[2] Dangerous Liaisons

42.

🌑
« bébé réglons ça maintenant avant que ton cœur m'oublie »

S O U H A I L A

J'ouvre petit à petit les yeux avant de lever ma tête et de me redresser par la suite. Je tourne la tête et sursaute de peur après avoir vue Amir coucher sur le lit torse nu endormi très profondément.

Je me rappelais pas trop de la nuit d'hier. J'étais encore dans les vapes. Mais c'est quand j'ai remarqué que j'étais nu en dessous du drap qu'un gros flash m'est revenu.

J'ai juste fermé les yeux avant de les ouvrir. Staghfi'Allah c'est pas possible. J'ai...on a pas quand même...non...

Je reporte mon regard sur lui. Il avait cheveux tout en mêlés entre eux, et il dormait très profondément. Je regarde l'heure au mur et voit qu'il était déjà 12h.

Je passe mes mains sur mon visage avant de prendre le drap et de me diriger vers la salle de bain.

Mes habits de la veille était tous jeter par terre avec les siens.

Comment j'ai pu ? Je me rappelle de rien. Fin' si j'ai eu un flash pas très saint !

Je prend quelques habits dans les placards et prend une douche.

[...]

...- déjà réveillé ?

Je sursaute de peur avant de verrouillé mon tél et de me retourner vers lui.

Il sourit vite fait. Il était toujours sur le lit il avait juste changé de côté pour être face à moi.

Je disais rien. En fait, je voulais le lui demander si on avait vraiment coucher ensemble, mais j'y arrivais pas...

Voyant que quelque chose me perturbé il me demande:

Amir - ça va ?

Je tourne la tête de gauche à droite. Il poursuit:

Amir - tu regrettes ?

Mon corps se fige direct à l'entente de cette question. Ça veut dire que c'est vrai. On a vraiment couché ensemble.

Merde !

Putain Souhaïla qu'est ce qui s'est passé dans ta tête ! Tu as couché avec ton violeur !

J'avais le regard viré droit vers moi. Amir était couché juste à côté. Il se redresse avant de me regarder dans les yeux.

Amir - t'as pas à regretter.

- ferme là s'il te plaît.

Amir - si tu penses que je joue avec toi, c'est complètement faux et...

- c'est pas ça ! C'pas ça putain !

Amir - c'quoi alors ?

- putain mais tu parle comme si tout celà était normal ! Tu t'es pardonné, je t'ai pardonné comme une conne et regarde jusqu'à où j'ai dérapé !