le jeu des ombres (modern livai x reader)

chap 7 : repas de famille

Voisine : vous accepteriez de venir manger à la maison ce soir, vous n'avez qu'a venir vers 19 heures ce soir. 

Moi : Heu oui, si ça vous fais plaisir madame ? Répondis-je peu assurée.

Voisine : Appelez moi Petra, je vous en pris on est voisine. Dit-elle avant de rentré chez elle.

Alors là, je crois que je viens de faire une grosse connerie ! Je vais dire quoi ? Et comment je dois me tenir ? Es-ce que je dois apporter quelque chose ? 

Bon, destresse, tout va bien se passé, t'en que je reste zen, que je parle pas trop ou que je bois pas trop, je vois pas comment je pourrais déraper.

Je vais peut-être remmenée des fleurs, ça fera un minimum social, et potentiellement me shooter un bon coup avant d'y aller.

Bon déjà, je vais posé mes livres et je vais aller chercher des fleurs, il est pas encore 15 heures donc je pense être tranquille niveau temps.

Alors les fleurs c'est bon, j'ai laisser le fleuriste faire il était tellement dans son truc et moi tellement désespérer que je me voyer pas l'en empêcher.

Bien, maintenant, il faut que j'essaye de me calmer. Et il n'y a rien de miens pour me calmer que d'aller faire un tour avec ma petite Lilly. Y'aura jamais mieux comme drogue, et je dis ça en connaissance de cause, j'en et tester pas mal des drogues.

Je rentre, il est 18 heures et 24 minutes précisément, donc j'ai le temps pour me préparer. Oui je vais quand même pas y aller juste après avoir jouer dans l'huile.

Je vais donc me laver et me changer pour mettre un truc un peut plus posé.

Dans le genre sweat noir trois fois trop grand et jean déchirer, dans des bottines noires, avec un chinions fait a la vas vite.

Une fois laver et changer, il me reste 10 minutes avant d'aller voir mes nouveaux voisin.

Y'a pas à dire, ça va me changer des discutions de la prison, enfin qu'en y'en avait.

D'ailleurs ils discute de quoi ? Parce que je sais pas vraiment quoi aborder comme sujet fasse a des gens que je ne connais pas vraiment.

Sinon je les laisse lancer de sujet je ferais mon possible pour participer.

Je suis devant la porte de mes voisins, avec 2 minutes d'avance, comme en prison. Va falloir que je me défasse de c'est manies sérieux. Enfin, ça me laisse faire le point sur ma vie :

- Je sors de 2 ans de prison pour couses illégales.

- J'ai faits 2 ans d'hôpital psychiatrique en cellule d'isolement juste avant;

- Pendant les 8 ans qui ont précédés, j'ai changée au moins 50 fois de famille d'accueil (bon ok j'exagère, seulement 30), et j'ai commencer ma carrière de délinquante en même temps; 

- Et jusqu'à mes 10 ans ma mère me frappée, jusqu'à ce qu'elle me mette a la porte. Enfin elle me frappée surtout fait depuis la mort de mon père, a mes cinq ans, pile e jour de mon anniversaire.

Bon on va pas ce cacher qu'il y a plus joyeux comme sujet de discussion quand même.

Je fais le vide dans ma tête puis je toque à la porte.

Petra : Venez entrée !

Je souris faussement en entrant puis répond.

Moi : Merci. Tenez, c'est pour m'avoir inviter. Je lui tendis les fleurs. Et ne penseriez vous pas qu'on pourrait ce tutoyer ? (Je pense regretter mes paroles avant la fin de la soirée).

Jeune homme : Excellente idée mademoiselle ! Il n'y a rien de mieux pour faire rapidement connaissance. Clama l'inconnu avant de prendre une de mes mains et de la porter a ça bouche.

Jeune homme : Gunther Schültz. Pour vous servir Miss ? 

Stop ! Tu te calme de suite Roméo je suis pas Juliette.

Moi : (t/p) (t/n). Enchantée. Répondis-je calmement, toujours avec mon faut sourire.

Petra : Désolé (t/p), j'ai oubliée de te dire que mon frère mangerai avec nous.

Moi : Je ne peux pas me plaindre Petra, tu ma invité a la derrière minute, ça me fait fait déjà plaisir d'être là. Mentis-je.

Désolé ma grande, je suis juste venu pour éviter que ça soit ma psy qui me fasse rencontrer des gens, j'ai peur que si se soit le cas, ils soient aussi joyeux qu'elle.

Auruo : Bonsoir (t/p). Surtout ne prête pas attention à Gunther, il est un peut lourd quand il rencontre une nouvelle fille. Me chuchota le jeune père en me faisant la bise.

Ce que je déteste le contact humain.

Moi : Merci du conseil Auruo.

Et désolé mais je le savais déjà, dès qu'il a ouvert la bouche j'ai su que c'était juste un gros bof dragueur bien lourd.

Moi : Votre petit bonhomme n'est pas là ?

Trop coooooooool !!! 

J'aime pas les enfants.

Auruo : Non, il est chez ces grands-parents. Comme ça on peut rester entre adulte.

Il se dirigea vers le salon juste après ça réponse.

Gunther le suivit de près pour se servir un verre pendant que je suivis timidement le mouvement.

Gunther : Je te sers un verre ma jolie ? Il accompagna ça phrase d'un clin d'œil.

Ok. Calme tout de suite tes ardeur gas, je suis pas en chien moi.

Moi : Oui merci, mais si tu pouvais éviter les surnom mignon ce serai cool, étant donner qu'on ne se connait pas. Déclarais-je froidement en le fusillent du regard.

Gunther : Bien sûr. Répondi-il gêner. Je te sers quoi ? 

Moi : Du vin blanc s'il te plait. Dis-je joyeusement.

Vive la bipolarité.

Le reste du dîner c'est bien passé, malgrer le fait que j'ai faillis tuer Gunther au moins quinze fois pour ces avances déplacer.

Et étrangement, ils ne mon pas trop demander de détails sur ma vie, ce qui ma beaucoup arranger.

Ils m'ont même proposé de recommencer ça le moi prochain, et je pense que je vais y allais, j'ai l'impression de revoir une vie avec eux.