JungKook, 17 ans.
J'ai tellement peur. Mes membres ne cessent de trembler, du à l'angoisse que je ressent.
Elle a accepté de subir l'opération.Mais les risques sont tellement immenses...
Elle n'en est sûrement pas consciente...
Yoongi et moi sommes morts d'inquiétudes.
L'opération aura lieu dans 2 jours.
Et plus les minutes défilent, plus je me dis que je devrais l'en empêcher.Seulement je ne peux pas, parce que c'est son choix.
Malgré toute l'affection que je ressens pour elle, tout... tout l'a... enfin je ne peux pas la stopper.Et ça me rend malade.
Comme il ne lui reste peut être que 2 jours à vivre, je veux profiter un maximum avec elle.
Aujourd'hui, je l'emmène au bord de la mère.
Elle s'agrippe à mon bras, de peur que je l'abandonne. Puis, je la fait s'asseoir sur le sable, qu'elle tâte avec ses mains.
- Qu'est ce que c'est, ca ?
- Du sable... c'est des petits grains qui sont près de la mer.
- Et la mer, c'est quoi ?
- C'est une grande surface d'eau, d'eau turquoise, très belle et immense.
- Je peux la toucher ?
Je lui retire ses chaussures et l'amène près de la naissance de l'eau.
Elle sursaute, du au froid de l'eau, et rigole.- On dirait que c'est vivant, c'est drôle !
Je ride faiblement avec elle. Puis, nous nous allongeons dans le sable, mon bras derrière ses épaules. D'un coup, sa main se pose sur mon torse, précisément sur mon coeur. Ce dernier s'accélère vivement.
- Tu as l'air en forme... chuchote-elle.
- Comment ça ?
- Ton coeur bat fort, c'est bon signe...
Elle est tellement mignonne.
Tellement innocente.
Jamais je ne veux la perdre...
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Ca y est, c'est le jour de l'opération.
Namjoon nous laisse le droit "d'assister" a l'opération, exceptionnellement. Enfin, nous serons dans la salle d'à côté.
Elle est dans un brancard, des fils branchés à son corps. Elle me sourit.
Que j'aime ce sourire.
Puis, elle est emmenée au bloc.Je tremble comme si je venais de frôler la mort.
- Ca va aller, mec... Elle s'en sortira... Elle est forte, notre Anna. me rassure Yoongi.
- J'espère...
Nous patientons, et nous mettons à parler de nos vies. Je n'ai pas souvent l'occasion de lui parler.
- Donc tu as un copain ? demandais-je.
Il se frotte l'arrière de la tête, sûrement gêné.
- Ouais... ouais j'en ai un.
- Chuis content pour toi, mec. souriais-je.
Il me rend mon sourire. C'est comme un frère pour moi.
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Cela va faire une bonne heure que nous patientons. Nous commençons sérieusement à nous inquiéter.
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❤️If I Can Dream, I Can Live❤️
AcakPetit recueil ou je me lache, mes idées, mes envies, mes tracas, tout ca tout ca... De la joie, de la tristesse Des utopies, des distopies Des one shots, des poèmes, des chansons Réunis dans un même recueil ~on a tous une personne au fond de nous qu...