XV

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R A Y A N 🌹



Je regarde pour la unième fois ma montre. Il est tard et elle n'est toujours pas rentrée cette salope.

Une salope, oui, une salope comme le dirai bien n'importe quel homme ayant connue une soit disant sainte passant ses nuits dans les bras d'un autre homme en laissant abandonné son mari. Voilà pour moi le nouveau sens de ce vulgaire et pauvre mot.









J'dirais même que les danseuses dans les bars que l'ont surnomme de la même sorte sont plus fidèles qu'elle. Tant qu'elles aiment toujours le même homme et leurs apporte du pain, où est le problème ? La mienne ne m'aime pas et ne m'apporte rien.








D'ailleurs en parlant de danseuses, j'en profite pour jeter un coup d'oeil dans mes messages textes.

Super, encore une nouvelle photo sexy de ma jolie libanaise aux gros seins.




Cette pauvre fille est venue porter son cv pour esperer travailler au sein de mon entreprise. Malgré son pauvre parcours proffessionel et sa bouche beaucoup trop botoxée, j'ai quand même décidé de la garder au près de moi. Mais pas pour les mêmes raisons, si vous voyez ce que je veux dire.

Elle passe rapidement m'offrir ses jolis services au bureau en échange de quelques centaines pour ensuite regagner son autre poste de danseuse du soir.






Et il n'y a rien de mal dans tout ça, quand un homme n'es pas satisfait, il part voir ailleurs, logique non?












Je quitte le salon et me dirige vers la cuisine où je vide une bouteille de champagne. Si l'autre m'aurait vue, elle m'aurait agacé durant de longues heures en me rappellant les principes de sa religion et la gravité de consommer de l'alcool.

Et puis pourquoi me parle t'elle de religion si elle donne son cul à n'importe qui ?








Ahhhh son joli petit cul.


Il me manque.

Cette époque où elle était bien foutue. Où ses longs cheveux chatains ondulés, ses pomettes roses puis ses jolies lèvres toujours maquillées me rendait raide dingue d'elle. Sa taille fine, ses petits seins puis son jolis fessiers que j'adorais pincer lorsqu'elle marchait à mes côtés en revenant de ses cours.





Ah mais qu'est ce que ça me manque.




Maintenant j'ose à peine l'approcher.

Et si je le fais, c'est bien pour lui faire manger des coups sur son visage amochi par les bleus et les gonfflements.

Et plus il y a de bleus, plus c'est mieux.




Car dites moi, quel homme oserait approcher une femme défigurée?





Plus le temps passe et plus elle change. Je ne parlerai pas de son comportement de pauvre gamine ecervellée sinon je n'en finiera pas.

Elle a grossit. Elle ne rentre presque plus dans ses petites robes sexy ou sa lingerie pour laquelle j'y ai dépensé une fortune.

Lylia - Tombée pour Lui TOME2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant