Little Brother ~~Chanbaek~~bxb

Un

          (Haena En Média)

—Non docteur vous vous trompez je ne peux pas êtres enceinte.
—Vous l'êtes jeune fille, et elle est très avancé. Vous en êtes à  douze semaines.
—D'accord docteur et merci. Fit elle résignée avant de sortir de la salle de consultation.

C'est abattu qu'elle rentra chez elle, comment allait-elle l'annoncer à ses parent? Surtout comment allait-elle lui annoncer cette nouvelle?

Une fois chez elle, elle couru dans sa chambre ignorant sa mère qui lui demandait si elle avait prit rendez-vous chez le médecin à pour ses malaises.
Elle verrouilla la porte puis s'adossa à celle-ci contemplant sa chambre.
La déco dans les tons vert opale et mauve la rendait très gaie, elle avait choisi sa décoration toute seule. Partout sur les murs était placardé des posters du groupes à succès du moment les BigBang, c'était son groupe préféré et le membre qu'elle adorait le plus était T.O.P.
Elle se leva timidement puis se débarrassa de son uniforme scolaire avant de se glisser dans son lit. Ce même lit où avait été conçu ce petit être qui grandissait dans son ventre.
Avant qu'elle n'en parle à ses parents il fallait qu'il soit au courant.
C'est deux heure plus tard avec une boule dans le ventre qu'elle s'endormit se promettant de tout dire au père de son enfant.

—Je sais de quoi je parle Gyuri, tu es le père du bébé que je porte. Murmura t-elle en pleure.
—Non il n'est pas de moi ce bébé. Qu'est ce qui prouve que j'étais le seul garçon avec qui tu couchais?
—C'était ma première fois, comment peux-tu dire une chose pareil? Hurla t-elle.
—Je n'en suis pas sûr, tu n'as même pas saigné quand nous l'avons fait. Tu ferais mieux d'aller tenter ta chance avec Haru, vu que vous êtes tout le temps fourrés ensemble ça pourrait être lui.
—Haru est mon meilleur ami tu le sais. Tu n'es qu'une ordure Gyuri, quand je pense que je t'ai offert ma virginité, tu me dégoûte. Pesta t-elle avant de s'en aller.

Elle claqua la porte de leur appartement en pleurant puis se dirigea rapidement dans sa chambre. Cette fois sa mère ne lui laissa pas le temps de s'enfermer et la suivit.
—HaeNa chérie qu'est-ce qui ne vas pas? Demanda t-elle inquiète.
—Je suis désolée maman pardonnez moi. Fit elle en pleurant de plus belle.
—Que devons nous te pardonner ma chérie? Je suis inquiète parle moi.
—Oh maman je m'en veux tellement. Reprit elle en sanglotant.
—Lee HaeNa tu vas me dire ce qui se passe? S'énerva sa mère.
—Je...Je suis en-enceinte maman.
—QUOI???
Cette voix n'était pas celle de sa mère. C'était celle de son père.
—Tu vas me donner le nom de cette enflure pour que je lui fasse passer l'envi de se servir de son sexe à l'avenir. Reprit il.
—Papa je suis désolée pardonnez moi. Reprit elle toujours en pleure. Gyuri était certes un imbécile mais elle ne voulais pas que son père fasse du mal au père de son bébé.
—Je te faisais confiance HaeNa et tu m'as déçu de la pire des manière. Fulmina t-il. Je ne veux plus te voir dans cette maison, je ne sais pas ce que tu vas faire et je m'en fiche maintenant. Tout ce que je te demandais était de réussir ton bac cette année et d'entrer à l'Université. Tu m'as brisé le coeur maintenant vas t'en je ne veux plus te voir.
—Jan s'il te plait voyons ne sois pas si dur c'est notre unique enfant. Plaida sa mère.
—Et elle nous a déshonoré je veux qu'elle parte. Fit il durement.

C'est impuissante que Mae-Ri vit son unique fille âgée seulement de dix-sept ans quitter la maison enceinte.
Elle s'approcha d'elle puis l'etreignit en pleurant elle aussi.
—Prend ça fit elle en glissant quelque chose dans son sac. C'est de l'argent, tu en as assez pour une semaine tu pourras te prendre une chambre d'hôtel. Appelle moi s'il y a un problème. Moi de mon côté je vais essayer de résonner ton père.
—Merci maman je t'aime.
—Moi aussi ma chérie prends soi de toi.

Munis d'une valise contenant le stricte nécessaire elle quitta le cocon familiale pour l'arrêt de bus. Elle allait se prendre une chambre d'hôtel pas chère et attendre que sa mère lui dise que tout est réglé et rentrer chez elle.

Deux semaines étaient passés et sa mère ne répondait plus à ses appels, elle avait beau géré l'argent qu'elle avait mais il y' en avait plus et le gérant de l'hôtel allait bientôt la mettre dehors. Il ne lui restait plus qu'une solution, appeler Haru son meilleur ami. Elle qui avait voulu l'épargner toute cette histoire était maintenant dans l'obligation de tout lui dire, elle avait besoin de son aide.

Appel téléphonique.

–Allo Haru c'est HaeNa... Fit elle timidement.
–Omo Nana où es tu passée? Ça fait deux semaines que tu ne viens plus à l'école, je suis passé chez toi mais personne ne voulais me dire où tu étais.
–Haru j'ai besoin de ton aide souffla t-elle en reniflant.
–Où es tu?
–Dans un hôtel pas loin du cinéma.
–J'arrive.

Fin d'appel téléphonique.

—Oh mon Dieu HaeNa qu'est-ce qui t'ai arrivé? S'exclama t-il en voyant sa meilleur amie dans un piteux état.
—Oh Ru. fit elle en tombant dans ses bras en pleure.
—Allons s'assoir et raconte moi tout.

—Cet imbécile il va me le payer. S'emporta Haru après avoir entendu les explications de son amie.
—Calme toi Ru il n'y a plus rien à faire maintenant, je veux juste que tu me prête de l'argent pour payer ma chambre d'hôtel et aussi pour ma consultation. S'il te plait.
—Je vais t'aider mais je refuse que cet abruti s'en sorte aussi facilement, il est là à se pavaner dans l'école au bras de Joo Ri pendant que tu souffres d'une erreur que vous avez commis à deux.
—Il s'est remit en couple? Demanda t-elle difficilement avant de laisser des torrents de larmes dévaler ses joues. Je pensais qu'il m'aimait et que l'annonce du bébé lui avait fait simplement peur et qu'a la longue il allait revenir vers moi et m'epauler.
—N'attends rien de cette enflure et sèche tes larmes, moi je serai là pour toi et pour le bébé. Si tu le souhaites je serai comme un père pour lui. Répondit son ami en essuyant ses larmes.
—Ce n'est pas ta responsabilité Ru en plus tu es encore jeune, mais merci pour ton soutien.
—Ne me remercie pas je ferai tout pour toi. Maintenant rentre te reposer, je t'apporterai l'argent  demain soir à la sortie des cours.

Elle s'en alla sous le regard attendri de son ami d'enfance, se regard qu'il lui avait toujours adressé. Elle y voyais de l'amour fraternel tandis que lui mourait d'amour pour elle.