Livaï: Tout cela sera pris en compte et validé, tu sera respecter, ton chien pourra venir temps qu'il ne rentre pas chez moi, et tu vas changer de chambre, c'est vrai que celle-ci est pas très commode, je vais m'assurer que tu sera décemment loger, avec mes lieutenant peu être, tu as un talent à exploiter alors tu pourrais vite monté en grade, se serai con de te faire changer de chambre autant de fois en peu de temps.
Elle me souris un peu plus, me regardant étonner de me voir si gentil. J'avoue que je m'y étonne moi même, mais je dois me rendre a l'évidence, elle a du talent, et je ne peu pas me résigner a essayer de la détester toute ma vie a cause de ça.
PV Reader :
Je regarde le lilliputien toujours aussi perturbée et étonnée.
Il doit être malade, c'est pas possible qu'il soit aussi gentil avec moi sinon.
Il t'as quand même embrassé...
ça compte pas comme gentillesse ça. Mais me faire a manger, parce en effet j'avais faim, me détaché, même si c'est que les mains, me proposé une offre d'emploi et tout ça calmement sans un seul cris ou sans qu'il donne l'impression d'être mort de l'intérieur, c'est quand même incroyable !
Que tu mange et que t'accepte de travailler pour lui aussi c'est incroyable...mais que veux tu, c'est ça d'apprécier plus qu'amicalement quelqu'un, on fait des chose qu'on aurait pas fait avant.
Je perds mon sourire d'un coup, plantant mon regard dans celui de Livaï.
Moi : En parlant de chien, qui s'occupe de Samus en se moment, vous l'avez pas laisser tout seul quand même si ?
Je parle calmement, mais je suis quand même inquiète.
Livaï : Tu sais, tu peu continuer a me tutoyer, même si maintenant t'es sous mes ordres. Et t'inquiète pas pour le chiot, Isabelle la pris sous son aile le temps qu'on sache ce qu'on fait de toi. Et maintenant que t'as rejoins mes rangs tu vas pouvoir le retrouver, mais la il est pas l'heure des retrouvailles, ils sont en train de dormir.
Il répond calmement, légèrement amuser autant de mon comportement que du sien.
Je fronce légèrement les yeux a ses dires, le questionnant étonnée.
Moi : Ils dorment ? Attend mais il est quelle heure ? J'ai passer combien de temps dans le coaltar ?
Un rire le secoue faiblement avant qu'il ne réponde avec un léger sourire sur les lèvres.
Livaï : Et bien, ça fait près de 4 heures maintenant que t'es assise ici. Il est donc dans les alentours de cinq heures, du matin.
Il est quand même pas mal quand il sourit.
Seulement quand il sourit, t'es sur ? Et seulement pas mal, vraiment ?
Je rougis légèrement en me répondant mentalement, ramenant mes bras vers moi, les croisant sur ma poitrine. Je tire légèrement sur mes cheville pour ramener mes jambes contre moi mais elles sont vite arrêtées dans un bruit métallique.
Livaï soupire en se levant, attrapant l'assiette posé sur mes genoux pour la posé plus loin avant qu'il ne se baisse pour détacher mes jambes de la chaise.
Enfin libre !!
Il se relève et me regard, insistent.
Livaï : On est d'accord qui si je t'es détacher c'est parce que tu vas pas faire de conneries n'est-ce pas ?
De quoi il parle ? La seule connerie que j'ai faite c'est de kidnappée Hansi.
Et tuer des gens.
Et tuer des gens, ok...
Moi : Peu être m'expliquer les règles si tu veux pas que je fasse de conneries...
Livaï : Évite de tuer t'es collègues s'il te plait. Parce que je trouve que ça s'en est une belle de connerie.
Un point pour toi beau gosse.
Lilliputien lui va mieux.
tu dis juste ça parce que si je l'appel comme ça tu vas vouloir vérifier si mes dires son vrai n'est-ce pas ?
......Non, je vois pas de quoi tu parle.
gagné...~
La ferme.
Moi : Je l'es fait qu'une fois je vois pas de quoi tu te pleins, ça veux pas dire que je vais recommencer. Puis je vois pas pourquoi eux je les tuerai...
Parce qu'ils sont potentiellement cons ? Parce qu'ils vont te draguer ? Parce que tu supportera pas leurs gueules ? Parce que tu travail toujours toute seule ? Il t'en faut d'autre encore des raison de meurtre ?
Ok c'est bon je me tais.
Livaï : D'ailleurs, pourquoi tu l'es a tuer ? Ils représentés pas de menace direct a ce que je sache.
Je me lève gardant la tête baisser avant de la relevé pour le regarder lui parlant tranquillement.
Moi : On est obliger de parler de ça ici ? On peu pas plutôt aller la ou des oreilles indiscrètes ne viendront pas nous écouter ?
C'est pas que j'aime pas que tout le monde sache ma vie mais un peu quand même.
Le lilliputien semble légèrement étonner de ma demande mais se lève a son tour, s'étant assit après m'avoir détacher.
Livaï : Y'a pas de problème, on a qu'a aller dans mon bureau, on sera plus tranquille là-bas. Puis comme ça, tu pourra me dire si ce qu'il y a dans ton dossier et juste.
Il a un dossier sur moi ,carrément ?
En même temps il s'aurait pas autant de chose a ton sujet si il en avait pas un...
...Pas con.
Moi : Oui, pas de problème. Je réfléchis quelques secondes avant de continuer peu sur de moi. Dis, moi aussi je dois t'appeler boss ? et le dire a chaque fois que je t'adresse la parole ?
Mini-homme sourit, visiblement amuser de ma question.
Moi : quoi ? Normal de posé la question tu m'as quand même embrasser. A moins que ça soit normal pour toi d'embrasser t'es prisonnières....
Pitié, répond pas oui a ça !
mais sinon tu l'aime pas...
Livaï : Oui c'est vrai. Non, c'est pas une habitude si tu veux tout savoir. Et j'ai pas non plus l'habitude de garder mes prisonniers en vie et de leurs proposer du travail, surtout pas quand ils ont kidnappé un de mes membres. Alors, non tu sera pas obliger de jouer les subordonnée model en m'appelant toujours chef, mais essaye quand même de le faire devant les autres tu veux bien ?
Je souris légèrement en entendant tout cela.
Madame aime se sentir unique ?
Madame est contente qu'il est pas dit oui surtout.
Moi : Merci. Bref, je crois que t'as un bureau a me faire visité...
Il rit légèrement.
Je crois que se son et le plus beau que j'ai jamais entendu...
Ok, on l'a perdu là.
Livaï : Oui, et toi une histoire a me racontée...
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le jeu des ombres (modern livai x reader)
FanfictionL'histoire ce déroule a notre époque. (t/p) (t/p) 22 ans, jeune américaine d'origine (t/o) redécouvre le vie en société après quatre ans d'absence. Retrouvent le coté lumineux et détestable de la société mais aussi les ombres plus appréciables que c...