chp12

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[PVD : Livai]

Je prends ma respiration, je me demande comment il va réagir quand je lui dirais. Il me regarde comme s'il voulait parler, mais se retient pour me laisser le temps, je lui envoie un regard pour le remercier de rien dire et j'ouvre la bouche.

-Ma mère et une pute des bas-fonds, mon père est un de c'est client. Il a découvert que j'étais sont gosse et a essayé de me tuer, mais il a préféré tuer ma mère en l'égorgent devant, mes yeux puis il m'a pris avec lui.

Je vois ces yeux s'obscurcir. Il est en colère.

-Il m'a forcé a rentré dans les yakuzas qui porté le nom de la famille Jäger.

Il fronce les sourcilles, il n'est vraiment pas content. Ça va être pire après. J'espéré que ça va pas dégénérer sachent, qu'il ne supporte déjà pas son père.

-Tu te souviens de la photo avec la fille et le garçon que tu avais vue ?

-Oui, tu m'avais dit que c'était, t'as seule famille.

-Oui, c'est plus une famille de cœur. C'est en réalité, mais compagnon d'armes, il était de la même escouade que moi. On était l'élite de la famille Jäger tous les trois jusqu'aux jours ou Mr Jäger et demandé de nous faire tuez parce qu'on était trop fort. Et il avait dû avoir les échos comme quoi, on tue tous les subalternes de la famille pour en finir avec lui.

-Tu as essayé avec t'es amis de tuer mon père? De mon côté, j'étais en train de mettre un plan en action, mais ma dépression me rattraper aussi vite que je mets des bon plans sur papier.

-Oui. Alors toi aussi, tu cherché à le tuez ?

-Oui, parce que c'est une pourriture et que je voulais le maquiller en suicide, mais il est tellement intouchable que je ne sais pas comment j'aurais pu faire.

-On était tellement fort en maniement des armes, mais aussi en muscle que nous avons plus monté un plan. Il était parfait jusqu'aux jours ou ton père nous a tendu un piégé. Isabelle et Farlan n'ont pas réussi à s'échapper. Ils se sont fait décapiter tous les deux. Je m'en suis tiré avec la cicatrice que j'ai sur le torse. Après ça, je me suis planqué pendant des années, j'ai passé, mes diplôme pour être enseignant et j'en suis là.

J'ai passé pas mal de détail et je le vois qu'il est en plein dilemme.

-Tu sais pour paye, mais étude, j'ai dû faire des petits boulots à droite et à gauche. Et certain dont je n'en suis pas fière. Malheureusement, je n'ai encore des séquelles, physiques comme psychologiques. Mais les personnes qui mon aidé a remonté la pente sont toujours là à me soutenir et je les remercie. Grace a eu, je t'ai trouvé et je suis heureux parce que je vais devenir papa.

-Tu sais Livai, on a, tous les deux de grosse séquelle psychologiques, est-ce qui me fais peur, c'est que si mon vieux nous retrouve. Je perds, mes moyen et que je mette en danger les petits. Est-ce qui me fait encore plus peur, c'est de te perdre.

-Si ça arrive, Armin et Erwin seront là avec nous. Et je ne mourrais pas. Ma famille conte sur moi. Je vous protégerais.

Il me regarde avec les yeux larmoyant, il est trop mignon. Je ne peux m'empêcher d'avoir un souri en coin qu'Eren remarque bien évidemment.

-Je suis au bord des larmes et toi, tu te marres.

-Je ne me marre pas, je te trouve mignon.

-Hé alors ! Ce n'est pas le moment.

La tension change, elle devient plus douce. Je me suis même pas rendu compte que la tension étés à son paroxysme. On rentre à la maison après avoir pécher. On range les poissons et on va se poser. Il vient se mettre entre mes bras. Comme on est assis dans le canapé d'angle, il s'allonge, je me positionne de sorte à ce que mes jambes soit allongé est qu'ils puissent poser sa tête dans le creux de mon cou. Je pose, mes mains sur nos petits.

Dring ! Dring !

-Grrr ! Grrr !

-Arrête de grogner, mon chou.

-Chou ?

-Ça te va bien. T'es mignon quand tu grognes comme ça.

-Ouais, bas évite devant les autres.

DRIIIIIIIIIIIING!!!

-OUI, ON ARRIVE.

Eren se lève est part dans la cuisine. Tends qu'à moi, je pars vers la porte. Je regarde dans l'œillet, je découvre Mr Jäger. Je pars en toute discrétion prendre le tel et dans la cuisine. Je me cache de sorte à ce qu'il ne me voit pas s'il regarde dans la cuisine. Eren me regarde, je pose mon doigt sur ma bouche pour lui dire de se taire et de continuer de faire ce qu'il fessait.

Dring ! Dring !

Appelle :

-Armin, il est là, venez vite.

-On est déjà en route. On vous surveillez par satellite. D'ais qu'on l'aperçut, on a lancé toutes les troupes disponible pour venir vous aider.

-Bien, s'il rentre, je défends ma famille alors si tu le retrouves mort, tu ne viens pas te plaindre.

-Ne tends fait pas, tu seras couvert. Le tout, c'est que tu le laisse entré comme ça se sera de la légitime défense.

-Bien.

Je raccroche et je vois qu'Eren s'est crispé est qu'il regarde dehors. Il a pris un couteau dans un terroir. Tends qu'a moi, je prends mon couteau est le revolver que j'avais caché dans chaque pièce de la maison. Je les range comme avant le couteau à ma cheville et le revolver dans l'arrière de mon pantalon. Eren me regarde, il ma vue faire. Je lui fais mon plus beau souri et me relèves. Mon sourire se transforme, je le vois se mettre à trembler. Il a peur de moi, je m'approche et il comprend dans, mes yeux ce, que je pence. C'est le seul à savoir ce que je pence rien qu'en regardent mes yeux. Je lui fais un câlin et rapproche ma bouche de son oreille.

-N'est pas peur, de moi, je te ferais rien. Mais comme tu as vu, ton père est dehors. Armin arrive avec beaucoup de monde. Tant qu'on le laisse entré, je peux l'abattre et se serai de la légitime défense. Mais que s'il rentre par effraction. Mais, je pense qu'il le sait et que part apport a ton odeur, il sait que tu es enceinte. Tu as relâché t'es hormone, quand tu la vue.

-Désolé, mais ton souris fait extrêmement peur, il est sadique et mauvais. Je n'ai pas eu le choix, c'est un moyen de défense chez les omégas qui sont enceintes. Les alphas n'ont pas le droit de tuer un oméga enceint.

-Oui, je sais, et de toute façon tend que je serais la, il ne te touchera pas. Bref, quand je me détache de toi ont ce, mais à courir vers la pièce.

-Oui.

Je me détache tous doucement de lui est, il se tourne. Je lui donne une tape au cul et ont ce, mais à courir. Arrivé dans la fameuse pièce, on s'enferme. On entend des coups de feu et du verre qui casse. Il est en train de vider le charger d'une mitraillette. Qu'elle que minutes après, j'entends plus un bruit.

Seul t'es sûr? Tome1/2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant