Une semaine plus tard...
Mme Ndiaye
Mon fils, cet imbécile que j'ai mis au monde s'est marié sans mon consentement, je n'ai rien pu faire malheureusement pour l'empêcher de commettre une telle folie mais ce mariage bidon ne durera pas. Sa « femme » a aménagé chez moi, elle verra que l'on ne joue pas dans la même cour. Ma famille est riche et nous ne devons pas nous mélanger avec les gens du bas peuple, nous nous marions entre nous. Diama me sera d'une grande aide le moment voulu ainsi que son idiot de frère. J'ai appelé Diama pour une réunion en urgence à mon cabinet, il faut que l'on revoit ensemble les derniers détails de notre plan. La porte de mon bureau s'ouvre sur Diama qui prend place.
Moi : bonjour mon enfant, je t'ai appelé pour t'annoncer une mauvaise nouvelle, la Ramatoulaye a épousé mon fils.
Elle : Mme Ndiaye, tu te fiches de moi, tu m'avais certifié qu'ils n'allaient pas se marier me dit-elle en arpentant mon bureau.
Moi : tu te calmes, je ne suis pas ton égal pour que tu me parles ainsi, nous sommes dans le même bateau.
Elle : tu aurais pu me tenir au courant pour je fasse capoter ce mariage, à quoi nous sert le plan s'il n'est pas appliqué.
Moi : c'est la raison de ta venue, assieds-toi et écoute-moi.
Elle : tu as intérêt à être convaincante.
Moi : tu sais, nous avions décidé de tout faire pour que cette Rama se sépare de mon fils, alors je veux qu'elle souffre, tellement et seul la mort soit sa seule échapattoire dis-je, cette fille osé m'insulter et elle le payera.
Elle : humm j'aime ce que j'entends, elle m'a défié et elle s'en mordra les doigts. Je connais un excellent marabout qui pourra nous aider.
Moi : qui te parle de maraboutage, yow tamitt mousseul touti, moi je te parle de prison, d'incarcération. Je veux pouvoir la voir souffrir et lui le rappeler toute sa vie dis-je d'une voix haineuse.
Elle : j'espère que vous savez ce que vous faites parce que moi je ne veux pas avoir de problèmes avec la justice ; en tout cas de mon côté j'irai voir ce marabout pour rendre cette fille stérile.
Moi : tu as raison, je n'avais pas pensé au fait qu'elle pourrait tomber enceinte et je préfère mourir que d'avoir un lien cette chose que mon fils appelle sa femme.
Elle : ne t'inquiète pas, elle ne tombera pas enceinte.
Moi : je te laisse gérer cette partie, nous devons construire un ensemble d'immeuble pour votre société, fait en sorte d'être dans le projet car mon fils l'architecte en chef. Tu utiliseras ton charme pour le séduire. J'espère que tu en es capable.
Elle : tu me prends pour qui, j'espère qu'elle croupira en prison et vite dit-elle. Nous rigolons toutes les deux, les jeux sont faits et je ne reculerai devant rien.
Toulaye
Je me suis réveillée comme tous les matins pour faire la prière que monsieur mon mari a dirigé. Après la prière, je me suis recouchée jusqu'à commencer à trouver le sommeil quand je sentis des suçons dans le cou et une main se faufilée dans mon chemisier.
Moi : Naby j'essaie de dormir là dis-je en lâchant un soupir de bien être, mon mari sait s'y faire pour me rendre folle avec ses caresses.
Lui : j'ai envie de toi dit-il en se mettant au-dessus de moi.
Moi : tu n'es jamais fatigué, nous l'avons fait hier nuit et moi je suis fatiguée.
Lui : ce n'est pas de ma faute si dès que je te vois, je ressens le besoin de te déshabiller, tu déculpe mon appétit sexuel avec ton corps de rêve.
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RAMATOULAYE [TERMINÉ]
Ficción GeneralCruelle a été la vie avec elle en lui arrachant son père et sa mère qui tombe malade peu de temps après ça. Elle est obligée de travailler comme bonne pour payer le traitement de sa mère. Sa vie tournera au cauchemar le jour où il a posé les yeux s...