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« tu voulais pas d'une vie à deux, tu préfères être avec eux donc maintenant faut choisir ton camp »S A M I R A
J'étais dans une maison assez vieille en plein milieu de la forêt. Et aujourd'hui mon père voulait me forgée.
Pour lui, je ne savais pas encore manier correctement les armes.
Donc aujourd'hui j'étais avec lui et quelques autres homme à lui dans une petite pièce ou y avais des mannequins avec une cible ou on devait viser et tirer dessus.
Baba - On va commencer avec les couteaux.
Je le regarde faire, il prend un couteau et se positionne en face de la cible. Il vise, et tire d'un coup sec.
Il avait parfaitement réussi.Baba - j'espère que tu as compris.
J'hoche de la tête avant de prendre sa place et d'essayer de refaire la même chose. Je vise, et lance, mais le couteau à même pas fait deux mètres !
Baba - à ton avis pourquoi n'as-tu pas réussi ?
- pas assez de puissance dans les bras ?
Baba - c'est ça, mais pas que. Regarde comment ton poignet est positionné par rapport à la cible.
Il s'approche de moi et me montre comment faire.
Baba - tu dois pas que faire attention à la cible à bien visé, si tu ne positionne pas bien ton couteau il ne risque pas d'aller là où tu voudrais qu'il aille.
J'hoche de la tête et me reconcentre sur ma cible. Je vise, et lance le couteau et cette fois-ci il a touché le mannequin mais pas la cible. Et il est tombé après. Il est pas resté accroché.
Baba - mh...pour un début c'est pas mal. Avec plus d'entraînement tu réussira tu verras.
Je dis rien et regarde juste le couteau par terre.
Baba - maintenant fait comme si ce mannequin était ton pire ennemi. Celui que t'aimerai voir crever devant tes yeux.
Je reporte mon regard sur mon père avant de le reposer sur le couteau que j'avais pris dans ma main. Je le serre.
Je ferme les yeux, et là je revoyais Amir devant moi avec son sourire de vainqueur, et juste à côté de lui Souhaïla inconsciente dans ses bras.
J'ouvre les yeux, et les reporte sur le mannequin qui s'est transformé en Amir.
Je fixe bien sa tête avant de positionné mon bras entre ses deux yeux, et d'un seul coup je lance le couteau sec et vite.
Je venais de viser sa tête. Pas exactement là où je voulais, mais le couteau est bien resté sur le mannequin.
Baba - mh... ça progresse.
Je le regarde. Il ne dit dit rien et part vers la cible et enlève le couteau d'un coup sec.
Il observe le couteau avant de me demander:

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[2] Dangerous Liaisons
CasualeElle n'avait plus de père, Lui de mère. Elle avait tout l'amour de sa mère, Lui toute la haine de son père. Elle vivait dans la lumière et le bonheur, Lui dans l'ombre, et le malheur. Ils sont comme le ying et le yang, aussi différent l'un de l'autr...