Virginity Game

8 (corrigé)

Olivier - Merde! Erika..

Moi- Oli? Tu faisait quoi?

Olivier - Hum bin merde.. Je ...Lui... donnais hum.. Des cours de ...De.. De ...

Moi- De comment embrasser?

Oli- C'est bon ta gagner. Mais ne le dit pas s'il te plaît!

Moi- T'es gay?

Olivier - Mouais..?

Moi- Mouais? C'est un nouveau mot sa?

Oli- Oui et non. Enfaite je croit que je suis bi.

Moi- Donc tu aimes les gars?

Oli- Ouais mais dit le pas s'il te plaît.

Moi- T'en fait pas. Pourquoi je m'amuserais à te faire chier? Ta toujours été gentil avec moi.

Oli- Merci t'es trop gentille.

Moi- Mais tu réalise que tu manque ton cours d'anglais, n'est-ce pas?

Oli- Bof pas grave ... Mais tu peux y aller maintenant? J'aimerais bien finir avec ce jeune homme.

Le gars en question semble gêner et je les laisses seul après avoir promis au garçon aussi que je n'en parlerais à personne.

**

Rendu au diner, il ne se passe rien de spécial. J'ai dû copier un devoir à Naomie parce que bonne élève que je suis, je ne l'avais pas terminé. Non mais quel idée aussi de donner des devoirs dans la première semaines d'école! Nos cerveaux son encore en vacances!

Je fini en éducation physique ce qui veux dire que je vais pouvoir prendre mon temps pour voir  à la fin. Ce qui es génial parce que lorsque le cours n'est pas à la dernière période, je dois m'habiller en environ 5 minutes si je veux avoir le temps de retourner à mon casier porter mon linge de rechange, prendre mes livres et me rendre à la classe avant la première cloche. Ce qui n'est pas vraiment faisable.

Rendu au cours d'éducation physique, je vais dans les vestiaires me changer et je me rends au gymnase.

Le cours se passe bien. On à un peu jouer au volleyballs. Pas très longtemps parce que le prof a pris plus de la moitié du cours pour se présenter et nous parler de son plan de cours de l'année.
À la fin du cours je retourne dans les vestiaire pour me changer. Je prend mon temps puisque je marche pour me rendre chez moi donc je n'est pas à me dépêcher pour me rendre à l'autobus.

~toc toc toc ~
Je fronce les sourcils et vais voir à la porte puisque je suis la dernière fille dans le vestiaire et que ce n'est pas vraiment normale que quelqu'un cogne à la porte. C'est peut-être le concierge qui veux vérifier si il reste des filles avant de barrer la porte et je n'est pas vraiment envie de rester pris ici tous la nuit.

En ouvrant la porte, je tombe sur Léo et Alexis. Je fronce les sourcils.

Moi- Vous réaliser que c'est le vestiaire des filles, n'est-ce pas?

Léo - On doit te parler.

Alexis - C'est urgent.

Moi- Qu'es qui se passe?

Léo - Alexis reste dehors et surveille la porte, je vais lui parler en premier.

Ok, c'est de plus en plus étrange comme histoire.

Une fois que je suis dans le vestiaire avec Léo et Alexis dehors, Léo se tourne vers moi, en souriant.

Moi- Tu veux me parler de quoi?

Il ne me réponds pas mais il s'approche de moi donc je recule. Je suis rapidement pris dans le coin de la pièce. Me voilà donc coincé entre le mur et Léo qui n'arrête pas de me regarder en souriant. Il s'approche encore plus de moi et me chuchote a l'oreille:

Léo- Maintenant que tu es mon pion, sache que tu va perdre.. 

Moi- Comment ça ton pion? De quoi tu parles encore?

Léo - C'est simple, maintenant tu es à moi.

Moi- Voyons? Je ne t'appartiens pas, tu n'est pas mon père au dernière nouvelle.

Il me sourie en coin et approche encore plus son visage du miens, je sens son souffle sur moi et sa me déstabilise.

Léo - J'aime bien quand tu fait la rebelle. Mais n'espère pas trop, tu va perdre.

Moi- Pourquoi tu dit sa?

Léo- Tu ne peu pas me résister.

Moi- Faux.

Je le repousse,

du moins j'essaye.

Je sens ses doigts sur mon poignet mais je suis trop préoccupé par son regard perçant pour me soucier de se qu'il fait. 

Lorsqu'il recule de quelques pas, je me décide enfin à regarder mon poignet, sentant quelques choses de froid. Je vois un bracelet en métal rouge, avec une serrure en coeur.

Léo - Rouge, comme la couleur de notre amour hahaha.

Il se rapproche à nouveau de quelques pas mais il es interrompue rapidement par la porte du vestiaire qui s'ouvre.