Chap 17 : questions existentielles

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TA GUEULE PUTAIN ! Si t'étais pas moi je t'airais buter rien que pour dire ce genre de connerie !  


Oubliant totalement l'existence de la querelle avec Livaï, je bouscula ce dernier violemment avant de partir dans l'arrière boutique pour sortire prendre l'air.

Je passa devant les vestiaires sans même me préoccuper du fait que Samus y était.

J'ai préféré sortir par la porte de derrière, parce que si j'était sorti par la porte de devant, j'aurai tuer tout les passants qui aurais ne serais-ce, que partager le même trottoir que moi.

Une fois arrivé dehors, ne pouvant plus retenir ma colère, je commença a taper dans le mur qui se trouver juste a coté de la porte.

C'est douloureux, oui je sais et puis c'est insensé aussi, mais se sera toujours moins douloureux que les coups que me porter ma connasse de mère, ou que ce qu'elle me faisait vivre moralement au quotidien. 

Et puis c'est délivrant, mais moins que les coups que j'ai porter à ma mère, jusqu'à sa mort.

Après quelques minutes a me briser les point contre se pauvre mur en brique qui n'a rien demander a personne, je relâcha tout mes muscles, laissant mes mains tomber le long de mon corps, avant de poser ma tête contre le dit mur, sali de mon sang frais.

Pourquoi es-ce que ma vie est aussi compliquée ? Et pourquoi c'est un aussi gros déchet ? Qu'ai-je fais dans une vie antérieur pour mérité cela ?

Mike arriva à ce moment là, et après un léger moment de flottement, du a son incompréhension, il me réprimanda calmement mais sévèrement.

Mike : (t/p) Mais qu'es-ce qui te prend non de dieu ! T'es devenu complétement folle ou quoi ? Non, mais je rêve, t'as frapper dans le mur, mais t'es vraiment malade ma parole ! Regarde dans quel état son tes mains à cause de ça ! T'essais de te briser les phalanges ou quoi ?! Gronda-t-il. Aller rentre, que je soigne tout ça. Me dit-il plus doucement.

Moi : C'est rien tu sais, j'ai eu fais bien pire quand j'étais...Je laissa ma phrase en suspens, me rappelant que je ne lui avait jamais rien dis par rapport au fait que j'avais fait de la prison. 

Mike : Quant tu étais ? Demanda le jeune home curieux.

Moi : Rien rien, désolé, oublia ça. Je vais aller me soigner, t'inquiète pas pour ça. Dis-je en commençant à partir.

Mike : Non viens, j'ai l'habitude de soigner des gens, alors je vais pas te laissé comme ça, dans ta merde et toute seule non plus. Soupira Mike avec un sourire enfantin.

Moi : D'ailleurs, pourquoi c'est pas Hansi qui est venu ? Elle est pas censée s'occuper de moi pendant mes crises ? Après je dis pas que j'ai envie de l'avoir sur le dos h24, bien au contraire, mais ça m'étonne. Demandais-je le plus calmement possible, pour détourner l'attention. 

Mike : Elle est rester avec Isabelle pour s'occuper de calmer Livaï. Il est quelque peu imprévisible quand il est énerver, et votre petite bataille oral là pas aider. Répondit-il gêner.

si tu savais a quel point je pouvais moi aussi être imprévisible, crois moi que tu flipperai aussi.

J'hocha la tête positivement, tout en pensant, mettant fin à la conversation.

On arriva devant la porte menant à la salle d'accueil dans le silence.

le jeune homme se tourna vers moi.

Mike : T'as cas m'attendre là, si tu veux pas t'embrouiller avec Livaï, j'ai juste la trousse de premier secoure  que j'ai dans la voiture a aller chercher, ensuite je reviens et on pourra aller s'installer dans mon bureau, ou dans les vestiaire, comme tu voudra. Expliqua le véto avant de partir.

J'entends plusieurs personnes parler à travers la porte, et me disant que j'allais en baver si je rester ici, je me retourna pour aller dans le bureau de Mike, puisque celui ci me l'avait proposé.

C'est donc en me doutant d'absolument rien et avec toute sa délicatesse, que  ma psy ouvrit la porte brutalement; avant de m'attraper par la blouse et de me tirer dans la pièce que je fuyais t'en, ou la fratrie Ackerman attendait. Puis elle m'assis sur la chaise derrière le comptoir.

Hansy : Miss (t/n), il ne faut pas fuir ces responsabilités, il va falloir qu'on en discute lors de notre prochain rendez-vous, que je vais d'ailleurs avancer, si vous continuez à être aussi instable. M'expliqua la folle à lunette en essayant d'être sérieuse.

Moi : Je n'ai pas fuis mes responsabilités, faudrait-il déjà que j'ai des responsabilités, de plus si je suis partis aussi rapidement en mettant fin aussi radicalement à notre altercation avec Livaï, ce n'est pas pour aller faire mumuse autre par, c'est pour aller frapper dans un mur, pour évite de refaire le portrait de votre ami ici présent. Répliquais-je froidement et plus qu'agacer.

Isa : T'as frapper dans un mur ?! Cria la jeune femme après avoir poussé la brune qui c'était positionner devant moi.

Moi : Oui, ça me calme.

Isa : Mais t'as vu l'état de tes mains maintenant ? Tu va faire quoi si tu t'es péter un os ?!

Moi : Tu sais, j'ai fais tellement pire quand j'étais à la "Maison", que c'est pas ça qui va m'abimer les os. Murmurais-je presque triste de lui parler de ça.

Et puis si tu savais, je me suis briser beaucoup plus que les os des mains à force de taper dans des murs et des objets. Y'a aussi ceux des pieds, des mollets, des bras et quelques cotes qui y sont aussi passés.

Isa : T'aime pas t'as maison ? Questionna la petite rousse, perdu par mes propos.

Je ne lui répondis pas.

Je sais parfaitement que si je réponds, je vais perdre totalement la face, et passé pour quelqu'un de fragile devant eux, c'est pas vraiment ce que j'ai envie de faire.

Livaï : Tch. Et après ça se moque de moi quand je pète les plombs parce que ça parle de ma mère. Pitoyable. Marmonna mini-homme qui était juste derrière sa sœur. 

Oui, je sais que je suis pitoyable, mais je l'ai toujours étais, alors c'est pas aujourd'hui que je vais changer.

Je ne répondis pas non plus, et baissa la tête honteuse.

J'ai l'impression d'être tellement faible face à eux, ça me donne l'impression d'être de retour en prison, enfin plutôt en enfer, a ce stade là, c'est plus la prison tellement c'es horrible.

T'as toujours étais faible de toute façon c'est pour ça que mère pouvais si facilement te battre.

Je le sais tout ça, alors pourquoi je me le répète.

Pour être sûr que la vérité te touche, et que celle-ci t'emportera dans un superbe suicide je suppose.

Mettre fin a mes jours ? Non, ça ne peu pas être une vrai solution.

En est tu sûr ?

J'étais tellement absorber par mon débat interne, que je n'avais pas remarqué, ni entendu, que Mike était revenu et qu'il c'était installer pour pouvoir soigner correctement mes mains.

le jeu des ombres (modern livai x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant