chap 13 : pensée pour deux.

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Le chiot en média c'est celui que (t/p) a adopter, après le massacre.

Sinon, les paroles en italique et en gras, ce son les réponses que se donne notre héroïne lors de ces monologues mentaux. c'est comme une deuxième personne dans ça tête mais c'est la même et unique personne, elle est pas encore schizo, et je crois pas qu'elle le sera un jour.


Moi : Aller viens mon petit bonhomme, on a plus rien à faire ici nous. Lui dis-je avant de le prendre dans mes bras et de disparaitre dans la noirceur de la nuit dans laquelle la rue principale était plonger en cette froide nuit d'hiver.  


PV (t/p)

ça fait deux jours que j'ai sauvé le chiot d'un bande d'imbécile et je lui est déjà trouver un nom : Samus. 

Et c'est bizarre parce que personne n'a encore parler des cinq meurtres que j'ai fais a cette date.

Bon d'un coté sa m'arrange, parce que certaines personnes *tousse tousse Hansi tousse tousse* pourrait vite faire le lien, entre moi et cette tueuse, bon ok c'est moi et alors ?! Mais bon faut pas que je me fasse remarquer, sinon se serait repartie pour les vacances en cellules, et j'ai pas envie.

Sinon, je viens de rentré du boulot avec mon petit Samus. Oui parce que j'allais pas le laisser là, tout seul, alors qu'il n'ai âgé que de quelques jours. 

Je pose mes affaires de travail et j'attrape mon nouveau compagnon, pour qu'on aille ce balader.


On est dehors depuis quelques minutes et il se met a neiger. Samus, aussi exciter qu'une puce , saute dans tout les sens pour pouvoir attraper ces petites étoiles de glaces qui volaient autour de lui, pendant que moi j'observais mon environnement.

En fait, je cherche surtout des gens à qui dictée ma morale. (celle du coup de point) pour pas qu'ils ne finissent comme moi. Parce que oui Porcelain black n'est pas une jeune fille qui veux la paix dans le monde et bla bla bla, non, c'est juste une tarée qui supporte pas que les jeunes des cités finissent dans la rue pour on ne sait quel boulot minables alors qu'eux peuvent avoir une vie meilleures.

Et moi alors j'aurais put changer les choses pour ma vie me dira-t-on, mais non, faut croire que c'était tout tracer, entre mon père, qui vendait des femmes, enfin leurs corps surtout, et puis ma mère, qui tenait une fumerie d'opium, et elle en fumer aussi d'ailleurs, ça aller être compliquer de faire fac de droit ou de médecine.

Bref. Je pars m'assoir sur un banc dans un parc, avec Samus qui saute toujours de partout.

Moi : Finalement c'est bien, d'être dehors à cette heure, pas d'enfant brillants à qui tu fais peur, pas de parents inquiets qui te regardent mal, un silence qui n'est pas gênant et un ciel étoilé et dévoilé, pour toi toute seule. Me dis-je, en même temps que de lever la tête vers ces étoiles.

Les étoiles, seules êtres qui arrivent a me supporter depuis que je suis toute petite.

Heureusement que t'entends pas toutes ces horribles choses qu'elles disent sur toi. 

J'en entends certaines tu sais.

Tu n'entends que les plus belle choses, personne ne veux de toi. En même temps, qui pourrait vouloir d'un monstre tel,que toi hein ?!

Personne, je le sais bien. Mais la solitude me vas bien, elle au moins ne se permettra jamais de me juger, pas comme toi.

Bien sûr que je te juge, comme toute les personnes qui te voilent.

T'es paroles aurais été blessantes, il y a quelques années, mais aujourd'hui, elles ne font rien. Comme si tu n'étaient que du vent. Tout comme les paroles de ces étoiles, c'est pour ça que je me permet de dire qu'elles me supportent.

"Il y a quelques années" les années de dure labeur ou mère te traitait comme le détritus que tu ais n'esse pas...

Exact, et sur ce je te laisse ravivé toute seule ces sublimes années de tortures.

Comme toujours tu fuis ton passé.

Faut croire que fuir est ce que je fait de mieux fasse a ce qui me pose problème.

La preuve, tu te fuit toi même.

T'es toi, tu m'énerve.

Revenant sur terre, déprimé au possible de cette conversation avec moi même, je remarque que mon petit bonhomme commence à trembler de froid, je décide de commencer le chemin retour a ce moment là.


Je marche tranquillement dans la rue principale pour rentrée chez moi et en passant à coté de deux jeunes, je les entends discuter de Porcelain black.

Hahaha, je suis de retour les gens, faite attention a ce que vous faites !

Désolé, je me suis emporter.


Je suis de retour dans mon immeuble et vois deux jeunes qui discutent dans le hall et j'ai l'air de les dérangés, vu qu'ils se retournent tout les deux vers moi.

Jeune fille : Pt'ête qu'elle achète elle. Chuchota-t-elle, pendant que je passe à coté d'eux.

Jeune homme : Pardon mademoiselle, mais tu veux pas un peut de dope ? Demanda-t-il en s'approchant de moi.

Moi : ça dépend, tu vends quoi gamin ? Dis-je froidement.

Dileuse : Ce que tu veux : cok, éro, meth, exta et plein d'autre. Alors, tu prends quoi ?

Moi : ça dépend, tu donne quoi pour rester en vie ? Lançais-je avec un regard des plus noirs que j'us fais.

Garçon : P-pardon ?

Moi : Mince, personne ne vous à prévenu ? Porcelain black et de retour. Et c'est moi...

le jeu des ombres (modern livai x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant