chapitre 13 Andrew

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Mon réveille sonne. Il est sept heure, je me lève de mon lit avec difficulté sur tout que mes nuits sont courtes, de puis leur dépare, non depuis son dépare. Cela va faire un mois et demis qu'ils sont partis et ça va faire un mois et demis que je me sens seul, abandonner et triste. C'est fou comme en aussi peut de temps, elle a réussi à ce crée une place en moi. Je me rappelle de son entrée dans les vestiaires, de son souffle sur ma poitrine, de ses jolis yeux braqués sur les miens. À cet instant précis, elle m'a envouté et elle m'a capturé corps et âme. Depuis ce jour aucune femme à part elle ne m'intéresse. Cela me vaut aussi pas mal de blagues de la part de mes collègues. Lilou.... que fais-tu à cet instant ? penses-tu à moi ? Je suis interrompu dans mes penser par le bruit strident de mon téléphone avec un long soupire je l'attrape. Le nom qui est affiché fait battre mon cœur aussi vite qu'un train à grande vitesse, je sens l'adrénaline excité chaque  passerelle de mon corps, dans un souffle je décroche.

– Oui ? Lilou ?

– Bonjour, Andrew. Comment vas-tu ? Sa respiration est hachurée, mes pulsions cardiaques augmentent en flèche. Que faisait-elle avant de m'appeler ? Des pensées plus érotiques les unes que les autres me viennent.

– Andrew ? Tu m'entends ? Putain que oui, je t'entends et Pablo aussi ! Je me reprends.

– Oui, ça va, je viens de me réveiller, je suis encore dans mon lit et entendre ta jolie voix au lever est quelque chose de très... beau. Alors, lilou ? Comment vas-tu ? dis-je de ma voix rauque, je ne sais pas si c'est dû à l'excitation ou au réveille. J'entends son souffle s'accélérer et un bourdonnement envahit mes tympans.

– Oh..Oui... ça va, je sors de la salle de sport. J'ai été bruler du gras, je suis toute trempé et en sueur. Pff une bonne douche s'impose. Me dit-elle de sa voix sensuelle. Putain de merde ! Elle me dit ça comme ça ? Je sens Pablo devenir aussi dur que du garni. Je l'imagine toute tremper pour moi...

– Andrew ? Tu m'écoutes ?

– Quoi ? Dis-je perturber par ses images tout aussi indécentes les unes que les autres ?

– Je disais que nous avons un peu de mal avec le consulat américain pour les filles. Les démarches sont plus longues que prévu. L'attente pour leur carte verte est entre deux à quatre mois.

– QUOI ! quatre mois ? Mais c'est hyper long ! Dis-je en tombant de mon nuage.

– Oui, je sais. C'est les procédures qui veulent ça, mais la femme qui se charge de nos dossiers est très compréhensive et elle va essayer d'accélérer les choses. Je lui ai fourni tous les papiers pour notre entreprise avec la promesse d'embauche de ton entraineur. Elle a dit qu'avec un peut de chance elle pouvait faire les papiers en deux mois.

– Putain ! Mais c'est quand même trop long. Dis-je en bougonnant.

– Hahahaha, je sais. Andrew, mais c'est comme ça l'administratif. Sinon comment se passe ton entrainement ?

– Bien... Je passe sur le faite que je me fais chambrer par mes collègues et démonter par mon entraineur, car, j'ai la tête ailleurs. Et toi, Lilouana ? Comment se passent les choses ?

– Oh, tu sais c'est la course. Nous devons informer nos clients et le réorienter dans d'autre centre. C'est triste, car beaucoup sont avec nous depuis le début, surtout pour la partie psychologique, nous devons faire attention. Les filles sont tout excitées par ce déménagement, elles ne tiennent plus en place. Sa voix est un peu triste.

– Et toi, lilouana ?

– Moi ?

– Oui.

Hors Jeux- Prêt à tout pour l'avoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant