partie 7 *retour au présent*

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Un enfant est une  bénédiction divine mais cette enfant fut non  seulement une bénédiction mais aussi une lumière pour la famille sow .  Sa venue a apporté Joie et gaité dans sa famille adoptive. Depuis cette nuit elle est considéré comme une membre à part entière dans  famille.

Habitant de pikine un des quartiers les plus populaires de la banlieue dakaroise. Où les nouvelles circulaient à bon train l'arrivée d'un de cette enfant n'en ferait  pas une exception.  Le matin au premier chant des coqs la nouvelle passa sur tout les toits. 

La maison des Sow qui a toujours été  connu dans la discrétion était bondé de personne le lendemain de l'événement tragédie   Les voisins entré et sorté pour venir voir le bébé. Chacun y mettait son mot . Un avait même osé appelé les médias pour l'a tenir au courrant. À leur arrivé le chef de famille les avait interdit de rentrer puis  cacha la petite .

- vous croyez que c'est sur?  faite une déclaration.  On s'est jamais . Retrouvée une enfant comme ça au beau milieu de la nuit tu cours beaucoup de risque.  Conseilla un des innombrables visiteur. 

Sa suggestion avait capté le vieux Sow qui n'avait pas hésité à faire une déclaration. Après sa déclaration la police voulait amené l'enfant à l'orphelinat  mais le vieux avait dit niet qu'il est prêt à l'adopter chose faite il baptisa la petite et le donne son nom de famille sow.  Il avait maintenue le prénom que lui avait donné sa mère sur la feuille Fatma. 

Au fil des années la petite grandissait au plus grand bonheur de la famille Sow plus particulièrement la première femme du vieux qui avait pris la petite sous ses ailes depuis son tendre enfance.  Se comportant comme sa propre mère.  Seul la deuxième femme n'appréciait  pas l'enfant elle l'en fesait voir de tout les couleurs. Jusqu'à même l'a traité de sorcière à cause de beauté abusée.

Fatma était une belle jeune fille plein de vertus,  qui a un calme effrayant . Elle parle que quand c'est nécessaire, elle est convoitée par tout le monde.  De nombreuses personnalités sont venu demandé  sa main à son père mais elle dit niet. 

Les années passent elle reste la même celle qu'on a toujours connu à ses 16ans l'a jugeant assez mature son père l'avait expliqué comment elle est venue dans la maison.

- vous êtes ma famille,  vous m'avez jamais fait senti que je suis une enfant abandonné à son sort je n'ai jamais pleuré l'absence d'un père ou l'affection d'une mère avait t-elle répondu. 

Depuis ce jour les liens qui les unissent s'étaient beaucoup soudé.  Fatma n'avait pas d'amies  à part Ladija sa demie soeur.  Elle ne connaissait qu'un seul trajet l'école et la maison jusqu'à ce qu'elle rencontre une personne qui a piqué son pauvre coeur . Elle qui a toujours repoussé les  hommes se voit en aimé un. Ce dernier connaissant la valeur de Fatma et étant un homme d'âge n'a pas traîné les choses il est venu demandé sa main.  La famille de Fatma refusait l'union ce fut sa première prise de tête avec son père c'est en reliant ciel et terre que le vieux Sow avez accordé sa main .

Aujourd'hui Assise au milieu, de la cour où tout les membres de la famille se sont regroupé . Au milieu, fatma était assises vêtu d'un ancien grand boubou de sa mère, avec un malikane en dessous , elle n'avait pas porté de dessous son visage fut couvert d'une pellucide , elle était partagé entre mille et un sentiment, elle etait calme de vue mais c'est le ourougan a l'intérieur, elle sentait les regards degoûts à son égard en se moment si un regard pouvait tué elle sera déjà six pieds sous terre . La plus grande de l'assemblée reprend la parole .

Grand mère : Comme ça tu campe sur ta decison ? d'accord tu as décidé de traînait notre réputation à la boue? vas-y toute seule juste une chose sache que une fois que tu met tes pieds pour aller rejoindre cette maison ont te reniera à jamais tu m'entends FATMA SOW , nous les laobes notre sang n'à jamais été mélangé réfléchit avant de quitter cette famille plus jamais on te recevra même s'il te restait 3minutes sur terre crachat t-elle amèrement elle reprends son souffle puis continue.... encore une fois car il n'est jamais trop tard je te repose la question tu accepte de rejoindre ta maison conjugal en mettant tout ta famille derrière toi dit-elle avec un gain d'espoir qu'elle dise non!

ABATTUEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant