Jus de pomme | Kuroko no basket (Murasakibara x OC)

17. Splach de Poivron !

Bonjour ! Alors voilà un chapitre tout new rien que pour vous ! On peut apercevoir un nouveau détail de la personnalité de l'OC !

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Quand le bus fit son arrêt final il y eu un peu d'agitation qui réveilla Isabelle. Le restant du voyage s'était mieux passé étant donné qu'elle avait réussi a s'endormir. Un peu barbouillé mais ça aller. Elle fit comme tout le monde et récupéra ses affaires

Il était devant une sorte de chalet plutôt grand. En entrant la coach donna des consignes du genre «Tout laisser en état et ne pas mettre le foutoir ». Les chambre étaient pour deux personne à chaque fois. Araki et Isabelle étant les deux seules filles, il était évident qu'elles dormiraient ensembles (1). Elles entrèrent dans leur chambre qui n'avait rien d'exceptionnelle. Le seul point positif est qu'elle était spacieuse. La professeur est son élève rangèrent des affaires dans les placards. Curieuse, la lycéenne ouvrit une troisième porte présente. La pièce était tout simplement une salle de bain.

_Madame venez voir on a une suite !

_Oh, ce doit être la seul du chalet parce qu'il y a des toilettes et une salle de bain commune au fond du couloirs.

_C'est donc ça le privilège de professeur... murmura la blonde comme si c'était une révélation... (2)

L'adulte sourit en coin et continua son rangement. Gaultier finit vite, changea de maillot et fit une plat bruyant sur son lit. Le mal de cœur commencer petit à petit a partir et elle en était soulagé. On pouvait pas dire qu'elle avait eu la classe. Inquiété tout le mon et dégobillé en faisait profité tout le monde, c'était pas top. Il faut dire aussi que l'odeur d'oignon l'avait achever...

Elle roula sur le dos et sentit quelque chose dans sa poche. C'était le papier que George lui avait donné. Elle le sortit est suivit les indication qu'il avait dites. Quand les pliages furent finis elle tira sur les marques rouges comme prévue. Une petite fleur venait de prendre forme de ce tas de plis complexe. La blonde sourit, c'était adorable. Son petit frère avait beau faire le gros dur, le rebelle il restait un passionné des origamis et adorait sa sœur. Fière d'avoir un si jolie cadeau elle l'exposa sur sa table de nuit.

Tout ceci faisait qu'il était une heure de l'après midi. Les deux demoiselles descendirent et allèrent dans le salon ou tout le monde c'était réuni. Araki fit l'inspection minutieusement. Elle vérifia l'état du canapé, si il y avait un lecteur de DVD, la solidité des chaises. Elle passa dans la cuisine, ouvrit un placard sur les produits d'entretien et inspecta les assiette et les couverts. Tout était impeccable, enfin presque. Malheur quand elle ouvrit le frigo. Il était vide. Surprise elle ouvrit les quelques autre placard présent et le découvrit dépouiller. La coach ne comprenait pas. Elle avait demandait à avoir de la nourriture comme tout les ans !

Énervé elle prit son téléphone et appela le propriétaire et se dirigeant dehors. Un silence pesant fit son apparition. Timidement Isabelle voulut voir le «désastre » et passa entre Okamura et Murasakibara. Ce dernier était juste horrifié, comment c'était possible?! Qu'est-ce qu'ils allaient devenir sans nourriture ?

_C'est vrai que tenir une semaine avec ça va être compliqué... soupira la française en refermant le frigo.

Il y avait trois œufs qui se battait en duel accompagné de viande fumé a cuire. Elle ouvrit un placard et s'exclama :

_Oh de la semoule !

Elle saisit le paquet et regarda la date de péremption. C'était les seuls choses qu'elle comprenez sur le paquet le reste était écrit en arabe, ou alors c'était de l'indien ou encore du martien (3). Perplexe elle ouvrit le second placard. Un deuxième paquet mais plus gros ? C'est quoi cette blague ? Elle haussa les épaules c'était vraiment bizarre... La blonde ouvrit le dernier placard s'attendant presque à un autre paquet mais seulement un gros poivron rouge légèrement flétrit et un vert qui commençait à jaunir. La demoiselle les prit et les mit dans le frigo dans le bac à légume. La coach revient en faisait claquait la porte contre le mur faisait sursauter Gaultier qui lâcha le poivron vert. Ce dernier glissa de ses mains et s'éclata au sol dans un slpach très peu gracieux.