Hélicoptères, Moldus et lumières... Ah et aussi Granger... Granger?!

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'Lut!

Je suis revenue de voyage! C'est tout ce que je voulais vous dire avant de vous faire mon petit message d'avant chapitre...

Je voudrais d'abord vous remercier: vous êtes de plus en plus nombreux à lire, voter et commenter mon histoire! Mais quand j'ai regardé le nombre de votes dans tous les chapitres, j'ai réalisé quelque chose... Vous aimez vraiment le drame hein?! Je vous fais pleurer et tlm vote?! Décidement, je ne comprendrai jamais... Bref! Donc merci! Ça me touche et m'enchante vraiment que vous aimiez autant mon histoire! Alors juste pour vous, je vous garantie que je finirai cette trilogie! À moins que je meurs entre-temps... Ou que je ne meurs pas mais perde toutes mes capacités intellectuelles... Ou encore que je supprime toute l'histoire par accident (ça serait la chose la plus chienne qui puisse m'arriver)... Ou encore... Stop, j'arrête. Je crois que vous avez compris le principe... Alors! Retournons à l'histoire voulez-vous?

Ce chapitre, qu'une de mes amies attend avec impatience (Janie... Je sais que tu veux m'étrangler tellement tu as hâte que j'arrête ce monologue pour lire la suite mais patiente un peu, ok? J'en ai pour pas longtemps... Ben je crois), j'ai le plaisir de vous annoncer qu'il sera bcp plus léger que les précédents, il sera cute et guimauve (à l'eau de rose si vous préferez), mais j'y rajoute aussi ma fameuse touche de suspense... ;)

BONNE LECTURE!

*On se retrouve en-bas! (Et elle transplana... Attendez, elle est pas une moldue?)

**********

L'enterrement était prévu pour lundi. À l'entente de cette nouvelle, Draco sentit son coeur se déchirer encore plus, et la tristesse l'étouffer. Il avait l'impression que l'annonce de l'enterrement d'Hermione finissait de l'achever. Comme si, au fond de lui, il avait gardé l'infime espoir que tout ça n'arrivait pas pour de vrai, qu'Hermione était bel et bien vivante. Mais même ça lui avait été arraché. Se sentant au plus mal, il sortit en trombe de la Grande Salle où Dumbledore venait de faire l'annonce qui le peinait autant et se dirigea inconsciemment vers ses appartements. Arrivé devant les deux portes de chambres, il hésita un instant avant d'entrer dans celle identifiée au nom de son ancienne homologue. Il regarda la pièce, ses yeux acier s'attardant sur des détails sans grande importance. Comme la brosse à cheveux parfaitement propre, sans aucune boucles brunes prises dedans posée sur sa table de chevet sur un énorme volume. Comme les draps qui n'avaient pas été remis en place correctement, comme si Hermione avait perdue patience et se serait en allée précipitemment, abandonnant l'idée de bien faire le lit. Sur son bureau trainaient de multiples parchemins vierges ou noircis d'une écriture soignée avec d'autres outils de travail. Il s'avança dans la pièce, doucement, et se dit que sa chambre donnait l'impression qu'elle venait juste d'être quitté. Car personne n'avait repénétré dans la salle depuis le décès de son occupante. Il s'assit sur le lit et enfoui sa tête dans les oreillers. Ils avaient encore son odeur. Il s'en ennivra avant de s'étendre de tout son long sur le matela. Il observa à travers la baie vitrée le ciel sombre et les gouttes de pluies qui s'écraisaient au dehors sur la terre gelée ou contre la vitre. Un temps triste pour une personne triste. Le serpentard resta un moment étendu, là sur le lit de son ancienne amante, inspirant son parfum qu'il aimait tant. Il ne sut pas combien de temps passa, mais quand il sortit de sa léthargie, la pluie s'était arrêtée et le ciel s'était dégagé pour laisser voir une voûte étoilée magnifique. Il laissa errer son regard dans le ciel, la chambre et finalement, il tomba sur une photo moldue sur la table de chevet. Il se releva et s'en empara. On y voyait Hermione et ses parents souriant de toutes leurs dents à la caméra. En fond, on voyait qu'ils étaient en ville, et qu'il faisait nuit. Mais ce qui attira son regard fut les petites lumières qui illuminaient la nuit. Pas les étoiles, non, mais des choses que les moldus lançaient dans les airs. Hermione lui en avaient parlé une fois. C'étaient des "hélicoptères" en plastique coloré, orné d'une petite lumière que les moldus propulsaient dans les airs avec un élastique attaché à un bâton. ( C'est l'image que j'ai mis) Il songea avec mélancolie que ces petits hélicoptères lumineux éclairaient le ciel sombre comme les éclats d'or étincelaient dans les yeux noisettes d'Hermione lorsqu'elle était en vie. Cela lui donna une idée. D'un coup tout excité, il se précipita au bureau du directeur. Par chance, le directeur s'apprêtait à dire le mot de passe à la gargouille.

Mystery-Tome 1 (Dramione)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant