[2] Dangerous Liaisons

26.

🖤
« j'comptes plus mes ennemis j'en ai par centaines »

O M N I S C I E N T

Il est tellement facile de détruire une personne avec de simple parole. Mais beaucoup plus dure de la réconforter.

Les gestes ne suffisent jamais pour pouvoir recoller les morceaux casser par toutes ses paroles accumulé les unes après les autres.

Toutes ces belles paroles dont on y a cru pendant toutes ces belles années passées, n'étais que mensonge.

Nos deux amants étaient encore l'un sur l'autre. Souhaïla était tellement choquée par ce geste brusque, qu'elle ne répondit pas au début au baisé du jeune homme.

Mais elle fini par se laisser guider par ses gestes doux et fin.

Elle avait peut-être pas tout ces papillons dans le ventre, ou un coup d'froid derrière le dos, ou le corps paralysé, non. Elle n'avait pas tout ça.

Elle n'était pas amoureuse de ce jeune homme qui ne cherche qu'à la faire tomber dans son piège.

Elle y prennait un grand plaisir. C'était son tout premier baisé. Le tout premier et peut-être même le dernier...

Du côté d'Amir, il était entre deux obstacles : la sincérité, ou le mensonge.

Mais, lui aussi apprécié beaucoup notre belle. Il commencer à l'aimer.
Pour lui ce baisé n'était pas un piège pour qu'elle tombe dans ses bras.

Non! Il en avait vraiment envie de ce baisé. Il était complètement sincère.
Il avait pas envie de lui faire de mal, vraiment pas.

Mais il y était obligé s'il ne veut pas finir sous terre.

Nos deux amants, prenaient un dernier et grand plaisir avec ce baisé qui ne signifié que le début d'une nouvelle aventure.

«Après le beau temps viendra la tempête»

C'était peut-être leur dernier moment tendre avant que l'orage fini par éclater.

S O U H A I L A

New-York
10:28

J'ouvre les yeux petit à petit avec beaucoup de difficulté. La lumière du jour me piqué les yeux et j'avais du mal à les garder ouvert.

Mais je finis par les ouvrir entièrement.

Je me mis sur le dos et commença à fixer le plafond et à penser. Penser, penser, penser, jusqu'à que mes yeux se remplir de larmes prêtent à couler.

Je revoyais cette image de Souhaïl du haut de cette falaise avec l'arme braqué sur lui avant que son corps tombe d'un seul coup.

Je revois son sourire de vainqueur sur le visage du tireur. Je commençais à avoir de la haine, alors que cette scène n'avait même eu lieu.