Chapitre 15 :

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Malheureusement à la sortie du cours je vis Alexandre embrasser une fille. Je m'arrêtais net au milieu du couloir.

Isalyne me rentra dedans. Elle me demanda se qui m'arrivait.

- " Qu'est ce qui se passe?"

Je ne pus répondre. Qu'est ce qui clochait chez moi? Pourquoi tout le monde retournait sa veste comme ça à chaque fois ?

Elle n'avait pas vu la scène à laquelle je venais d'assister. Mais elle compris qu'il y avait un problème. Surtout quand je fondis en larmes.

Elle me prit dans ses bras. Mes larmes perlaient sur mon visage.

La fille avec qui il était venait de partir. Et à ce moment là, il tourna la tête vers nous.

Lorsqu'il me vit en larmes, son expression changea. Il avait l'air inquiet. Il commença à venir vers moi.

Mais je ne voulais pas lui parler, ni le voir. Il s'était servit de moi. En fait je n'étais visiblement rien pour lui. J'avais seulement été là quand il avait eu besoin de moi.

Je partis en courant de l'autre côté. Je ne pouvais toujours pas cesser de pleurer.

Amanda était rentrée chez elle et Isa et moi devions allé manger au self.

Mais je ne pouvais rien avaler. Je lui dis donc d'aller manger avec Léa.

Elles partirent ensemble. De mon côté je partis m'asseoir dans un coin, seule.

Mais Steven me vit en larmes. Il vint vers moi et me dit :

- " Bah qu'est ce qu'il se passe Margaux ?"

- " Le garçon qui me plait s'est servi de moi. Samedi à la soirée où j'étais il a essayer de m'embrasser et là je viens de le voir embrasser une autre fille."

- " Oh ma puce, viens là."

Il me prit dans ses bras! Son câlin me fit du bien. C'était réellement devenu un ami pour moi.

Mon bonheur fut de courte durée car tout à coup Alexandre débarqua.

- " Pourquoi tu pleures ma belle ?"

- " Ma belle!! Et tu continues à te foutre de moi. En quoi ça t'intéresse de toute façon ?! Vas plutôt retrouver ta poufiasse."

- " Oh elle! Non ça c'est un mal-entendu, c'est mon ex et elle croyait que je voulais me remettre avec elle, alors que non, c'est faux, c'est toi qui me plait. C'est avec toi que je veux être et personne d'autre."

- " Je ne peux pas te croire! C'est trop facile comme excuse. Viens Steven on y va."

- " S'il te plait Margaux crois moi. Qu'est ce que je peux faire pour me faire pardonner ?" supplia-t-il.

- " Débrouilles-toi." finis-je en ravalant mes larmes.

On partit avec Steven. Je ne voulais plus le voir. Il m'avait dégoûté. Steven voulait en savoir plus.

- " Vous vous connaissez depuis quand ?"

- " Je l'ai rencontré samedi à la soirée où Amanda m'avait invité."

- " Oh vous vous êtes réconciliées ?" s'enchanta-t-il.

- " Oui oui, ça va mieux!"

- " Sinon il s'est passé quoi à la soirée entre vous deux ?"

- " Il n'arrêtait pas de me regarder au début, commençais-je. Puis il m'a finalement prit à part pour faire connaissance. Au moment où on est redescendu c'était l'heure des slows. On a donc dansé ensemble. Puis le mec qui invitait à ramené toutes les bouteilles d'alcool. Et on a commencé à boire, à boire et encore à boire. Cette fois c'était de la musique qui bougeait et on a dansé jusqu'à 4heure du matin. On est allé se coucher parce qu'on était trop bourré. Et j'ai dormi contre lui."

- " Donc tu es bien avec lui ?"

- " Oui vraiment bien." avouais-je.

- " Mais tu ne m'as pas dit qu'il avait essayé de t'embrasser?"

- " Si, pendant les slows, il a essayé de m'embrasser mais j'ai baissé la tête parce qu'à ce moment là je ne savais quasiment rien de lui."

- " Oh et que savait-il de toi lui?"

- " Beaucoup de choses! Mes qualités comme mes défauts. Et je lui avais dit que j'étais très jalouse et très possessive. Mais il a quand même embrassé cette fille sous mon nez."

- " C'est vrai que c'est pas cool mais après tout il ne savait pas que tu étais là."

- " Peut être mais on ne dit pas à quelqu'un que c'est "la plus belle" et tout pour derrière embrasser quelqu'un d'autre. Et puis j'aurais très bien pu l'apprendre après ce qui aurait été pire pour lui."

- " Oui pas faux, mais tu tiens vraiment à lui j'ai l'impression donc tu pourrais oublier ça. Surtout s'il te dit que c'est un mal-entendu."

- " Oui peut être que je devrais."

À ce moment là, Isa m'appela pour savoir où j'étais. Je lui dis.

Chronique de MargauxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant