Episode 14 : Discutions en groupe (2.2)

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-POV de Sam _

Corrigé √

Lorsque Théodore se mets devant moi et me protège, en sa manière. Mais, depuis qu'Abruzzi a presque tordu ma main gauche, je la replie sans problème. La douleur n'est pas toute suite, mais le lendemain matin. Je reprends mon souffle, mais je sens que T-Bag, veut savoir la vérité sur mon sujet avec Scofield et Burrows..Michael est toujours sur ses fesses car Sucre l'aide a se relever, mais normalement Lincoln arrive bientôt pour les aider. Je sens l'horrible halène de Théodore près de mon oreille gauche et je frémis :

-Alors, tu vas parler ? Minette ? Me dit-il, d'un air narquois.

-Je ne dirais rien, T-bag, va te faire foutre !

-Depuis quand tu connais, gueule d'ange,et Linc le déluge ? Hum ? 

-Je ne dirais rien ! Insistais-je, d'une voix ferme, et c'est ma vie !

-C'est étrange, qu'une femme comme toi, est ici...Ce n'est pas une coïncidence que tu sois la cousine, de cette bombe de Sara...Commente, John, et je me demande qu'elle lien as-tu eu avec Scofield...Hum....Je suis d'une nature curieux, ma belle...

-On a couché ensemble, dit Michael, en se redressant sur ses pieds, et comme elle le dit si bien, ça ne te regarde pas...Pourquoi veux-tu savoir notre lien ? Demande, gueule d'ange.

-Parce que si, tout ne se passe pas comme prévu, je la zigouille, c'est clair ? Scofield ?

-Lâche-moi, Tbag ! Dis-je, en me décalant vers l'autre sens.

Rien ne résiste à Théodore, le plus sadique de tous à l'intérieur de ses murs et il me recolle vers lui, en méritant le bras violemment puis pose sa tête vers le creux de mon cou. J'avale ma salive et je commence a perdre patience, mais je ne veux pas déballer ma vie devant les tueurs de cette prison, infirme. J'entends la voix de Lincoln et je m'éloigne de Théodore, mais il pose sa lame sous mon menton pendant que mon ancien amant entre dans le box. Lincoln ne me voit pas directement et dès qu'il ferme la porte, Linc le déluge, a le regard surpris lorsqu'il voit son frère, sans expression sur sa gueule d'ange. Et, lorsqu'il entends le son de ma voix fine, il se retourne en ma direction car T-bag sourit narquoisement :

-Sam ? 

-Salut, comme tu vois, je suis en mauvaise posture, Lincoln.

-Je vois ça, dit-il, en fronçant les sourcils, elle ne t'a rien fait, Théodore...

-Je fais ce que je veux avec la minette, pas vrai, Samantha ?

-C'est quoi ce plan ? Me demande, Burrows...

-Ce n'est pas sa faute, mais de la mienne, affirme Scofield, ils savent pour nous trois.

-Bravo, tu l'as mise en danger, frangin ! Râle, l'aîné.

-Eh, ce n'est pas moi qui a eu l'idée de venir ici, c'est elle, non ?

-Quoi, c'est de ma faute, c'est ça ? Dit, en poussant la lame de TBag, et en me blessant.

Lorsque Sucre voit que je saigne sur le dessous de ma main, il n'hésite pas à déchirer le bas de sa chemise blanche, pour le mettre sur ma blessure et je hausse les épaules et Fernando Sucre se mets à mes côtés pour me calmer, car je ne tiens presque plus sur mes petites jambes. Je suis à bout de souffle depuis que je suis ici. Je me meurs intérieurement car depuis que j'ai perdu quelque chose, le jour ou Lincoln a été admit ici. Fernando, n'est pas dupe, il s'est parfaitement que je cache quelque chose de plus grave pour que je vienne ici...

Le Porto ricain, ne me quitte pas du regard, car il perçoit que mes mains se trouvent toujours en bas de mon ventre et il comprends aussitôt mon secret :

-Pourquoi tu touches, ton ventre en permanence ?

-Rien, comme ça, une mauvaise habitude, c'est tout ! Me défendis-je, comme je peux.

-Ma femme fait souvent ça, et quelque chose me dit que..

Je roule des yeux et Lincoln commence a comprendre. Une tension s'installe entre les membres de cette prison sordide puis je commence a paniquer à l'intérieur de moi. Je ne veux pas que Lincoln sache la vérité sur mon accident de la route et je ne veux pas que ce moment arrive, si vite. Un air amusé se lit sur le visage de John Abruzzi et il se permets de l'ouvrir devant nous :

-Je crois que je commence a comprendre, ta situation, ma belle.

Je roule des yeux, et je fronce les cils :

-Je ne crois pas....

-C'était toi, la femme qui a eu cette accident de voiture, le jour de son transfert ici ?

-Non, je ne crois pas...

 Le Portoricain commence a comprendre la situation, car sa future femme et une de mes connaissances sans le vouloir. Je l'avais rencontré à l'hôpital, pour une raison quelconque. Et, il ne veut pas en discuter ici, avec les autres. Il veut attendre le bon moment, et Lincoln se pose beaucoup de question sur, ma venue ici, et mon retour dans sa vie. John Abruzzi sort un morceau de journal qui date de quelques années, et le montre à Burrows. Il ordonne aux autres de sortir de là, et Michael préfère rester...Ainsi que Sucre pour éviter tout soupçon..

Dehors, John savoure sa petite victoire sur ma situation et Théodore lui pose la question en marchant, les mains dans ses poches :

-Tu as donner ce journal ? Pourquoi ? Demande, Tbag qui marche lentement.

-C'est l'une de mes pièces manquantes dans l'histoire des Burrows...Je sens que mon plan se mets en place, et j'ai hâte de savoir la suite des événements...Je fais pression sur cette minette pour lui faire comprendre, qu'elle n'a pas le choix de nous satisfaire...

-Tu es toujours machiavélique, Abruzzi...

-Toi aussi, Tbag..Nous avons tous les deux une bonne réputation. 

Sur cette fin de discutions, Abruzzi poignarde T-bag près des grilles et ce dernier s'allonge sur le dos car le gardien intercepte John, puis le plaque contre le grillage qui sourit fièrement de son geste...Cependant dans le box, c'est plus tendu qu'avant, car Lincoln me montre la photo et je ne peux plus mentir à tout le monde, comme ça...Ainsi soit-il, je ne peux plus faire marche arrière...





[Fanfiction Prison Break]Comment tomber amoureuse d'un criminel ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant