compagnie de ma joyeuse bande d'amis et je partirait pour cette émission dont je ne sais encore rien.

J'étais très anxieuse, je n'avais pas vu Hiroto depuis qu'il c'était battu avec Kiriya. Et il faut l'avouer, il me manque, il me manque beaucoup même, mais d'un autre côté je n'est pas du tout envie de le voir. Je suis sur que je pleurerais. Je ne veux pas lui montrer que cela m'affecte. De toute façon Seiji lui a sûrement parler de mon états alors. Je n'arrive toujours pas à accepter l'idée qu'il ne m'aime pas. Je ne m'y ferrai jamais. Je ne pourrais jamais être juste son amie. J'ai tellement envie de plus. Je ne supporterais jamais de le voir dans les bras d'une autre. Soit il m'aime, soit je devrais coupée court à notre relation, j'arrêterai de lui parler définitivement. Je n'avais pas du tout envie d'en arriver là mais une chose est sur : Hiroto ne sera jamais mon ami.

Tandis que je me perdais dans mes pensée, un petit bus noir arriva. Au volant, je reconnue Mme Kumoi. La porte s'ouvris laissant apparaitre Hiroto. Il descendit les marches, ses yeux décryptant mon visage, le sien impassible. Il prit la valise, ouvrit le coffre du bus, la rangea dedans, le referma et s'approcha de moi. Il étais tellement près que nos nez se touchaient presque.

Moi : Hiroto, qu'est-ce que tu.... ?

Il mis ces bras autours de mes épaules et me serra.

Hiroto : Kilari, ça va ?
Il semblait inquiet

Je n'osais plus bouger tandis que Hiroto me serrait de plus en plus fort. J'étais trop bien. Hiroto me faisait un câlin, je n'en revenais pas. Mais enfaite pourquoi fait t'il sa ? Qu'est-ce que sa veux dire ?

Moi : Euh oui pourquoi tu me demande ça ?

Semblant soudain se rendre compte de ses actes, il me lâcha. Oh non ! J'étais beaucoup trop bien. J'aurais voulu y rester pour la vie, là, contre son torse chaud.

Hiroto : Euh non pour rien, viens montons, sinon on va retardez tous le monde.

Je monta dans le bus et m'assis à l'arrière entre Hiroto et Cobeni. Cette dernière dormait profondément. Enfaite pratiquement tous le bus dormait. Les seuls qui faisait exception était Seiji qui regardait le paysage, Mme Kumoi qui conduisait et Hiroto qui fermait les yeux pour tenter de se rendormir. Mme Kumoi redémarra, nous emportant sur cette îles inconnue, dont nous resterions prisonnière pendant deux semaines.
Je décida de continué ma nuit. Je tourna ma tête à droite et vit Hiroto, les yeux fermer le visage paisible. Il est vraiment magnifique. Je me demande comment va se passer la suite des événements avec lui. Va t'il me parler comme si de rien était ? En tout cas moi je ne peux pas. Va t'on d'ignorer ? Avec le tournage de l'émission ça va être compliqué.
Je ne sais pas quoi faire moi dans se genre de situation.

Après une bonne heure de route et de sommeil, la voiture s'arrête dans un parking. Juste à côté s'y trouve de grand bus, qui je suppose vont nous servir pour la fin du voyage.

Mme Kumoi : Réveillez-vous ! On change de véhicules. Allez tous dans le bus !

Non sans une grande difficulté, nous sortons du bus tel des zombies et nous nous dirigeons à l'intérieur du bus dans un concert de bâillement.

M Muranishi : Nous devons attendre. Il reste l'agence Igashiyama et d'autre personnes de notre agence.

Une demi-heure plus tard, nos compagnons pour l'émission daine enfin nous gratifie de leur présence . Et c'est quand tout le monde fut bien installée que le bus démarra.