Comment il te réveille: ( partie 1 )

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Olivier:

"Y/N debout, il est déjà onze heures."

Tu poussas un grognement de mécontentement et te roulas en boule sous la couette. Tu avais toujours besoin de temps pour te réveiller, surtout en vacances où aucune obligation ne t'attendait.

"Y/N aller lève-toi, ânonna Olivier en riant.

-Va te faire voir, maugréas-tu.

-Eh, s'esclaffa-t-il. Je t'ai laissée dormir trois heures de plus ne te plains pas!

-Heureusement, c'est de ta faute si je n'ai pas beaucoup dormi..."

De nouveau Olivier éclata de rire, et insista de nouveau:

"Y/N sors de la couverture, va prendre une bonne douche chaude."

Cette fois tu choisis de l'ignorer. Apparemment cela ne lui plut pas puisqu'il se dirigea vers la fenêtre et avant que tu aies le temps de dire quoi que ce soit, il ouvrit les rideaux d'un grand coup te faisant crier de terreur:

"Nan Olivier! Je suis aveugle!"

Il leva les yeux au ciel et déclara avec amusement avant de sortir de la chambre:

"Je reviens te voir dans dix minutes, tu auras intérêt à être levée."

Tu poussas un soupir et ne répondis pas. Tu n'étais vraiment pas du matin.

Seamus:

La première chose que tu sentis fut le froid sur tes bras. Tu ramenas la couverture sur tes épaules, et voulus te rapprocher de Seamus mais te rendis compte que sa place était chaude mais qu'il n'était plus là. Peut-être était-il allé aux toilettes. À peine cette pensée avait-elle traversée ton esprit que la porte de la chambre s'ouvrit sur Seamus qui tenait son chat dans ses bras.

"Bonjour princesse."

Tu te frottas les yeux et lui adressas un sourire :

"Viens au lit Seam'."

Immédiatement, il revint s'étendre auprès de toi et te serra dans ses bras. Tu enfouis ton nez dans sa nuque mais soudain un miaulement s'éleva. Tu sentis des pattes se poser sur tes jambes puis vis le chat de Seamus se rouler en boule entre vous, t'arrachant un rire:

"Il est vraiment trop mignon ton chat.

-Tu vas voir il fait ça tous les matins, je le trouve vraiment adorable!"

Oui. Comme Seamus finalement.

Fred :

Tu volais sur un nuage, cotonneux. Il faisait chaud et bon. Tu aurais voulu rester là pour toujours. Malheureusement soudain tu tombas du nuage et hurlas de douleur en atterrissant sur le sol. Où diable étais-tu tombée? Tu ouvris les yeux difficilement et compris. Tu étais dans la chambre de Fred. Plus exactement sur le sol... Et la personne qui étouffait tant elle riait était bien sûr ton copain. Tu te relevas sur ton séant, les yeux plissés avant de gronder:

"T'es malade non?

-Désolé mais tu n'arrivais pas à te réveiller, haleta-t-il."

Tu poussas un profond soupir, et te traînas jusqu'à lui. Il s'esclaffa et s'agenouilla pour te prendre dans ses bras. Tu te serras contre lui et babillas:

"Tes blagues sont de mauvais goût parfois.

-Oui je sais, mais tu m'aimes quand même pas vrai?

-Mmmh."

Tu sentais son doux parfum, ses bras autour de toi et petit à petit tu t'assoupis.

George:

Tu avais passé la nuit dernière en compagnie des jumeaux à monter une farce contre Draco Malfoy et n'avais donc que peu dormi. Le problème avec toi c'est que tu avais toujours besoin de tes sept heures de sommeil. Là tu en avais à peine eu trois! Résultat à chaque temps de battement de la journée, tes paupières se fermaient toutes seules et tu étais à la limite de t'endormir! Cette fois, ce fut durant le cours de de sortilège. Tout n'était que théorique ce jour là, au bout de dix minutes tu n'en pouvais plus. Tu appuyas ta tête sur ta paume, et en quelques minutes, sombras dans une douce torpeur. Tu voguais au gré de tes pensées, et te souvenais à peine d'où tu étais. C'était agréable de se laisser aller ainsi, au repos... La voix du professeur te parvenait de très loin, tu flottais dans le noir, dans l'espace. Soudain, tu sentis un énorme coup dans ton bras et évidemment celui-ci lâcha, et tu poussas un petit cri en manquant de te manger la table en pleine figure. Lorsque tu relevas la tête, toute la classe te fixait y comprit Mc.Gonagall qui elle semblait perplexe:

"Un problème Mademoiselle. Y/L/N?"

Tu t'empourpras profondément et bafouillas une excuse. À peine McGonagall s'était-elle retournée que tu fis face à George qui riait à en pleurer:

"T'es bête ou quoi? grondas-tu.

-C'était une blague Y/N, ne te fâche pas, rit-il. Je t'aime. Ta réaction a fait ma journée."

Tu poussas un grognement de mécontentement en guise de réponse et avec des yeux suppliants à attendrir un iceberg, il vint presser ses lèvres contre les tiennes. Tu répondis mollement, toujours boudeuse. George savait qu'il n'avait pas de soucis à se faire; tu lui pardonnais tout.

2 Harry Potter x reader préférences et imagines françaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant