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« Per la vida, per la muerte »S O U H A I L A
Je tape le dernier mot de mon texte quand une voix m'interpella :
...- prend tes affaires on bouge.
Je sursaute de peur. J'ai fallit faire tomber mon portable tellement j'y étais pas prête.
Je me retourne tout en cachant le portable sous le coussin et prendre l'autre.- ok.
Amir - tu caches quoi derrière ton dos.
- rien.
Amir - retourne toi.
Je fais un tour complet sur moi-même.
Je lui souris, et lui s'approche de moi avant de prendre le portable que j'avais dans la main.Amir - tu voulais faire quoi avec ?
- rien.
Amir - enlève ce sourire de tes lèvres et me prend pas pour un con aussi. T'as trop pris de liberté, mais oublie pas que c'est moi ici qui commande.
- non c'ton père.
Amir - tu m'cherche ?
- noon..
J'avais à peine terminee ma phrase qu'il me prit par mes cheveux et rapprocha ma tête de la sienne.
- aïe !
Amir - ferme ta gueule ! Je m'en branle que t'es mal, comme toi tu t'en branle que j'fasse des efforts. Maintenant je vais te montrer c'est quoi la vraie douleur ! Tu veux pas comprendre ? Très bien, maintenant tu vas suivre les règles et les appliquer à la lettre !
- rêve toujours, j'suis pas ta chienne moi.
Amir - un chien par rapport à toi lui écoute ce qu'on lui dit.
Je le regarde super mal, avant de lui cracher à la gueule. Il ferma juste les yeux, avant d'essuyer avec la manche de sa veste le cracha.
Je le regardais toujours aussi mal, et quand il reposa les yeux sur moi, j'ai cru que mon cœur allé se barrer cette pédale. Il avait un gros regard d'haine.
Amir - continue, continue. Mais tu vas jamais assumer à la fin.
Il me laissa tomber comme une p'tite merde au sol, avant de sortir de la pièce pire qu'énervé.
- tshiiiipppp, va t'faire enculer par une salope en chaleur sale troue d'balle.
Je me lève très vite du sol, et me dirige en vitesse vers le coussin pour envoyer le message.
Samira m'avait donné son num, donc c'était simple.J'espère qu'elle va vite me répondre car vraiment j'en peux plus de cette situation.
Mon tél vibre, je le prend et vois un message masqué :
« quelle est ta couleur préférée ? Moi le rouge, comme le sang qui coule dans tes veines...»
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[2] Dangerous Liaisons
RandomElle n'avait plus de père, Lui de mère. Elle avait tout l'amour de sa mère, Lui toute la haine de son père. Elle vivait dans la lumière et le bonheur, Lui dans l'ombre, et le malheur. Ils sont comme le ying et le yang, aussi différent l'un de l'autr...