Chapitre 12: Révélation

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« - Il a pas tort. Je suis devenue Vilaine. Il me fallait juste une raison de me montrer plus tôt pour m'affirmer.... et c'est arrivé plus rapidement. »

Katsuki, All Might et tout les autres murmurèrent:

« - Dites moi que je rêve..... »

Sauf Eijiro restait silencieux. Il m'observait sans rien dire, une expression qui échangeait entre la peur, la rage et l'inquiétude. Et il y avait M. Aizawa.

PDV M. Aizawa:

Dites moi que c'est une blague.... je porte vraiment la poisse ! Je suis pédophile, con ET naïf !! Je sais plus... comment une fille aurait-elle un jour pu me faire autant de mal ? Mon cœur se serre. Je veux la prendre dans mes bras, mais je dois la frapper.

C'est tellement paradoxal.

Je me plante devant elle et efface son Alter en la fixant. Elle rougit un peu, et son coéquipier lui donne un coup de coude. Elle me frappe violemment au niveau de.... là où ça fait mal. Je dû me plier en deux, sous le coup.

« Ouuuurff »

Eijiro se jeta sur son amie, la bloquant au sol.

PDV Myoka:

Sans m'en rendre conte, je me retrouve au sol, cloué par Eijiro. Il m'afflige un coup de poing suivi des ondes choqués de nos amis.

« - Dis moi que tu blagues Myu-chan !»

Il me refrappa plusieurs fois.

« - DIS MOI QUE C'EST UNE BLAGUE !

- Non Eiro.... c'est pas une blague... »

Ma tête était en sang, sous les coups durs de mon ami. Katsuki remplaça Eijiro.

« - DÉGAGE TÊTE D'ORTIES !

- Katsuki... »

Izuku semblait réfléchir dans son coin, tendis que M. Aizawa était paumer au milieu de ses pensées, en me fixant.

Mes yeux se fermèrent peu à peu. Les coups d'Eijiro avaient été trop puissants au niveau de mon crâne. Je me fis soulever et transporter. Je ne savais pas où j'allais et encore moins qui m'emmenait.

Je me réveilla... dans la chambre d'infirmerie de Yuei. Katsuki marmonnait dans son coin. Il me faisait un peu penser à Izuku comme ça.

« - Katsuki ? »

Il sursauta et me regarda. Puis il me sauta dans les bras.

« - Putain, t'es conne ! C'est quoi cette idée de nous faire cette blague ?

- Katsuki je... tu sais ce.... ce n'était pas.... »

Il me fit taire d'un simple baiser déposé sur mes lèvres. Je le laissai faire, rougissante.

Je suis sortie de la salle d'infirmerie, un pensement sur le nez. Cela me donnait un certain style. Je suis partie en salle de cours. M. Aizawa m'attendait pour commencer le cours. Il me dis:

« - Tu resteras à la fin de l'heure, j'ai à te parler.

- D'ac-d'accord. »

L'heure passa très lentement. Les cours même les plus passionnants ne me convenaient plus.

À la fin du cours, je suis allé au bureau de mon prof. Il attendit que tout les élèves sortent.

« - Que vouliez vous me dire ?

- Une chose.... assez importante.

- C'est à dire ? »

Cela se voyait; il se sentait mal.

« - *long soupir* je t'aime. »

QUOI ?!

« QUOI !? »

Il me fixa tant bien que mal. Je répondis

« - Mais monsieur enfin vous êtes mon prof et je... je suis trop jeune j'ai....

- Tout n'es que question d'âge....

- Je... tu... enfin vous... c'est que je.... euh.... quoi ? »

Il m'embrasse. Je ne fais rien. Alors il continu. Il test. Je test. Je passe mes bras autour de son coup.

J'ouvre les yeux. Je suis vraiment... en train d'embrasser mon prof là ? Oulah ça va pas fort moi..... mais je ne bouge pas. Bizarrement, cela a un côté presque rassur....

MAIS BORDEL A QUOI JE PENSE MOI LA ? Je me retire. Je bégaye une excuse bidon. Il me répond quelque chose que je n'écoute ni ne comprends pas. Il se rapproche, je laisse faire.

Je suis vilaine, je suis vilaine, je suis vilaine, je suis vilaine... alors pourquoi je me laisse faire ?

Je repense au pile ou face. Katsuki. Je veux qu'il soit la seule personne qui puissent jamais m'embras... Non. Stop. Je mets fin au baiser emprisonnant mes lèvres et celle de M. Aizawa. Je part en courant et saute par la fenêtre atterrissant dans un portails pour me retrouver plus loin du lycée.

« JE SUIS TELLEMENT CONNE !! »
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Coucoux ! Oui il lui as enfin dis ce qu'il ressentait ! C'est pas trop tôt vous allez me dire et baaah il faut le temps hein... bref j'espère que ça vous auras une fois de plus plu et je vous dis à plus !

Question d'ÂgeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant