ABATTUE

partie 6 *voyage dans le passé suite et fin*

son mari qui revenait de la chambre voyant le cinglant de sang qui entourait sa femme , il composa le 18 le bruit du sirène alertent les badianes qui se disputaient entre eux sur comment elles devaient punir la fille à la vu de ce corps les cris fusent de partout et le choque se lisait sur tout les visages suite a la phrase du médecin. Pourtant ce dernier ne fesait que murmuré,  jusqu'à présent il n'a adressé la parole à personne. Les badianes se ruaient au sol , les autres criaient.

- Mais s'il vous plaît sortez vous risqué de la réveillé avec vos cris annonça le docteur

-elle n'est pas morte posa le mari de mya

-Non!  Répondit le docteur,  c'est juste qu'elle a voulu se tailler les veines,  tentative de suite.  Elle s'est pris du mauvais côté . Il y avait une forte hémorragie  et heureusement que vous nous avez appelé plutôt sinon elle sera morte puisqu'elle perd beaucoup de sang à présent expliqua le médecin.

"Alhamdoulilah " le mot se fit entendre sur tout les bouches.  Sans attendre de réponse les médecins prennent le corps de la jeune fille et l'embarque sur leur ambulance pour l'amener à l'hôpital afin de terminer leur soins puisqu'il avait stopper le sang. Une fois à l'hôpital mya s'est réveillé et crié comme une hystérique lorsque le médecin est apparu elle se débattait comme un beau diable.

-Imbécile! Pourquoi tu m'a sauvé?  Quel enfoire te l'a ordonné? Cria t-elle au docteur

- calmez-vous madame...

-je ne suis pas madame... je veux plus vivre je n'ai rien à faire dans ce monde où mon horreur,  ma dignité a été bafoué,  ce monde ou je ne vaut plus rien à cause de mes erreurs du passé que personne tente de comprendre. Docteur s'il te plait deglou meu laisse moi mourir je t'en supplie termina t-elle en pleur .

Sans l'écouter d'avantage le docteur l'infligea une piqûre. Mya s'est vite endormie, elle est comme ça jusqu'au soir. Lorsqu'elle s'est réveillé son mari etait à ses chevet.

- Ton pauvre  père a appelé toute la journée dit-il accompagné d'un sourire

Le coeur de sa femme bat la chamade, le temps qu'elle essayé de mettre le point  dans sa tête son mari lui tend un téléphone en lui disant que c'est son père.  Lentement ndeye amy prend le cellulaire et l'apporte à ses oreilles

- wallahi,  je sais même pas par où commencer, tellement tu m'a foutu une honte ndeye amy.  Toi que j'aimais jusqu'à te donner le nom de ma mère tu me récompense ainsi. Khol na beu khol mais diaro diour.  Vaut mieux mettre au monde qu'une anesse que de te mettre au monde. Estime toi heureuse que ton mari veule toujours de toi raille nous de ta vie . Ta  mère est en réanimation puisqu'elle a fait une crise cardiaque, qui a fallit l'emporter.  Met une croix sur nous oublie que t'avais une famille  on ne veut plus d'une fille qui déshonneur sa famille , indigne que dieu te maudit. Assena son père avant de raccrocher.

Mya été comme déconnecté du monde , les paroles de son père, son confident  , son roi . Ses paroles venant de lui. Elle ne pleurait pas on lisait aucune émotion sur son visage. 

- maintenant , comme j'ai eu ce que je voulais j'ai pensé te répudier mais ça sera trop beau pour être vrai je vais bien m'amuser avec toi ajouta son mari avec un sourire narquois.

Le temps passé ndeye amy s'est remis physiquement,  elle vivait du jour au jour acceptant que cette vie est sa destinée.  Elle prenait du ketchupe  et sa serviete hygienique pour qu'il le  crois afin qu'il ne touche pas , et trois semaines ,sont passé à l'éclair  toujours rien au debut il etait doux. Ce qui impressionné sa femme. 

mais helas un jour il l'avait trouvé dans sa chambre.  Ce jour-là elle était  en position foetal recroquevillée sur elle même  comme toujours il entre furieusement dans la chambre se deshabille...

-que crois tu que tu me sers , tu pense que j'ai depensé tous ces millons pour que tu orne ma maison.Tu vas m'ouvrir tes jambes et que ça saute!

-tu peux toujours réver repliquia t-elle

et le giffle s'ecrasa sur ses joux sans crier gare, elle a voulu se lever du lit mais il l'a forcé à se deshabiller , elle criait comme un beau diable , mais personne ne vint à son secours  il dechira la manche de sa robe.  Ndeye amy pris peur , le regard de braise qur son  lui lança glaca son sang . Ce dernier enlève son pantalon ainsi que le caleçon  avant de l'a pénétrer rudement sans preliminaire.  Ndeye amy etoufa un cris de douleur . Elle avait l'impression qu'on lui dechirait son entre jambes. c'est par la suite qu'il l'a violé tout en etant enceinte le visage plein de larme elle le regardais abuser d'elle  et s'etait juste le debut de son calvaire car il avait commencé a le battre par la  suite . Elle etait séquestré dans cette maison. Son mari etait un obsedé sexuel ,elle a connue  par là , son vrai visage.

Et c'etait devenue une routine , abdoulaye le manquait  et à chaie qu'elle veut se rappeler elle  ferme les yeux et se souvient  de ses mots " celui qui veut reussir trouve un moyen parcontre celui qui veut rien faire trouve une excuse" elle repetais ces mots sans cesse cet etre le manque. 《 il suffit que je ferme les yeux pour que tu me manque , à cette fraction de seconde pour que tout me reviennes 》 disait-elle  *On ne connait l'utilité  des fesses que quand vient l'heure  de s'assoir * disait Ahmadou Coumba et l'utilité  d'une  personne que quand on la perd ,son absence le chagrine,ses mots le manquent ,sa douceur l'envahit ,sa bonne humeur l'anime ,ses conseils ,son rire éclatant dévoilant une belle dentition,son art de le réconforter,ses oreilles pour l'écouter  ,ses conseils pour l'apaiser ,ses bras pour le soulager ,où sont ils donc? Ces souvenirs n'ont  fait que multiplie son amertume elle a  merde elle sait  mais elle a  demandé  pardon même si on ne l'es  enttend pas et s'il y'a une chose que la vie l'a appris c'est qu'on recolte ce que l'on a semé...

En un mois de juillet il avait une chaleur étouffante il fesait tellement chaud elle  erais dans les rues  en feseant  une sorte de balade. Elle a quand même  reussis à echaper  cette maison qu'on l'a  sequestré et jusque  la, le brut qui le sert de mari, ne s'est jamais douté de son état  tout ce qui l'interessé ou du moins tout ce qu'il fesait c'est d'assouvrir ses besoins sexuelle .Elle  ne fesait  que protegé l'etre qui somnole en moi quand il le frappa vraiment bizzare mais elle  commencé à m'attacher à ELLE ! En tout cas elle savait  que cet être  occupe une grande partie de son coeur elle marchait  , encore dans les rues  , quand soudainement elle eu une boufee  d'air et son ventre le fesait extrêmement  mal elle senti une déchirure  et un liquide qui ruissele entre  ses jambes sa y est ! c'est l'accouchement ! Elle va acccoucher , n'ayant fait aucune visite au risque de se faire avoir. Elle comptait les mois elle même , elle est en terme. Elle tordait de douleur c'est en rampant, qu'elle a reussis à trouvé un endroit calme un vent poussiéreux , se fit entendre suivie des tonnerres  , sans comprendre la pluie se derverse , il pleuvait des cordes sa vue s'embrouille ..... il n'y avait personne  elle prend son courage a deux mains puis comptais jusqu'a 3 avant poussé de toute ses forces le bebe sort son coeur battait la chamade c'est une fille ! elle était a croquée... mais il ne fallait pas qu'elle  s'extase sur ce corps sinon elle risquerait de s'attacher à elle, mya tourna sa tete en recherche d'un objet trachant... ouff!  Elle trouva un morceau de verre. Sans attendre son reste elle prend  et coupe le cordon ombelicale le bebe cria sa mère étouffe  son cri. "Non! je vais pas la tuer" dit-elle,  elle enleve les habits ,celles qu'elle avait mis en dessous puis  l'envellope et marcha arrivé devant une maison elle l'a depose, sonne et coure se refuger à l'autre coté de la rue . Au bout de cinq minutes  elle voit que la porte de  cette maison s'ouvrir  et un homme de la quarantaine y sortie.  Ce dernier regarde de gauche à droite puis tente de tente de rentrer c'est par là qu'il s'est aperçu du petit qu'on a enroulé la petite. il fit un mouvement de recul lorsqu'il avait vu ce tresor sous ses yeux il verifia par la suite  au alentour. Ne voyant personne il s'abaisse puis prends ce merveille , il regarde le papier que sa mère  avait mis sur sa poitrine c'est son nom "fatma" elle lui a donné le nom de sa mère.  L'homme  souria puis rentre dans la maison en fermant la porte derrière lui. Ndeye amy etoufa un sanglot son coeur ne pouvait s'empêcher  de saigner lentement, elle retourne sur ses pas tout en esperant un avenir meilleur pour sa fille qu'elle na  pas pris le temps d'aimer d'un amour maternelle d'un amour pur mais  elle espère qu'elle aura un avenir meilleur? Dans cette maison entre temps elle va disparaître de la surface.

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Prochaine partie niou tambali les choses sérieuse voyage dans le passé bi doyneu. Où?

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Momo-chro❤