XVIII

112 1 0
                                    




Je me sens bien de l'avoir fait. Je me sens plus légère. Enzo dort. J'essaie de me lever pour aller me laver, mais Enzo ressert son étreinte et je ne peux pas bouger. Je décide que j'irais me laver plus tard, et essaie d'atteindre mon téléphone qui est à l'autre bout du lit. Quel galère! La prochaine fois on s'organisera mieux. J'entends mon téléphone vibrer, je le vois, j'essaie de le pousser avec mon pieds.

YES !

Je me fais glisser pour pouvoir l'attraper. Ça y est je l'ai. C'est mon papa, qui me dit qu'il parte pour le week end. Donc ça fait déjà deux jours qu'on est quasiment tout le temps tout seul, et maintenant on est tranquille pour deux jours, mais c'est trop bien.

Par contre, je me sens vraiment « sale », j'ai vraiment envie et besoin d'aller me doucher. Je refais une petite glissade le long du lit de façon à ce que Enzo ne me serre plus. Enfin libérer du lit.

C'est très étrange de ce balader nue dans une maison!

Je me sens vraiment bien. Tellement bien que je décide de mettre la musique à fond dans la salle de bain. Je danse, je saute partout, je me mets à chanter en prenant ma brosse à dent pour guise de micro. Ça faisait longtemps que je m'étais pas autant amuser. Quand je me retourne je vois Enzo adosser à la porte qui rigole, le gars est légèrement en train de ce foutre de ma gueule. Je baisse la musique, et me couvre avec mes mains.


« On dirait que tu es de bonne humeur! Bébé, il est six heures du matin, je t'ai jamais vu aussi en forme. »


« Disons, que ça fait un moment que je suis réveillé, et en plus il se pourrait que je me sente relativement bien, et tant que je te tiens, on à la maison pour nous deux pendant deux jours »


« Je le sais déjà ma belle, c'est moi qui ai demandé au parents de partir un peu avec Émilie. »


Il s'approche de moi, il est seulement muni de son caleçon blanc, hum... un régale à regarder. Il s'approche de mon oreille, en prenant mes mains qui me servait à me cacher, dans les siennes.


« Alors comme ça tu te sens relativement bien? Je peut te faire aller encore mieux si tu veux. »


Je réponds pas, il fait reculer jusqu'à atteindre la douche. Au passage j'appuie sur l'interrupteur de la salle de bain, on se retrouve dans le noir. On est tout les deux dans la douche, dans le noir, je suis nue, lui ne porte qu'un fin bout de tissus.

Il allume l'eau de la douche.

Il m'embrasse.

De plus en plus langoureusement.

Mes mains se noue instinctivement dans ses cheveux mouillé. Aussi mouillé que moi apriori.

Quand je m'approche de lui, je sens son sexe en érection.

Je passe ma mains dans son boxer.

Il pince ma fesses.

Sans aucune explication je me mets à rire. Je sais pas pourquoi. Je crois que c'était nerveux. Quand je vois sa tête, je retire ma main de sa partie intime.

Il me plaque au mur.

Les carreaux de la douche sont froid.

Je vous l'affirme.

Il m'embrasse encore et encore, on est plus proche que jamais. Il me re pince la fesse quand je remets ma main à l'endroit fatidique. Je sais pas quoi faire ni comment m'y prendre du coup j'enlève ma main.


« T'inquiète pas, je te montrerais comment faire! »


J'ai compris qu'il avait compris. Je me sens nulle. Les sensations sont de plus en plus fortes. Il embrasse mon cou, ma poitrine, mon ventre, et un peu plus bas aussi. Je le fais remonter. Faut pas oublié que j'ai mes règles quand même.

Il retire son caleçon.

Me porte et me colle encore aux carreaux.

Il me pénètre violemment.

Ouille!

Ça reste quand même un endroit sensible, et c'est toujours douloureux. Je ressens une sensation que je n'ai pas eu il y a quelques heures auparavant.

Oh mon dieu!

Je comprends enfin l'expression du septième ciel.

J'y suis là.

Je crois que je vais jouir, et je crois que lui aussi.

Bingo!

Oh putain, je suis une femme fontaine.

La honte!

Je peux même pas vous décrire la scène tellement c'était gênant. Il se retire, et commence à me laver, c'est assez agréable, j'ai droit à des petits bisous dans le cou de temps en temps. Je le laisse se laver, enfile mon peignoir, mets une protection hygiénique. En si peu de temps monsieur avait déjà fini de se laver.

Il me porte comme une princesse et m'amène au lit. Sur le passage, je vois mon tampon qu'on avait balancé, vraiment dégelasse, mais pour pas gâcher le moment je dis rien. Il me pose sur le lit, et dépose un chaste baiser sur mon front. Il s'allonge à côté de moi, je dépose ma tête contre sort torse.

Je suis tellement bien. On est tellement bien. C'est comme si plus rien ne pouvais nous atteindre. Mes paupières sont de plus en plus lourdes, je sens que je commence à m'endormir.





Hello !

😇
BONNE ANNÉE 🎊
Bon je sais c'est encore un chapitre olé olé, mais quand je suis lancé, je suis lancé.

S O R R Y

- Bibi -

Brother & Sister thingsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant