Il s'avance vers moi, je l'entends, avant de ressentir une douleur sur le haut du crâne puis le trois noir, je tombe au sol, inerte.
PV Reader :
Je me réveille, lentement, le cerveau embrumer, mais pas par un coup. Je sens le froid mordre ma peau et j'hésite à ouvrir les yeux, la lumière me donnant déjà mal à la tête alors que ces derniers sont toujours fermer.
C'est une faible douleur sur le bras qui me fait ouvrir les yeux, j'ai du mal a voir, ma vision est floue, mais je réussis quand même à voir qu'il y a une tâche rougeâtre sur mon bras.
Je cligne plusieurs fois des yeux, me concentrant sur mon bras, avant de voir que la tache, et une coulure de sang sécher, du à une piqûre surement.
Je regarde calmement mon corps, toujours habiller, attacher sur une chaise, les mains le long des cuisses, et les chevilles lier aux pieds de la chaise.
J'essaie de lever ma main gauche, pour l'avancer vers la tache sur mon bras, mais elle est rapidement stopper dans le cliquetis caractéristique d'une chaine.
Le bruit métallique me fait mal à la tête, j'en ferme les yeux et je garde la main en l'air pour ne pas affronter le bruit des maillons qui se cognent les uns autres quand la chaine sera lâche.
Je tourne la tête vers ma main maintenu en l'air, ouvrant les yeux quand le bruit a fini de résonner dans ma tête qui semble si vide a cet instant. Je regarde la chaine, suivant son chemin brillant jusqu'au rebords de la chaise ou elle glisse en dessous, me coupant tout contact visuel jusqu'à son support.
Je laisse échapper un grognement, mon cerveau n'arrivant toujours pas a formuler la moindre syllabe prononçable.
Mes yeux parcours rapidement la salle, pas bien grande, seul trois des murs gris foncé, impeccable, me son visible et il n'y a ni porte ni fenêtre, pas non plus d'aération, et le froid mordant, me fais fortement supposer que je suis dans une pièce au sous-sol.
Je soupire, faisant travailler difficilement mes cellules grises pour arrivé a avoir un semblant de mémoire, me rappelant plutôt bien les informations qu'Hansi m'avais transmise, et l'arrivé qu'elle peu non prévu, du lilliputiens et de ses sbires.
Il est plus grand que toi je te rappelle.
J'aurais préféré que tu revienne pas déjà...
Fallait pas remettre le cerveau en route si tu voulais pas me voir.
je sais, mais faut bien que je réfléchisse a comment sortir d'ici.
Déjà que je vois pas comment t'y es arrivée. T'as était super prévoyante a ce que je vois....
Une erreur ça arrive...
T'ES une erreur ! Tu vas devenir quoi maintenant a ton avis ? Un cadavre ou un légume une fois retourner en prison ?
Le bruit d'une serrure qui s'ouvre se fait retentir dans mon dos et me fais sortir de mes, sordides, pensées. Je baisse la tête, rageant intérieurement contre moi même, attendant que la personne, donc l'envie de me faire péter les plombs semble forte, vu la lenteur qu'elle prend pour chacun de ses gestes, ne vienne a moi ou m'adresse la parole.
Ce qui ne se fait absolument pas, la porte se referme très lentement, j'en viens presque a prier pour que le claque de la serrure qui se ré enclenche se fasse entendre.
Pendant se temps, mon bourreau ne bouge pas, j'en devine que c'est lui qui oblige la porte a se fermer si lentement.
Un clac se fait entendre, la porte viens de se refermer complétement, je pousse un léger soupire inaudible, me laissant avec lui, ou elle, a voir. Je me prépare mentalement a devoir confronter n'importe que type de torture, en ayant déjà pas mal vu a ce niveau là en prison.
Un premier pas en ma direction, il résonne dans toute la salle.
Je ferme les yeux, détendant le plus possible mon corps.
Un deuxième pas se fait entendre, il ne viens pas directement vers moi.
Je sers légèrement des dents, me concentrant pour savoir de quel coté il va venir.
Une troisième pas, toujours aussi calme et maitrisé, sur ma droite.
Je ferme un peu plus les yeux, faisant le vide dans ma tête, la façon dont il vient vers moi est une torture.
Une quatrième pas, toujours aussi impériale que les autres, lui donnant presque une allure mystique a cet instant.
Il se trouve a quelques pas de moi, parfaitement sur ma droite, imposant.
Un cinquième pas, ça me viens comme une évidence, il chercher a me faire craqué.
Je souris légèrement à cette pensée, relevant la tête presque fièrement.
Un sixième pas, il ce rapproche de moi, je perds mon sourire.
J'expire un bon coup avant d'entre son talon crisser sur le sol, il s'est tourner, pour me faire face bien évidement. J'ouvre légèrement les yeux, m'attendant a tout, sauf a voir un visage penché vers moi, a quelques centimètres du miens, souriant malicieusement. Et je ne m'attendais encore moins à voir ce sourire sur le visage de Livaï.
Livaï : Pourquoi t'as l'air étonner (t/p) ? Ou Porcelain Black, comment il faut que je t'appelle ?
Sa voix trahissait la colère ou la rage que mon sourire et mon air étonner lui inspirer, surement déçu qu'il ne trouve pas la peur a la place.
La mienne, encore pâteuse répondit amusé.
Moi : (t/p) c'est mieux, mais sa dépend surtout de qu'elle facette de moi tu préfère....Mais ça m'étonnerai que tu préfère Porcelain Black, t'as pas l'air d'avoir la défaite facile...
Il se releva en souriant avant de soupiré et de m'envoyer son poing dans le ventre, me rappelant rapidement a ma place de captive et me coupant la respiration au passage.
Livaï : Je crois que t'as compris maintenant, que je suis pas du genre a rigoler comme toi. Maintenant que t'as compris ça, j'aimerai savoir, pourquoi kidnappé Hansi ?
Je souffle difficilement, encore perturbé par le coup.
N'étant pas assez rapide a ses yeux, il se rapproche un peu plus, posant une main sur le dossier de la chaise, l'autre attrapant mon menton pour relever mon visage, assez rapidement vers le sien, nous rapprochant un peu plus l'un de l'autre. Il parla après quelques secondes, sa voix n'étant plus qu'un murmure, calme mais légèrement autoritaire.
Trop proche, il est trop proche !!!!
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le jeu des ombres (modern livai x reader)
FanfictionL'histoire ce déroule a notre époque. (t/p) (t/p) 22 ans, jeune américaine d'origine (t/o) redécouvre le vie en société après quatre ans d'absence. Retrouvent le coté lumineux et détestable de la société mais aussi les ombres plus appréciables que c...