ABATTUE

partie 20

Fatma était bouleversée, elle ne savait plus ou donné la tête qui n'arrêté point de tourner. Le commissaire enchaîné avec des questions. Fatma s'est mis à pleurer. la peur, ce sentiment désagréable qui affecte l'âme sans préliminaire à la vue d'un danger. Elle se manifeste différemment pour certains, ça devient une réflexe comme le cas de fatma qui tremblé comme une feuille et se mit à pleurer , elle a peur , depuis toute petite elle a toujours eu le phobie des policièrs. Elle ne savait plus quoi faire mère khoudia voyant que fatma commencé à paniquer ce qu'il fallait éviter à tout prix , elle décide d'enrichir.

-ayyy commissaire diapalerma c'est pas mon argent xalissou naat la momoumako. Monsieur le commissaire aide moi c'est pas mon argent mais celui de notre association

- ne vous inquiétez pas madame elle sortira l'argent de grès ou de force. sortit l'homme de tenue en rassurant la dame.

Suite à ses derniers mots fatma fit pipi sur elle , elle implorait le tout puissant de lui venir en aide . Elle commence à parler , à se justifier mais on dirait que ce qu'elle disait tombé sous l'oreille d'un sourd. Nous savons tous comment la police nationale fonctionne, il ne te laisse même pas parlé qu'il te marginalise sans preuve. Il croit être supérieure à tous jusqu'à omettant que les personnes ont aussi leur droit.

Pendant que le commissaire terrorisé fatma Omar revenait de la maison. Fatigué, par le match ou il a marqué deux buts , il fonce directe dans sa chambre ne trouve pas fatma, neamoins il déshabille et prit sa douche, à sa sortie il ne trouva toujours pas fatma ni aucun bruit dans la maison il en reste pensif . Fatma avait l'habitude de l'accueillir quand il revenait de la maison alors qu'il est rentré jusqu'à prendre son bain et pas l'ombre de sa femme? Ça cloche!

Il commence à s'inquiéter. D'un mouvement rapide il enfile ses habits puis sort de la chambre et fonce directement à la cuisine tel fut sa surprise lorsqu'il trouva le gaz allumé mais pas sa femme , il pensa peut être que fatma est à la boutique pour acheter quelques chose, il réfléchissait à cette possibilité avant de se rendre à l'évidence que sa femme ne prendra pas le risque d'allumer le gaz en allant à la boutique tout en sachant que nimporte quel danger peut arriver. Mais ou peut-elle bien être ? Peut être aussi qu'elle joue au cache cache? Se dit-il Il se mit à appelé fatma. Il crié son nom sur toute la maison.

- FATMA??.... MON BÉBÉ... OU ES TU ? JE SUIS DE RETOUR SORT DE TA CACHETTE MON AMOUR???

Il se mit à crier, et c'est toujours l'écho de sa voix qui raisonné.

-MON AMOUR C'EST BON SORT J'AI PLUS ENVIE DE JOUER redit -il sérieux

Encore l'écho de sa voix qui raisonne son inquiétude monta d'un cran de différentes scènes se défilent sous ses yeux, son dernier recours c'est la chambre de sa mère peut être qu'elle se trouvera là-bas . Sans trop réfléchir il s'y dirigea d'un mouvement brusque Omar défonce la porte il trouva la chambre sans dessus dessous . Il fut choqué un moment d'un tel désordre il regarde encore la chambre de près et voit une enveloppe par terre. D'un pas lent il s'approche avant de la saisir. Il L'ouvre et y trouve des liasses de billets. Son coeur ratta un battement après avoir capté les analyse du cerveau. Si ses pensées ne le trompe pas il ne sait pas comment s'en sortir.

- Et si on les a enlevé pensa t-il

Il se lève rapidement et allume son téléphone avant de composer le numéro de fatma. Il fesait les cents pas et commencé déjà à transpirer. Le réseau fesait défaut, il recompose encore le numéro grande , fut sa surprise quand le téléphone sonna dans la cuisine. Il s'y dirigea et trouva le téléphone sur le plan  de travail. Omar commencé vraiment à avoir peur. Il compose le numéro de sa mère cette dernière ne répond pas n'empêche ça sonne , il insita toujours même chose pas de réponse, il commencé à décourager mais continua néanmoins. C'est à la quatrième tentatives que sa mère daigne enfin répondre.