Chap 38 : Boss.

828 44 24
                                    

Livaï : Oui, est toi une histoire a me racontée...



Le lilliputien me conduit en silence jusqu'à son bureau, j'essaie de me concentrée mais n'arrive a rien, un problème de conscience surement...

Il a pas besoin de le savoir !Lui dit rien ! Il a pas besoin de le savoir ! Lui dit rien ! Il a pas besoin de le savoir ! Lui dit rien !  Il a pas besoin de le savoir ! Lui dit rien ! Il a pas besoin de le savoir !Lui dit rien !

'Tain t'as gueule ! T'es reloue a la fin, j'ai pas le choix de toute façon !

On a toujours le choix.

Ho ferme là avec tes phrases toutes faites, elles servent à rien a par me soûler encore plus !

Livaï ouvre la porte d'un bureau parfaitement bien ranger, me faisant signe de rentré.

Livaï : j'espère que t'as retenu le chemin jusqu'ici, je te le montrerai pas une deuxième fois. 

Non, mais on va faire avec.

Moi : Non, mais t'en pis je me démerderai. Je parle de façon assurée, lui souriant faussement au passage, rentrant dans le bureau en même temps, l'analysant tranquillement du regard.

Il soupire, et rentre a son tour, fermant la porte calmement derrière lui.

Livaï : T'avais l'air perdu dans t'es pensées durant tout le trajet, et bien qu'il n'est pas durée plus de 7 minutes et demi, je suis sur que tu n'as même pas remarqué qu'on était sorti pendant ce temps tellement tu étais concentrées.

Moi : Sérieux on est vraiment passé dehors ? je préfère le lui redemander, histoire d'être sûre, ne m'en souvenant vraiment pas.

Livaï : Oui. Et je suppose que les questions que j'ai posés, tu l'es a pas entendu.

J'avoue en soupirant.

Moi : Non en effet, désolé...

Il se déplace sans rien dire jusqu'à derrière le bureau en chêne. Assez imposant je dois bien l'avouer.

Mini-homme m'adresse la parole calmement, me regardant en faisant légèrement tourner sa chaise et lui en même temps.

Livaï : Assit toi, tu vas pas rester debout le temps qu'on parle, parce que je pense qu'on aura pas fini que le soleil sera déjà lever.

Facile a dire quand il se lève dans moins de deux heures...

Je m'assoit tranquillement comme demander, lui faisant face. 

Moi : Du coup, je raconte toute mon histoire ou juste pourquoi j'ai tuer mes associés ?

Livaï : Je veux savoir tout, alors a toi de voir si tu me donne les informations en deux fois ou si tu dis tout d'un coup.

J'hoche la tête positivement avant de souffler un coup. Je me lance ensuite dans la longue séries de malheur qu'est ma vie.

Moi : J'aimerai posé des base d'abord. De une, y'a pas mal de sang dans mon histoire, et de deux, mon père vendait un peu tout et n'importe quoi sur les docks, des gens entier ou en morceaux, des armes...quand a ma mère elle tenait une fumerie d'opium. Et malgré ça, j'ai eu un début de vie presque heureux. On était pas très proche avec mes parents, mais mon père m'aimait bien, il était pas là souvent, et ma mère non plus d'ailleurs. Mais quand il était là, il essayer de me gâtée, faut dire que l'argent, c'est pas se qu'ils leurs manquaient. Tout ça a duré jusqu'à mes 5 ans. J'avais l'impression d'être une petite fille normale...Le jours de mes 5 ans, mon père a était pris dans une fusillade. Il est resté deux jours a l'agonie avant que quelqu'un daigne l'abattre pour l'aidé a aller mieux. J'étais avec lui ce jour là, j'étais dans ces bras, sa cervelle c'est littéralement rependu sur moi, c'était horrible, est dégouttant. Moi ça ma fait l'effet d'une baffe, que d'un coup, je me prenne la réalité en face alors que j'avais que 5 ans....ça a détruit ma mère de le voir autant souffrir, elle s'en ai jamais remit a vrai dire. Elle en est devenu folle, est m'a battu jusqu'à mes 10 ans tout les jours un peu plus. Enfin, ça c'était quand elle assez sobre pour se souvenir que j'existais. Puis ça lui à péter et le jour avant mes 10 ans, elle m'a mise a la rue, elle voulait évité les "dépenses inutiles d'un enfant qu'elle avait jamais aimé". J'y ai passé quelques jours, dans la rue, puis on m'a récupérer et on m'a placer en foyer d'accueil. Donc, jusqu'à ma majorité j'ai couru de maison en maison, j'ai changer minimum 30 fois de famille, j'étais du genre fille a problème, surtout parce que c'est pendant ces 8 ans que je me suis lancer dans une carrière de délinquance. pendant deux ans j'ai tué, en compagnie de mes acolytes. Je tuer déjà sous le nom de Porcelain Black, ça tu dois le savoir. Sauf que lors de l'année de mes 20 ans j'ai été mise en hôpital psy avec surveillance pénitencière. Pour agressions a main armée ayant causer la mort sur officier. Sur mes trois acolytes deux étais des bleus qui espérer pouvoir me coincé, et le dernier avait trafiquer ma moto, pour que je me tue en me barrant de la scène de crime de deux premiers. J'ai été mise en cellule d'isolement dès mon arrivée, avec 45 victimes potentielles sur 2 ans d'activité. En vérité, des victimes, j'en ai fait 75, dont deux pendant les deux ans passé dans l'aile carcérales de la maison de redressement Social, mentale et physique. Une belle connerie cet endroit. Mon doc me torturé pour que j'aille mieux. ensuite, j'en suis sorti, j'ai retrouve mon appart, j'ai retrouvé ma moto, j'ai recommencer a tuer, j'ai trouve un chien, j'ai recommencer les courses illégales et tout le blabla....Enfin voila, tu sais tout maintenant.

Je regarde calmement Livaï dans les yeux, chose que je n'avais pas fait pendant toute mon histoire, cherchant la moindre once de pitié dans son regard.

Livaï : T'attends pas a un juste retour des choses, je te raconterai pas ma vie. Mais bon, je comprend que ça a été dur a vivre. 

Il avait détourné le regard, sa voix le trahisse légèrement, il était triste, il avait du repensé a ça propre histoire. 

Moi : A vrai dire, Hansi m'en a déjà raconté les grandes lignes si t'avais pas déjà remarqué...

Je parle faiblement, attendent une réprimande. Qui tombe assez vite vu la façon dont la voix de mini-homme devient plus froide.

Livaï : Ouais j'avais remarqué, d'ailleurs ressers toi en pour me faire sortir de mes gonds, et tu risque d'en subir les conséquences, compris ?

Il lève les sourcils, interrogateur, attendant une réponse. 

Moi : C'était un juste retour des choses quand c'est arrivé, je voulais pas appuyer la dessus, je sais a quel point le passé peu faire mal. Je suis désole, ça se reproduira plus, je te le promet, boss.

le jeu des ombres (modern livai x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant