10. May-Lhine

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Il me soule, j'en ai marre. Mise à part lui franchement tous les potes de Deen sont grave sympas.

J'aime beaucoup le fils de Ken, il est adorable et j'avais rien à lui offrir moi. Je savais pas,burbigo il m'a traîné ici genre comme on traîne son sac de course.

Je laisse Adèle, avec qui je parlais et j'entends mon portable sonner.

Je regardais mon telephone, ma mère venait de m'envoyer une photo de moi petite. Photo que je détestais: j'étais ronde avec de vieilles lunettes de mamie et un appareil dentaire peu sexy

- Pourquoi tu fronces autant les sourcils Furax'?

- Ça te regarde pas baguette de pain !, soufflais je agacée.

Mais il me prit mon téléphone des mains.

-Putain je suis mort, c'est qui bouboule là ?

Je le déteste. Vraiment.

Je reprends mon téléphone de ses mains et avec une rage inconnue je lui sors :

- BOUBOULE ELLE T EMMERDE !

Et comme une sauvage je sors en claquant la porte d'entrée en passant devant tout le monde qui nous regarde étrangement.

Affallée sur mon canapé avec mes rats sur les genoux, j'entends la porte claqué et sa voix de chèvre;

- May s'il te plaît, je m'excuse je suis un gros con.. ARRRGGGG.

Je ris devant sa réaction, je prends Ratatouille et lui fait un bisous sur sa petite tête avant de le poser dans sa cage suivi par Mort aux rats.

- Gueule pas ça leur fait mal aux oreilles.

- Mais putain c'est quoi ces merde la?

Non mais comment il parle de mes amours là ?

- Euh tu te calme direct ce sont mes bébés.

- Ca va etre moi bientot ton bébé.

- Non toi tes qu'un pauvre con qui mérite une putain de michto

-Arrête, je savais pas que c'était toi hier. En plus La michto je l'ai déjà eu donc on est quitte!

- Beh fallait que tu restes avec !, J avais les larmes aux yeux.

Ça me soule. À chaque fois que je m emporte je pleure.

J suis pas triste.

Non.

J'ai la haine

-Tu peux pas me dire ca, Tu sais pas ce qui c'est passé., me repondit il en s'approchant doucement de moi.

Sauf que plus il avançait plus j'avais envie de fuir :

- Dégage de chez moi !

- Mais pourquoi tu me repousses tant ?

- Parce que ! J'ai pas envie toi j'ai pas envie de toi.

Putain mais quelle glue ...

- Mais laisse nous être potes au moins!

Je le regarde mefiante, je sais pas vu que depuis le début il veut du cul. J'ai pas confiance :

- Je veux pas être pote avec un gars qui se moque des autres.

Je prends Ratatouille qui essayait de se tailler.

- Mais je suis prêt à changer! Je jouais au début mais là je joue plus! Je veux qu'on soit potes.

Je sais pas pourquoi ... je sais pas ce que j'ai fais mais quand je ferme la cage ... je réduit la distance entre lui et moi à 0. Et je lui en colle une ... ça c'est du à la haine. Mais... Juste après je l'embrasse comme si c'était le but de ma vie.

Chose qui serait bien triste.

- Euh mais qu'est ce que tu fous, non mais parce que ça me dérange pas mais des potes ça fait pas ça.

- Putain apprend à la fermer, je souffle.

Je mord légèrement sa lèvre et je descend mes mains directement vers son anatomie.
Je le caresse par dessus son jean et je le pousse sur le canapé, l'obligeant à s'allonger et je grimpe sur lui.

-Huum, continue putain t'arrêtes pas, oww!

- Tu vas voir la petite moche elle va te faire prendre ton pied ...

Je relève son haut et retrace ses abdos ... j'avoue je le traite de baguette de pain mais torse nu il fait mouiller n'importe quelle femme.

Je dépose des baisers tout en défaisant son jean.

- Je te jure que t'es belle et bonne, dit il en faisant passer mon haut au dessus de moi.

J'appuie mon bassin contre le sien et malgré les tissus nous séparant j'entame comme des vas et vient sur son sexe :

- Pauvre con c'est pas ce que tu di ... disais.

Je l'embrasse encore ...

- Laisse moi te faire du bien.

Il essaie de reprendre le dessus mais de mes 2 paumes je le plaque contre le canapé:

- Je commande ...

Je finis de le déshabiller, putain ... il mentait pas ...

Il descend impatient ma culotte et je me frotte à lui.

Son sexe contre le mien.

Il est en érection totale.

Une main sur mes hanches et l'autre dans mon soutien gorge, qu'il dégraffe.

Doucement je glisse sur son sexe tendue et j'entame de long va et vient.

D'une lenteur, une exquise torture.

Je mène la danse, j'impose la cadence.

Il veut accélérer et je veux le faire attendre. D'un coup il me fait basculer.

Il a perdu toute patience.

Il lèche mon cou, la naissance de mes seins en y laissant quelques morsures.

Il accélère le rythme et nos gémissements remplissent la pièce, nos souffles contre nos peau nues.

Je le sens se tendre et mon corps réagi en harmonie avec le sien.

Après ce moment d'extase, je le sens tomber sur moi.

Son torse contre ma poitrine.

Moment de béatitude, il se dissipe et je le repousse.

Je lui lance ses affaires.

Il met son caleçon sans comprendre et je le mets à la porte de chez moi sans qu'il ne puisse rien dire.

Je glisse contre ma porte et je serre contre moi mes fringues.

Putain ... qu'est ce que j'ai foutu.

Le pire...

C'est que j'ai jamais autant pris mon pied.

En vie d'elle / Sneazzy [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant